Un océan nous sépares - Un amour d'Europe

Chapitre 14

2 janvier 2014 (plus tard)

Pendant 1h je fessais ma top modèle dans les cabine d'essayage devant Michael. Lui il chantait souvent la chanson Pretty Wowan pendant que moi j'esayais des robes de soirée élégante. Toute les clients et les vendeuses nous regardais croche. Un moment donné une vendeuse vint vers nous. 

- Nous vous demanderons de quittez le magasin, s'il vous plaît. Dit-elle avec son air hautain.

- Pourquoi ça ? Nous voulons acheté des articles, dis-je un peu choqué. 

- Vous dérangez nos clients. Dit-elle naturellement.

- D'accord, vous venez de perdre deux clients je ne reviendrez jamais ici. Dis-je en claquant la cabine d'où je fessais mon essayage suprème. 

Je mettais mes vêtement trempé de milkshake et sorti. Elle me regarda de travers.

- Et oui j'avais besoin de vêtement, répondai-je avant de partir avec Michael. 

Après avoir sorti du magasin, une fille de notre âge arriva vers nous. 

- MIchael, dit-elle en lui sautant au cou. Tu m'a tellement manqué, où étais-tu ? Depuis le 25 décembre tu me donnes même plus de nouvelle. 

Après elle l'embrassa de force. Michael reculai.

- Valérie, lâche moi. Et tu ne voie pas que je suis avec quelqu'un ? C'est fini nos nuits tout les deux. Dit-il.

Je regardai la scène, j'étais choqué, triste ? Je ne sais pas. Je décidai de l'aidé.

- Je pense qu'il à été clair, eum Valérie. Tu devrais partir parce que si je serais toi, j'aurai légerement honte. 

Elle me regarda avec le regard qui veux dire : Non, mais tu es qui toi, espèce de p*tasse ? Elle essaya de me gifler mais Michael prit son poignet avec qu'elle ait atteint sa sible. 

- Tu devrai avoir honte de vouloir la gifler. Maintenant nous allons te laisser ici.

Elle ouvrit la bouche pour répliqué mais rien ne sortit. Elle partit en courant vers la porte 3 du centre commercial. Je commençais à rire légerement.

- Je suis affreusement désolé, Alessa. Je comprend ton jugement. Dit-il en baissant la tête. 

- De quoi tu parles ? Pourquoi tu t'excuse ? Tu n'a rien à te reproché. Et je ne t'ai pas jugé. Répondis-je en riant.

- Non tu viens de savoir quelque chose de honteux sur moi, dit-il en me regardant droit dans les yeux. 

Je voyais quelque chose de clair. Il se sentait mal et jamais il n'aurait voulu que je le sache. Je trouvais ça mignon. Je lui prit les mains.

- Michael, tu ne dois pas avoir honte, tu as 19 ans. Tu es libre de faire ce qui te chante, bon pas au États-Unis. 

Il rit en entendant ma dernière phrase. 

- Alors nous somme encore ... amis ? Demanda-t-il géné.

- Mais bien sûr que oui ! J'ai fait des affaires pires tu sais. Tu es trop cute à te voir comme ça. 

Ho non je venais de dire ça tout haut. Je baissa les yeux avant de rougir. Je sentais qu'il me regardait avec ses grand yeux vert. 

- Tu es mignonne, tu sais j'ai atrocement goût de t'embrasser. 

Il venait vraiment de dire ça ? Mais il pouvait pas ! Je partais bientôt ... 

- Michael, je ...

- Ouais je comprend, tu veux pas .. je suis désolé. 

Il baissa la tête et il frappait sur des roches invisible (avec ses pieds évidament)