Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]

Partie 26

Ortense - Ok toi. Je te savais pas comme ça WAllah tu dégoutes tfou moi je traîne avec des crasseuse qui donne leur boule. Viens Rokia on se tire avant qu'elle nous contamine aussi !

Elle avait dit tout ses mots sur un ton violent et méchant. Je m'y attendais pas du tout, elle me tends la main mais je la recule. Zayane avait l'air déçu par ses paroles aussi cru que haineux. Tu m'étonnes.

Moi - Non! T'es folle ou quoi ?? T'es qui pour la juger déjà ?? T'es qui toi ??

Zayane - Laisse tomber Rokia, elle a raison wesh. Je suis grave pas..

Ortense - Toi aussi ta donner ton boule de mieux en mieux. Allez je me casse d'ici flemme des vielles gos comme vous.

Moi - Ouais bon débarras wAllah ! Casse toi bouffone va !

Ortense - C'est moi que tu traite de bouffone petite pute ??

Moi - Tu vois une autre bouffone ici peut-être ? Tship.

Zayane - Tu t'en fou, la calcule pas wesh.

Ortense - Fermez vos gueles Zahia et Shay numéro 2. Waw ! Choquée !

Moi - Mais tu veux quoi encore ? Bouge !

Ortense - Des grosses tchoins tchoins tchoins la perruque à ma mère !!

Elle se met à rire fortement pour terminée au sol les larmes aux yeux. Cette fille n'est pas normale faites quelques choses.

Zayane - Mais..Elle fait une attaque..?? Vite appel les secours Rokia !!

Moi - Balek qu'elle crève seulement !

Ortense - Choquée ta changer toi la vie.

Elle se relève et nous regarde avant de nous montrer son portable. Il était minuit passé et on était le premier avril. Mais non, elle veut pas  grandir un peu c'est ouf. Pour une fois que Zayane parlait à cœur ouvert, enfin est sérieuse alors que d'habitude c'est dur pour elle de l'être.

Moi - Mais t'es quel genre de sorcière toi là ?!

Elle se relève encore mort de rire, alors que nous c'est pas le cas. Zayane est trop gêné la pauvre ce qui est compréhensible. Zayane être gênée c'est une première d'habitude c'est elle la gênance.

Ortense - Aïcha Kandicha ma gueule.

Moi - C'est qui elle ?

Elle commença à me raconter la story un peu. J'en avais des frissons limite en dirait un vieux film d'horreur mais en plus réel. C'était sa meilleure amie Hadjer, qui lui avait racontée de ce qu'elle me disait.

Ortense - Pas d'inquiétude, c'est une marocaine.

Moi - Et sa veut dire quoi si ça l'est ?

Ortense - Faut tout t'apprendre toi.

Moi - Raciste.