- " Non du tout"- "Hum on réponds toujours à un salam" Le bitume avec une plume
-"Ouais ouais"
Les minutes passent plus aucune réponse. En même temps il va rien répondre à un "ouais ouais". En plus, il a pas sûrement pas mon temps, sa gadji c'est une Bagdad comme dirait Alonzo. Je vais mettre ma curiosité de côté, en dirai ça va changer quelques choses à ma vie de savoir ou pas.
On va passer deux jours, on était samedi et j'avais toujours rien dit à mon frère pour le restaurant mais j'avais validée à Baky que je venais. On le fait tous ça, demander à la dernière minute comme si c'était gagné. Quand je vais me prendre un recalage, je vais rien comprendre à ma vie.
( Real Life : Je fais toujours ça, un jour c'était l'anniversaire à ma meilleure pote j'ai demandé à la darone le soir même j'avais tout organisé, appelé 15000 restaurant parce que madame voulait un restaurant ambiançant, j'ai trouvé un restaurant karaoké lourd. Invité les gens toussa, j'ai tous fait. Genre, trop d'ailes en moi, je me prépare et vais lui dire. Elle m'a lâchée un gros non. J'avais mal comme jamais. Elle m'a fait tu crois parce que tu prends 1 année de plus chaque ans ta grandi, tu fais ce que tu veux. Pas dans ma maison. Quand tu sera marié, j'étais là mais j'étais plus là tellement j'étais pas prête ptddrr. Ma meilleure pote, c'est une algérienne pire que moi, j'étais morte son dernier anniversaire, elle a eu 21 ans, sa mère l'appel pour lui demander de montrer avec qui elle est, on était déjà en voiture toussa. J'étais morte, quand elles nous a pris en vidéo et lui a envoyé...) pas très intéressant mais j'avais envie de le racontée ptdr.
Je passe la journée, je commence mon ménage en commençant par les pièces de la maison au rez-de-chaussée, je termine et monte à l'étage en commençant par ma chambre. Je termine par la chambre de Fouss. Je rentre dans sa chambre, pour une chambre de mec, c'est super bien rangé, pas de désordre, rien n'est laissé au hasard. Il doit connaître ou chaque chose est rangé assurément. Moi, je range quelque chose puis je le change de place, je m'en souviens plus direct. On regarderait sa chambre, on se dirait oh le maniaque.
Je commence à faire la poussière sur les meubles, change les draps de lits. J'observe la pièce, et remarque un petit coffre-fort installé au mur. Chelou. Je cherche pas plus loin et continue mon ménage. C'est une chambre de garçon, y'a toujours des choses improbables. J'ouvre son tiroir de chevet pour nettoyer la poussière, et découvre un petit extincteur, des points américain, des grosses bagues en métal, des gants en cuir noir, une mini lampe torche, une gazeuse, un cutter, un petit couteau suisse, et tas de petites choses dont j'ignore l'utilité également.
(Real Life : J'ai trouvé des trucs comme ça dans la chambre de mes frères un jour, j'étais choquée et étonné wesh, depuis il m'interdit l'entrée. Les mecs sont vraiment trop spécial)J'arrive devant sa grande armoire et prends sa chaise de bureau pour grimper, je passe ensuite la poussière sur la longueur du meuble quand mon bras se cogne violemment contre une grosse caisse en métal.
Oh sa mère ! Je me suis tuer le bras , c'est quoi cette boîte de merde !
Je descends me mettre de la glace sur le poignet, et termine en passant l'aspirateur avec ma deuxième mains toujours valide. Ensuite, je vais me poser dans le canapé avec ma glace. C'est du béton le baye là. J'espère juste mon poignet va pas enflé.
Je passe la journée, je me suis endormie sur le canapé tellement mon poignet me tuait, ça m'a assommé je pense.
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Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]
Ficção GeralPour tout le monde l'amour rime avec jusqu'à ce que la mort nous sépare, le notre était écrit autrement...jusqu'à ce que mon frère nous sépare. No Copyright ©