Partie 21

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J'avais cogitée, tournez en rond dans la pièce pendant un long moment que j'avais pas vue le temps défilée à toute vitesse. Ses mots résonnent dans mon crâne en boucles, comme une vielle chanson qu'on connaît par cœur. Il savait pour moi et Reza alors. Faut dire que j'avais pas réellement fait attention à lui. J'avais peur pour nous, enfin, j'avais peur pour Reza parce que quoi qu'il arrive mon frère me touchera jamais. Déjà qu'il aime pas sa famille, j'imagine même pas sa réaction quand il a su ou va apprendre qu'on est ensemble. Il va me démonter déjà pour commencer mais Reza lui risque de perdre sa peau.

Tout sauf l'homme que j'aime peut-être que si je lui parle posément mais je sais que même ça passera pas crème. J'ai trop crû à la vie de Kylie Jenner en son absence. Je me suis permis trop de chose que jamais je me serais permis en temps normal.

Les sentiments ne se contrôlent pas en soit ce n'est pas de ma faute mais celle à ses putins de sentiments. Je l'aime Reza moi, mais est-ce que pour mon frère ça compte. Enfin, je sais qu'il sait ce que c'est l'amour vue qu'il file le parfait amour caché avec sa Nessîl. En parlant d'elle, je me demande si c'était pas elle qui m'a balancer. Elle est trop soudainement partout sur mon chemin en ce moment. Puis, je me demande toujours ce qu'elle faisait devant le commissariat de police.

J'entends retentir la sonnerie de l'application m'indiquant que je dois fait ma prière. Je regarde mon téléphone et j'avais aussi plusieurs manquées de Reza. Je lui laisse un message lui disant que j'étais envie chez moi qu'il pouvait venir m'y chercher directement. Enfin, s'il avait fini ce qu'il avait faire, je veux pas non plus être la meuf qui le laisse pas respiré et le séquestre. Je pars faire mes ablutions et prier le Tout-puissant.

À mon retour dans salon, Reza était posée sur une chaise de la cuisine. Je le regarde et la seule pensée de le lâcher me fou les jetons. Je suis incapable de le faire, je suis beaucoup trop attachée à présent. Vous vous direz peut-être que je suis égoïste mais quand les sentiments atteints le stade de l'amour. C'est encore plus difficile..

Il se lève d'un bond en me voyant, dans sa main droite se trouvait un sac Jeff de Bruges.




Reza - Tiens. C'est pour toi le sac attend quand on arrive à la maison pour voir à l'intérieur.




Moi - T'es un putin d'ange bé.. wAllah tu tue tout le monde !




Reza - Recommence ta phrase sans beuguer.




Moi - J'ai dit que t'étais un ange wAllah tu tue tout le monde !




Reza - Pourquoi tu veux pas le redire depuis le temps que j'attends ça.




Moi - Redis quoi ?



Reza - Fais pas genre tu sais pas sa va m'énerver bêtement wAllah. Tu voulais dire bébé et la tu fais le bébé qui assume pas. Je t'ai déjà dit que je jouais pas avec toi Rokia si je voulais vraiment jouer j'irais ailleurs. Une meuf comme toi, on joue pas avec puis c'est pas mon délire. Crois pas moi je suis les autres keum à me taper des centaines de meufs. Tfou, je cherche pas le dass moi.


Nombreuse était les choses que je pouvais apprécié chez lui, faut dire que j'aimais même quelques-uns de ses défauts pour vous dire. Par-dessus tout, j'aimais trop sa franchise et son sérieux quand il fallait l'être. Puis, il avait pas honte de faire comprendre qu'il aimait qu'on l'affection, qu'il aime autant se sentir aimer. D'autres dirait dans ses moments, je suis pas un pédé pour dire des choses comme sa mais pas lui. Sans parler de son don de me rassuré, de me décoincer en quelques sortes, de me faire grandir. Je le regardais amoureusement les étoiles pleins les yeux, lui me regardait impassible. Je lui touche caresse avec délicatesse les joues et lui dépose un baiser sur les lèvres. J'avais des putin de tiraillements dans le ventre quand il prolongea le baiser. On voulait plus se lâcher les lèvres, c'était enivrant l'ivresse qui s'en échappait.

Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant