Just Live. [Modern Clexa Fr]

chapitre 2 :

Pdv Clarke :

Finn : Mon coeur dépêche toi tu vas être en retard !

Me cria Finn depuis l'autre bout de la cuisine. Je regardais l'heure. En effet j'allais être en retard pour récupérer ma voiture au garage. Je remerciais Finn d'un simple bisous, attrapais mon sac et partis en courant vers le garage.

Heureusement que Finn m'avait prévenu car j'avais absolument besoins de ma voiture pour assurer mon service de demain au bar où je travaille.
Finn et moi sortions ensemble depuis maintenant un an et je passais presque tout mon temps libre avec lui, bien que nous n'habitions pas ensemble. Finn était vraiment un homme bien. Le genre d'homme que tout le monde rêvait d'avoir. Attentionné, romantique, drôle et beau. En d'autres termes l'homme parfait. Pourtant il y avait quelque chose avec lui que je ne comprenais pas. Il était parfait mais je n'arrivais pas à être vraiment moi à ses côtés. Comme si quelque chose m'en empêchait. Je me souviens pourtant qu'au début de nôtre relation c'était l'amour fou mais avec le temps ce sentiment s'est quelque peu dissipé, enfin pour ma part. Finn lui semble toujours autant m'aimer. Quand à moi, je l'aime toujours c'est vrai, mais plus autant.
L'amour est éphémère... Pensais-je
Oui tout amour est éphémère j'en suis persuadé. On ne peut pas aimé quelqu'un toute sa vie du même amour qu'au début. C'est impossible.

Alors que je m'égarais dans mes pensées les plus profondes, j'arrivais enfin à l'entrée du garage. A première vu, je ne vis personne. Seul quelques voitures et motos étaient éparpillé un peu partout dans la pièce. Je cherchais désespérément ma voiture et lorsque mes yeux l'eurent trouvé, je vis que je n'étais pas seule. De longues jambes s'échappaient de sous le véhicule. A en déduire la finesse de celles-ci, la personne allongé était une femme. Alors que j'allais parler, elle prit la parole tout en se glissant hors du véhicule.

Lexa : Qui que vous soyez pourriez-vous arrêter de me mater comme ça ? Espèce de pervers...

La jeune femme se releva et me regarda un instant avant de devenir rouge. Pendant qu'elle cherchait quoi dire je la détaillais comme une oeuvre d'art. Elle était à peine plus grande que moi, finne avec des formes là où il en fallait. Ces cheveux brun étaient attaché dans une queue de cheval haute qui laissait apparaître la forme magnifique de son visage. Cependant se sont ses yeux qui retinrent mon attention. Elle avait des yeux d'un vert étincelant à la limite du bleu azur. Si j'avais croisé cette femme dans la rue, je l'aurai sans aucun doute prise pour un mannequin. Alors que j'étais perdu dans ma contemplation, sa voix me fit revenir à la réalité.

Lexa : Oh mon dieu je suis désolé ! Je ne savais pas que vous... Je... Enfin je croyais que c'était encore un de ses vieux pervers qui viennent nous voir parfois... Je suis désolé...

Je la regardai quelques secondes avant d'exploser de rire. La façon qu'elle avait eu de me remballer était tellement drôle que je ne pouvais m'empêcher de rigoler. Cependant je reprit vite mes esprits devant son air gêné. La brune qui semblait il y a quelques minutes si confiante était maintenant devenu rouge jusqu'aux oreilles et ne savait plus où se mettre, elle était vraiment mignonne.

Clarke : Ce n'est rien ne vous en faite pas. J'aurais probablement réagis comme vous.

Je lui tendais la main avant de rajouter :

Clarke : Aufete, je m'appelle Clarke Griffin, enchanté !

Elle acquiesça avant de me serrer la main.

Lexa : Vous êtes donc la propriétaire de la voiture, enchanté Lexa Woods.

Après quelques secondes de silence, elle m'emmena dans son bureau afin de signer les quelques papiers nécessaires. Lorsque je suis rentré je fus extrêmement étonné de voir que son bureau était très classe et propre pour un garage. Au centre était disposé un grand bureau noir où s'entassaient plusieurs papiers ainsi qu'un ordinateur. Deux fauteuils étaient disposé de part et d'autre du bureau et à côté un petit canapé deux places en cuir était posé au coin du mur. Ces derniers, bien que blanc, étaient décoré par de nombreuses peintures, dont une -que je ne pouvais que remarquer- attira mon attention. Lexa sembla le remarquer car elle regarda le tableau à son tour et alors qu'un silence s'était installé entre nous, elle reprit la parole.