Partie 24

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Il ouvre ses yeux, les nettoies du creux de sa main puis les lèvent vers moi. Je continuais à crier comme un enfant pour le rendre fou. Pas moyen qu'il s'endort aujourd'hui sans souffrir.
Mes cries étaient comparables à une hystérique de première catégorie.

J'aurai dû l'étouffer dans son sommeil malheureusement je n'y est pas pensée plus vite avant de le réveiller. Merde. Son téléphone qui était toujours dans mes mains glissa au sur le tapis au sol. Son regard se porta sur moi puis sur son téléphone et il avait compris d'où venait le problème. Néanmoins, il ne voulait pas se lever du lit contredire mes pensées, m'apporter sa parole contre ses preuves irréfutables contre lui. Il s'en foutais clairement ce qui me faisait d'autant plus mal au cœur. Une boule s'était créé dans mon ventre menaçant d'éclater d'un instant à un autre.

Des paroles et mots tranchant étaient prêtes à sortir sans aucune retenue. Au fond, je n'en voulais qu'à et lui et seulement lui. Pas une seconde m'a traversé à l'esprit d'insulter cette fille de pute, salope, chienne et j'en passe chose que plus d'une aurait fait après cette découverte.

Ma rage était canalisé sur une seule et même personne qui n'était que lui. Ce n'était probablement pas la seule fille, moi j'étais pire qu'une idiote d'avoir une confiance aussi aveugle envers lui. Je ne le pistais pas sur ses faits et gestes, je ne cherchais pas ce qu'il pouvait faire de ses journées parce que pour moi c'était clair qu'il ne me ferait jamais ça. Je ne fouillais pas ses affaires et encore moins ne regardais pas son téléphone. Mon Dieu que j'ai été naïf jusqu'au bout des ongles.





Reza - Oh! Kesta toi ? Casse les couilles les gadjis sur ma vie Seydou a grave raison !




En même temps qu'il prononce ses paroles, il retire complètement sa couverture et se lève du lit rentrant ses pieds dans ses chaussons. Il reste assis au bord en se caressant la barbe. Sur l'effet de l'impulsion les mots que je retenais depuis le début dans ma gorge prît le large.

Moi - T'es qu'un sale chien de la casse petit pd va. Tu me dégoûtes, tu me répugnes. Tout le monde avait raison sur toi t'es qu'un fils de..


Ses deux mains se retrouvent in extrémiste emprisonnant mes lèvres qui avait cessé de bouger. Il l'avait senti arrivée et je regrettais d'avoir faillit dis cette injure qui ne devrait pas existé. Aucune mère ne la mérité parce que nos mères sont au-dessus de nous.
Les larmes ruisselant à flots, larmes dont le stock illimités étaient loin d'être à sec. J'étais faible, l'amour rends fou et la trahison rends faible. Mais tout est liée à l'amour qui nous fait passée par plusieurs émotions. Je sentais ses grosses mains se serrer de plus en plus fort sur ma bouche ou plutôt sur l'étendue de mon nez à mon menton. Il voulait me broyer pour soulager sa haine contre moi et je le comprends. J'aurais réagi de la même manière si quelqu'un se permettait de parler de mes parents de la sorte. Peu importe, à quelle point je considère cette personne.


Elles sont plus que des reines, une pensée à toutes les mères. Même si la tienne, c'est la meilleure au final c'est toutes les mêmes. T'y peux rien c'est dans les gènes jusqu'à la mort tu l'aimeras.


Alors, je me laisse faire sans me débattre, à dire vrai, j'étais exténuée et morte à l'intérieure depuis le moment où mes yeux ont rencontrés ses pêchés. Je me sentais trahi de tout mon être et de la pire des façons par l'homme que j'aime. À ce moment-là que j'ai réalisé que je l'aimais vraiment cet homme et qu'il ne me méritait probablement pas.

Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant