Il s'agissait évidemment de Reza, j'ai décidé de tracée à pieds jusqu'à un autre arrêt avant qu'il se rendre compte de ma présence. C'était clairement la dernière personne que j'avais besoin de voir. Il l'a fallut que je le connaisse pour maintenant le voir dans ma ville, c'est fou alors que habituellement je l'aurait pas vue. Simple coïncidence, je ne sais pas. Destin, je préfère pas y pensé.Mais c'est vrai, que je ne vais jamais de ce côté de Sevran mon frère me la toujours interdit.
Trop de loup me disait-il et il n'avait pas tort. Je commence à marcher jusqu'à une autre station et me pose pour attendre ce fichu bus. Écouteur aux oreilles, je m'évade sur du Ne2s "force et honneur", "Roi sans couronne" ou encore "princesse au regard triste" des Classics pour moi. Des vrais classiques impossible à supprimer de ma bibliothèque musicale ou si je supprime je l'est remettrait toujours à un moment donné. Je regarde le temps d'attente du bus, encore 20 minutes la vie d'oim de la merde. Je vais soûler mon frère pour avoir ma propre caisse sayais. Il fond toujours sous mon beau sourire, pas que je me vante mais bon l'amour fraternel c'est quelques choses.L'arrêt de bus commençait à se remplir, rapidement, je remarque que je suis proche d'un lycée. Je comprends mieux maintenant, une heure de pointe l'heure du déjeuner, c'est pas nouveau. Je suis quand même aller à l'école même si je me suis arrêté au bac. Je l'avais eu difficilement, certains signe ne trompe pas, j'ai vite compris que je n'étais pas fait pour l'école. Mais j'ai tout fait pour l'avoir pour rendre fière mes parents et mon frère pas pour moi-même alors que ça devrait être pour moi que je l'accomplir. J'ai décidé de pas me voiler la face, parce que en vrai j'ai toujours détesté l'école, les personnes qu'on pouvaient y retrouver, en cours je faisait des gribouillis sur mes feuilles ou taper des siestes au fond de la classe pour passée le temps au lieu de suivre. Vous imaginé que clairement, ça ne m'intéressait pas. Les seules cours que j'aimais c'était l'arts appliqués et l'EPS. Je vais pas vous mentir dans les autres matières j'étais en dessous de la moyenne. Au bac, j'avais eu doit faire ses preuves, ce qui annonçait la couleur, que j'allais sûrement pas l'avoir. Mais quand on souhaite rendre fière sa famille, rien ne peut nous arrêté alors j'ai révisé jour et nuits pour comprendre et apprendre seul.
Le bus finis par arrivée quelques minutes plus tard, j'ai même pas sentit l'attente à cause de ma playlist qui défilait et mes pensées diriger vers Reza. Je sais pas pourquoi, je pensait encore à cette enculer. J'essayais de lui trouver des excuses mais j'en trouvais pas. Puis, je pensais aux filles avaient-je bien fait de les tenir à l'écart et de les mettre dans le même lot que Reza ?
J'allume l'écran de mon téléphone que j'avais mis en mode silencieux et remarque plusieurs appels manqués et des messageries vocales d'elles que je ne prends pas la peine d'écouter que je supprime automatiquement. J'avais aussi des appels de Baky, j'imagine qu'elles avaient ouvert leur gueule non mais sérieusement si je l'est réponds pas à elle. C'est sûrement pas à Baky que j'irai raconter ma vie.
Les stations passent et je ne reconnaît toujours pas les environs de chez moi ce qui m'inquiète. Je décide de descendre au prochain arrêt. Une fois descendu, je me rends compte que je me suis trompée de bus en changeant de station sa mère. Encore à cause de ce satanée Reza, fou à bout. Je cherche autour de moi quelqu'un qui pourrait m'aider, mais j'étais devant une grande façade blanche à première vue rien d'intéressant. Je me retourne de l'autre côté et aperçoit des bâtiments, puis des hommes percher à leur quad, d'autres posé contre les murs. Quand je décide de m'en approcher pour demander mon chemin. Il avait pas l'air de méchant personnes puis sa coûte rien qu'il me dise où je suis. Je vais ensuite appeler mon frère s'il peut pour venir me cherché faut voir. Arrivée vers les teneurs de murs, j'hésite longuement à m'en approcher, mon frère m'a toujours dit ne pas se fier à ce genre de groupe parce que partout il y'a des bons mais il peut en avoir aussi des mauvais. J'hésite quelques secondes, j'étais à quelques pas d'eux, quand j'entends plusieurs pas se diriger vers nous. Je me retourne et devant moi se trouve une vingtaine d'hommes armées de poings américains mais la majorité de matraques s'avançant de plus en plus vers nous. J'étais clairement effrayé, je décide alors de prendre mes jambes à mon cou et me tirer au plus vite d'ici.
