Partie 20

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Après la fin leur phrase, j'allais ouvrir quand la porte s'éclate me projetant au sol. Il venait de forcer ma porte d'entrée les fils de pute de leur mère. C'est pas comme si c'était eux qui allait la réparer derrière fou à bout wAllah. Il s'étonne qu'on les insulte alors qu'il respecte rien. Je me relève avec difficulté du sol en me tenant la côte. Bonjour le bleu invisible.






Policier 1 - Bonjour madame, nous avons un mandat d'arrêt contre monsieur Fousséni Bara.





Il me tends un papier dans la main que j'attrape. Mais je comprends rien, absolument rien. Il fait signe à ses collègues de fouiller la maison ce qu'il s'empresse de faire. Il retourne mon salon en moins d'une minute à la recherche de quelque chose.






Moi - C'est mon frère. Qu'est ce qu'il a fait ?






Policier 1 - Il avait un procès auquel il ne s'est pas rendu. Nous sommes ici pour l'apprivoiser et trouver la preuve manquante à notre affaire.



Il parle de lui comme si c'était un animal ce sale fou.




Moi - Vous voyez bien qu'il n'est pas ici.






Il faisait des trous dans mon canapé les gros fils de pute de leur mère. Non mais c'est pas eux qui ont achetés. Je m'approche du policer qui faisait les trous dans mon fauteuil fétiche et lui fou une droite.




Moi - C'est pas vous qui l'avez payé bande de batard !!





Il sort ses menottes et me les passes autour des poignets.





Policier 2 - On l'embarque avec nous elle aussi. Mettez la dans le van.





Moi - Lâchez moi, vous avez pas le droit de me toucher.






Policier 2 - Agression et insulte proliférer envers un agent de policier. Je vous assure que j'ai tous les droits à présent.







Son collègue qui était resté à l'entrée s'approche de moi et me ramène à leur voiture. Moi, je me débattais mais il avait plus de force que moi. Puis, ça ne servait plus à rien de se débattre.

J'étais en tort, mais j'avais la bonne intuition que c'était prémédité pour pouvoir m'embarquer. Pendant que je cogitais dans la voiture. Je me suis souvenu qu'il y'avait une arme dans la chambre de mon frère. Quel conne ! Je pouvais plus rien faire maintenant que j'étais menotté.




Quelques minutes après, la plupart des voisins étaient de sortie dans la rue et regardait les fois m'embarquer sans ciller. C'est vrai qu'on était loin d'être des amies avec le voisinage. Il était plutôt du genre à nous regardé de haute en bas se demandant comment avons nous pu avoir une maison dans cette partie chic de la ville. Les policiers reviennent dans la voiture, à leur discussion j'avais compris qu'il n'avait rien trouvé.




Policier 1 - Alan a trouver un billet de 10€ dans le fameux coffre fort de sa chambre. Un petit futé ce voyous rare sont les perquisitions où on en reviens bredouille.




Policier 2 - Claire avait mis la main sur une caisse en métal sur son armoire mais elle était vide. Elle était sûre d'avoir mis la main sur ce qu'il nous manquait à notre puzzle pourtant.






Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant