ㄨⅣ ◆Fαrεωεll αηd ωεlcοmεd

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Je suis consciente que le dernier chapitre n'est pas été très fructueux en terme d'action. Comme beaucoup d'autre par ailleurs.
Je m'excuse auprès de ceux qui attende impatiemment du changement, enfin, tout ce qui peut amener à faire fangirler sur du ereri, mais c'est de cette façon que je voulais construire cette histoire.
C'est de cette façon que je me doit d'écrire cette histoire.

Après, certain apprécient, d'autre moins.
Mais je devais d'éclaircir certains points avec moi-même.
Mais promis, je tente de passer à autre chose~

Ce fut la note d'auteur en début de chapitre

Merci à tous ceux qui conserve leur détermination à la lecture de cette histoire.
√HL


Cette routine que j'effectuais n'avait pas changée depuis la semaine précédente, et c'est malgré moi le pas incertain que je m'avancais ce lundi dans l'enceinte de l'école.

En présence d'un ciel parsemé de nuages, il faisait froid.
Bien plus que les semaines précédentes.
L'hiver ne semblait attendre que le 21 pour déployer son manteau glaciale, cuisinant les jours comme aujourd'hui pour nous préparer à sa venue, mais personne ne s'en préoccupait.
Il faisait juste froid

Et malgré ça, tout le monde était rassemblé dehors, munis des premières parures pour conserver leur chaleur corporelle.
Tous étaient rassemblés devant un promontoires, probablement le lieu où le proviseur donnera son discours.
Certain semblait savoir ce qui se tramait, d'autre semblait ne rien comprendre.

Par ma faute, ils étaient obligés de se taper ce rassemblement, de changer de dortoirs, et ce juste parce qu'un homme est parvenu à s'introduire dans le dortoir d'un pauvre type qui avait souhaité s'isoler.

Cette histoire restera probablement dans les archives, une histoire qu'on racontera aux nouveaux de l'année prochaine, qu'on relatera en bien ou en mal.

J'espèrais juste passer pour inconnu dans cette histoire. Vraiment, mais je n'était pas la seule personne à avoir eu la vraie version de l'histoire, on est jamais sûr de rien.

Me faufilant parmi la foule sans même avoir pour objectif de la traverser, je pensais à toutes ces fois où les rumeurs circulent, passent en boucle d'une oreille à l'autre jusqu'à en trouver son propos déformé.
Cependant, ce qu'on appelait le pressentiment me disais que le strict minimum allait être dévoilé, de quelle manière je n'en savais rien, mais si l'on connaissait la réputation du paternel sur ma tête, il faut se douter que le dirigeant ne souhaiterait pas d'une mauvaise réputation pour un malheureux accident.

Je pensais à Hanji et Livaï, les deux seuls individus connaissant approximativement tout le déroulement de l'incident.
Qu'allait-ils faire de ces informations ?
Ils n'avaient pas l'air de mauvaises personnes, mais il ne faut jamais juger un livre à sa couverture.

Les étudiants parlaient entre eux tout autour, et je n'y prêta pas la moindre attention, même lorsqu'une folle furieuse se traça un chemin jusqu'à sa destination, qui devait être moi vu le regard quelle arborait lorsqu'elle s'approchait.
Cependant, alors que je pensais la voir aussi excitée qu'à son habitude, une ombre à peine perceptible dans son regard indiqua qu'elle n'était pas aussi folle qu'elle aurait pu l'etre ne d'autre condition.
Bon ou mauvais signe ?

Malgré tout, elle tenta de faire comme si de rien n'était.

" EREEEEN ! JE SAVAIS QUE TU VIENDRAIS VIEUX! alors comme ça on se fait la malle, hein ? Contente que t'ailles mieux, tu sembles péter la forme" disant ceci, elle m'avait donné le vieux coup de point de l'amitié sur l'épaule, geste que j'ai légèrement appréhendé alors que je ne comprenait pas pourquoi je semblait péter la forme.

ωhιτε dαrκnεss 『EreRiren』Où les histoires vivent. Découvrez maintenant