Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]

Partie 17

- C'était urgent Reza wAllah la tête de mon père faut tu t'ramènes de suite.

Reza - Calme toi Araz il se passe quoi ?

Il avait remarqué ma présence et ses yeux se sont automatiquement positionnés sur moi avant de se reposer sur Reza. Je voyais pas si le regard qu'il venait de me lancer était nerveux à cause de l'obscurité qui commençait à prendre place.

Araz - Pas devant elle.

Reza - Y'a R asy dis la!

Araz - Tu pactise avec l'ennemi et tu me dit y a R ? Tu sais ce qui va se passer quand son reuf va l'apprendre ?

Reza - Asy part devant on se re au City comme prévue.

Il me regarde ou me dévisage de la tête au pied avant de brailler des mots incompréhensible dans sa barbe. Ma bouche était à moitié ouverte, je soufflais afin de me retenir de sortir de la merde. Vous connaissez sûrement l'expression tournez 7 fois sa langue dans sa bouche. Je l'appliquais mais je trouvais rien à dire à part des insultes donc j'ai préféré me taire.

Je détourne mon attention sur Reza et à peine l'avais-je fait. Son pote était partit aussi vite qu'il était arrivée.
La situation était trop bizarre, sa façon de parler de moi alors que j'étais devant lui. Je l'aime déjà pas son vieux pote à la con.

Mais est-ce que ça compte ?

Pourquoi parle t-il de mon frère lui aussi ?

Reza - Allez monte que j'tèje Rokia.

Moi - Pourquoi il disait ça ?

Reza - C'est pas le moment WAllah ! Je voulais te raconter tous mais tu m'a dis tard plus donc oublie maintenant !!

Ses paroles étaient si agressive que j'avais aucune envie de débattre. L'ambiance n'était plus aussi agréable que tout à l'heure. Il me passe le casque que je remets avant de monter derrière lui.

Le ciel s'était assombri, et la température était remontée. J'avais fini la tête sur son dos serrant mes bras autour de ses hanches.
On fini par prendre la route et traversée l'ensemble de la ville.

Elle était déserte, pas un chat dans les parages. C'était légèrement flippant, le genre film d'horreur ou des monstres sort de nulle part. On venait de se stopper à un feu rouge. Il n'y avait personne jusqu'à ce qu'une voiture se posta à nos côtés mais côté trottoir. Deux jeunes étaient à l'intérieur et nous regardaient intensément.

Reza grilla le feu rouge avant de rouler à une vitesse clairement pas autorisé. Il avait prit un chemin plus rapide pour me ramener devant chez moi. J'étais pas surprise par le fait qu'il avait pris un raccourci. Non, non c'était plutôt qu'il ai griller le feu et la vitesse à laquelle il roulait avait faillit me faire vomir à l'arrivée. J'avais la nausée, la gerbe, tout ce que vous voulez mais l'adrénaline que j'avais aimé à notre aller s'était transformé en peur pour ma vie.

Je descends en manquant de tomber au sol. La terre tournais autour de moi, mon cœur s'agitait dans ma poitrine. Je me tiens les genoux et m'abaisse à proximité du sol. Stupéfaite de ma réaction, mes esprits revenait peu à peu. Il me redresse d'une seule main et m'attrape par la taille.