Pov Lilith
Cinq jours... Ça fait cinq jours. Ce n'est pas normal.
Inquiète, je ne fis pas dans la délicatesse et ouvrit furieusement la porte de ma voisine, collant un pin magistral à Sanders.
- OÙ EST-ELLE ? -hurlais-je en lui assassinant un deuxième.
- C'est la mienne. -hoqueta t-il en se courbant. La mienne.Sa tête cogna contre la porte.
- Elle ne t'appartient sûrement pas, abruti.
La chambre.
C'était la seule pièce dont les volets étaient clos.
Courant à vive allure, je l'ouvris avec hâte, inspirant d'horreur.- Oh mon dieu... Treasure. -murmurais-je en m'abaissant vers elle, la détachant des liens qui lui coupait la circulation. Tout va bien maintenant, je suis là.
Elle esquissa un pâle sourire, l'air si affaiblit que j'eus l'impression de mourir une seconde fois.
Non, elle ne partira pas. Elle restera avec moi. Je prendrais soin d'elle comme je le fais pour Jay... C'est ma famille.
Ma main tremblotante sous la panique, j'eus bien du mal à composé le numéro d'urgence.
Une fois les informations confirmées, je pu me concentrée sur les traits épuisés qui s'affichait sur le visage de Pearl.- Me quitte pas, d'accord ? -lui dis-je en caressant tendrement ses cheveux. Je vais bien m'occuper de toi, je te le promet.
- Il... devenu... fou... -articula t-elle d'une voix rauque.
- Chut... Ne te fatigue pas, chérie. -répondis-je d'un ton doux avant d'embrasser ses lèvres. Parle pas. Tu es vivante, c'est tout ce qui compte.Ses yeux s'écarquillèrent et je dévia mon regard sur le côté.
Merde.
Sanders se tenait devant nous, un fusil charger pointé sur nous.
Ses yeux fou nous regardait sans ciller, malgré le sang qui s'écoulait de son visage dur.- Vous ne partirez pas. -nous dit-il d'un ton mortellement calme.
- Recule, Sanders. Tu ne vas blesser personne. -répondis-je en tentant de garder Pearl derrière moi.Il suivit le mouvement, trouvant toujours le moyen de pointé l'arme sur nous deux.
- Elle est à moi, ils me l'on dit.
- Calme toi et dépose l'arme sur le sol. Doucement.
- Ils ne se trompent jamais. Ils m'ont dit qu'elle m'appartenait.Ils ? Oh merde...
- Ne les écoutes pas. Je sais que tes cachets sont quelque part dans la maison... Prends les. Les voix te laisseront tranquille après, c'est une ceritude.
Il éclata d'un rire fou à lié, incontrôlable, avant de reprendre d'une voix blanche.
- Je ne les prends plus depuis un bout de temps... Tu veux l'avoir, tu ne peux pas. Elle est à moi. Ils la veulent.
Je le vis enlever le système de sécurité et recharger l'arme. Je me tenais, le corps tendu, prête à me jeter sur le sol si nécessaire afin de ne pas me faire tirer dessus.
- ... Si je ne l'ai pas.... Personne ne l'aura. -me dit-il avant d'appuyer sur la détente.
Je sentis le corps de Pearl s'affaisser derrière moi et me retourna en hurlant.
Touchée au thorax, Treasure peinait à respirer, les yeux mis clos et le souffle faible.- Pearl ! Pearl !
NON !
Rugissant de fureur, je me jeta sur Sanders, défigurant son visage à coups de poings.
Pearl ! Pearl, Pearl, Pearl...
Il ne mît pas longtemps à expiré, les corps meurtrie de bleus et de coupures.
- Pearl !
Mon t-shirt était rouler en boule sur son corps, tandis que je la suppliais de rester en comprimant la plaie.
- Me laisse pas ! Bordel, Pearl, tu n'as pas le droit !
Les larmes qui s'égouttaient sur mes mains, les paroles qui se déversaient de ma bouche et l'hystérie de ma voix ne signifiaient plus rien.
Pearl s'éteignait lentement et je n'étais pas de taille à lutter.--------------––-------------
MOUAHAHAHAHAH ! Comme je suis une personne qui aime faire du mal à ses lecteurs, la suite ne sera postée que demain soir, na !
Ne me remerciez pas..... (Pour ceux qui s'attendent à une Happy End, sachez que je peux très bien ne pas vous écoutez... Certains se souviendront de Comme un Homme, Cher Max, Te Sauver, Un Ballet Passé.... Je suis imprévisible niark !)
Mais vous pouvez me corrompre avec du chocolat ^^ ou de l'ice tea, Comme vous voulez !XOXO
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Free Fight (tome 3) : Storm
RomanceLilith est la nouvelle arrivante du Free Fight : déterminée, colérique et instable "Storm" fait des ravages. On la compare à une tempête incontrôlable et dévastatrice : personne ne se risque d'attirer ses foudres... exceptée peut-être la discrète et...