[YAOI] Not like U

chapitre 15

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PDV Akane:

Une fois rentré chez moi après m'être attarder dans les rues pendant plus d'une demi-heure , je déposa mes affaires et alla dans le salon quand mon téléphone sonna.

Moi: Allô ?

Haru: Les filles comme vous le suivait jusqu'à mon appartement !
Il fallait l'aider ! J'allais pas le laisser ce faire tabasser par des folles comme vous !

Moi : Haru ?

Je pouvais entendre plusieurs personnes derrière lui ... ont aurais dit des voix de filles...

Des folles..?
Ce faire tabasser ?
Son appartement...?

Haru ne répond pas à mes questions...
Et si des filles sont dans son appartement ...

M'extirpant de mes réflexion , j'entends Haru ce tousser violemment , quelqu'un le frappait ... j'en suis sur.

Je pris mon manteau et accouru jusqu'à son appartement.

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Essayant d'ouvrir la porte de son appart , je fini par la défoncer et entra , voyant Haru au sol ne bougeait presque plus entourer de deux filles qui le tabassait et une troisième qui détruisait tous ce qu'elle voyait.

En les voyant , je les reconnus tousse suite. Elles faisaient parti du fan club ...

➡Yuri en était la présidente.

➡Tsuyo servait de garde du corps et veillait au respect des lois.

➡Mary était l'intello du groupe , elle était un peu comme une secrétaire...

Ces trois folles étaient impossibles... elles me suivaient tous le temps... surveillaient tous mes faits et gestes ...

Les voir battre Haru me mis hors de moi. Je les força à sortir avant que j'aille appeler la police. Je sorti mon portable appeler la police , les regardant toutes les trois d'un regard noir. Quelques minutes plus tard , la police embarquait les trois filles et une ambulance emmena Haru à l'hôpital.

Une fois arriver , il fût immédiatement pris en charge , soigner et emmener dans une chambre. D'après les docteurs , ce qu'il aurait avaler n'était pas mortel , une fois entièrement enlever de son corps , les effets de cette substance seront dissipés.

Je décida de rester au près d'Haru , le regardant dormir.

La nuit passa , pris de fatigue , je m'endormis , la tête dans les bras , posés sur son lit , tourné vers lui.

PDV Haru:

Était-ce un cauchemar ?

Me réveillant dans une chambre blanche , entouré de machines , Akane était endormit sur le lit , sa tête n'être ces bras , son visage marquait une inquiétude...

Je regardais les machines reliées à mes mains ainsi que tous les pansements...
Voulant me relever , un gémissement de douleur sorti de ma bouche...
Mes côtes me faisait atrocement souffrir...

Akane: ... Haru... ? ... Tu est réveiller... ? Dit-il en se frottant les yeux.

Moi: ... Oui ...

Sans que je ne puisse dire un mot de plus , Akane emprisonna ces lèvres avec les miennes , lâchant une larme.

Akane: Je suis désolé... vraiment désolé... j'aurais dû le voir avant... j'aurais du m'en douter ... excuse moi... je suis désolé... dit-il tout en pleurant à chaude larmes.

Moi: ... je suis vivant... C'est déjà ça ... nan ? Dis-je tout en souriant.

Il me regarda , ces yeux trempés brillaient , se forçant de sourire.

Puis il me demanda si il pouvait me prendre dans ses bras , ce qui me surpris quelque peu...

Et d'une douceur sans pareil , il m'entoura de ces bras me soufflant au creu de l'oreille: «Je t'aime...»

Quelques jours plus tard , je pus enfin sortir de l'hôpital , aider d'Akane , m'aidant à marcher correctement ... car malgré tous ... mes côtes me faisaient encore un peu mal ... Mais le plus grand de mes blessures étaient guéries.

Il m'emmena jusqu'à mon appartement qui , en rentrant , était ranger comme avant , la porte avait d'ailleurs elle aussi été remplacée.

Akane m'installa dans le canapé et apporta à manger.
Je le remerciait pour tous ce qu'il avait fait puis il m'invita à manger.

Pendant le repas , il posa son assiette et me fixa dans les yeux.

Akane: ... Haru ... je te promet de te protéger ... je t'aime Haru ... je t'aime comme un fou... je ne veux plus te voir souffrir ... je t'aime et je veux te protéger ... je t'aime tellement Haru ... je-

Moi: ... -Je t'aime aussi Akane...

Surpris , il me regarda , les yeux écarquillés.

Moi: Reste avec moi ... protège moi ... je te protégerais aussi...

A ces mots , il me sauta au cou , s'excusant aussitôt de peur que mes côtes me fassent encore mal. Je souria et l'embrassa de toutes mes forces.

Cet événement des plus violent pour moi dans ma vie , n'avait fait que nous rapprocher ...

Je suis peut être différent , mais ma différence à fait de moi une personne importante aux yeux de quelqu'un.

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“Nous n'aimons un être qu'aussi longtemps que nous le croyons différent des autres, et aussi nous ne le croyons différent des autres qu'aussi longtemps que nous l'aimons.”

Jacques Deval

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