Moi - Chut on en parleras plus tard. L'endroit est magnifique, j'y resterais bien toute la nuit ici.J'étais en quelques sortes apaisée par le léger bruit de l'eau à cause du vent et l'ambiance chaleureuse que nous offraient cet endroit.
Le soleil commencèrent à se couché petit à petit. Je savais pas exactement l'heure qu'il était mais la nuit était proche. On était à la fin de l'hiver, début du printemps ce qui était normal. J'observais la rive qui commençait à émettre des reflets avec le soleil tapant.Reza - On peut si tu le désires.
Il s'approche à peine quelques centimètres de mon visage et dit en me susurre à l'oreille 'beauté'. J'émets un sourire automatiquement sans pouvoir me contrôler ou même le cacher. J'étais loin, à des années lumières et je n'abus pas. Toutes les mauvaises choses de ma vie dernièrement était entrer dans un passé intérieur. Le vent souffla une énième fois sur mon visage m'arrachant un claquement des dents. J'avais porter un bombardier assez chaud certes mais qui de toute évidence ne protégeais en rien mon visage de cette fraîcheur refroidissante. Il manquerait plus ses débuts écoulements nasales qui te font croire que tu a bonne chance de chopper un rhume grrrrr tout ce que je détestes. Avant que je ne puisse faire serré mes mains l'une contre l'autre pour me réchauffer. Technique de merde qui réchauffe partiellement mais on le fait tous. Reza se met derrière moi à quelques centimètres de mon corps avant de me coller contre lui et m'entourer les hanches de ses bras.
J'étais scotchée sur place par son action que je n'arrivais pas à tenter de me défaire. Son odeur parcourait l'ensemble de mes narines, enivrant à s'en laissé envoûté. J'étais envoûtée, parce que oui, il m'avait clairement envoûté.
Lui - J'adore de Dior le même parfum que celui de ma mère depuis des années.
Moi - Pour les grandes dames sans vouloir nous vanter.
Son téléphone vibra dans la poche de sa veste qui était collé contre mon dos. Il allait retiré ses bras de mes hanches quand je les lui bloque de mes deux encore valide. Parfait était la position dans laquelle nous étions pour justifier mon action. Je voulais tout simplement pas que notre moment s'achève et qu'on retourne à la vraie vie.
Lui - Moi non plus j'ai pas envie d'y retourné sa race! Je suis trop bien là!
Moi - Serre moi plus fort contre toi.
Reza - Je te fait de l'effet petite cachotière. Tu est bien doué dans le camouflage des rôles.
Le contrôle des mots qui se dégageait de ma bouche était perdue. À chaque paroles qu'il prononçait, je ressentais des drôles de sensation en moi. Il me serre davantage contre lui et fini par laisser tombé son visage sur mon épaule. Quand je sens ses lèvres froides s'agiter sur mon cou me faisant échapper un mini gémissements. Sa barbe atteignait ma peau nue me chatouillait à chaque baiser qui s'abattait. Aussi fou que ça puisse paraître, j'aimais l'effet que me procurait ce moment d'oublie de la réalité.
Il finit par me porter et me poser sur la rambarde en bois du ponts. Il s'avance entre mes jambes et me fixe droit dans les yeux. Embarrassée de m'être laissé trop aller, je ferme les yeux avant de les recouvrir de mes mains. J'étais terriblement mal à l'aise mais ce n'était pas de son avis de me quitter des yeux alors que je les réouvrait à petit feu. On aurait dit une gamine qui vient de faire une bêtise. C'était atroce à quel point Reza était devenue irrésistible à mes yeux. Je m'étonnais moi-même de penser toussa de lui mais la vérité était qu'il m'avais manqué. Il m'intimidait, moi, Rokia. Cette impression d'avoir la chair de poule était critique. J'avais oublier la raison de ce rendez-vous ou c'était une excuse que je me donnais pour éviter l'inévitable.
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Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]
Fiction généralePour tout le monde l'amour rime avec jusqu'à ce que la mort nous sépare, le notre était écrit autrement...jusqu'à ce que mon frère nous sépare. No Copyright ©