Je commençais à partir à pas de loup quand, je sens deux mains autour de mes hanches. La vie de ma mère, mon coeur a faillit faire un arrêt cardiaque.
- Tu crois aller où comme ça sale pute ?
Au même moment où il dit ça, je vois un autre gars se pointer devant moi. Il se baisse ensuite et me soulève les jambes. Je tremblais, tellement on aurait dit j'avais la maladie de la tremblote.
Moi - Qu'est ce que j'ai fait ?
L'autre me tient les bras et me soulève à deux en avançant.
- Ferme ta guele ! dit celui qui me tenait les hanches puis les bras à présent.
J'avais déjà peur de ce qu'il me ferait si je la ferme pas donc plus aucun son ne sort de ma bouche. Je sentait juste mon corps vibré de tout ses muscles.
- Tu trouve pas qu'elle ressemble étrangement à quelqu'un qu'on connaît très bien ? dit celui qui me tenait les jambes.
- NONN répondit l'autre.
C'était deux hommes blanc de peau, tout ce que je pouvais voir et j'avais pas non plus envie de m'attarder sur leur visage. Leur visage était pourtant tous à découvert. Ce qui veut dire qu'il s'en foutait royalement de ce que je pouvais voir. Il n'avais sûrement peur de rien, ce qui m'effrayait encore plus. Mon rythme cardiaque était à 0, mon souffle je l'entendais de plus en plus fort. J'étais pas en pleine crise d'angoisse ou quoi non j'étais déjà morte pour moi.
Pourquoi ne pas me tuer tout de suite en arrêtant mon coeur ?
Je vois qu'il commence à se battre en one-one, les autres armés étant plus nombreux se mis sur le côté.
Je pensais seulement à ce qu'il comptait faire de moi. J'étais vraiment dans une grosse merde possible, mais surtout personnes pour m'en sortir. Il continue à marcher avec mon corps entre leurs sales mains et arrivé au reste du groupe qui ne se battais pas. Il était encore une dizaine arrêté à regardé le spectacle d'une brutalité atroce. Des animaux dans un zoo sont moins sauvage qu'eux. Il me jète au sol comme une vulgaire banane étant terminée et laissée pour cause. Je sens mon dos cogner contre le goudron au sol, et un bruit d'éclatement de mes os. Ma peau se crispé, j'avais mal super mal que je lâcha un cri de détresse.- C'est qui elle ? dit un des hommes au millieu du groupe sûrement le leader.
- Une soeur de leurs cité de pédale ! Qui veux la baiser sans capote sur place ? elle à l'air bonne cette putin dit celui qui m'avait soulevé.
Moi - S'il vous plaît je suis même pas d'ici moi je cherchais mon chemin pour rentrée chez moi je vous jure !
Il s'approche de moi et me donne une bonne grosse gifle. J'ai sentie des gens prête à bouger dans ma bouche. Du sang coula automatiquement de ma bouche, suivit du liquide de mes yeux déferlait sur mes joues. Je repensais à ma vie et en quelques jours comment elle avait pu basculé d'une vie plus aussi tranquille à un fleuve de problème. J'avais fermée mes yeux et commençais à chahade intérieurement mais sans m'en rendre compte c'était à haute voix.
- Tu lui à fais quoi à la fille ? T'es un grand malade imagine c'était ta sœur ? dit une nouvelle voix.
- Je m'en bats fort. C'est une grosse pute de leurs tieks. Elle mérite forcément frère. dit l'autre.
Je continuais à chahade les yeux fermés quand je sens quelqu'un me toucher la joue. Prise de peur par mon éventuelle agresseur j'ouvre les yeux qui n'avais pas encore atteint son quotas de larmes versées.
- ROKIA ? dit la personne qui venait de me toucher la joue.
C'était un renoi grand de taille avec trois trait cicatrisé près de son œil. Il ne me disait rien pourtant, comment connaissait-ils mon prénom. Il se releva à toute vitesse et envoya son poing contre le visage de l'homme qui m'avais ramener à eux. J'étais choquée de cette violence, mais surtout une question m'étouffant pour m'avais t-il défendu à l'instant.
- Wesh il t'arrive quoi Jaïr d'où tu me tape pour un kwah maintenant dit celui qui venait de se prendre la droite.
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Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]
Ficción GeneralPour tout le monde l'amour rime avec jusqu'à ce que la mort nous sépare, le notre était écrit autrement...jusqu'à ce que mon frère nous sépare. No Copyright ©