Chapitre 19

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5 janvier 2014

Je me levai du bon pied. Regardai l’heure de mon Ipod; 9h43. Je m’habillai d’une camisole noire et d’un pantalon rouge. J’entrai dans la salle de bain ensuite pour me m’arranger un peu. Une queue de cheval allait faire l’affaire. Après ma petite routine j’entrai dans la cuisine, où tout le monde étrangement me regardait.  J’affichai un sourire de bonne humeur.

-          Allô. Tout va bien? Demandai-je avec un ton incertain.

-          Viens t’assoir, nous avons une mauvaise nouvelle. Dit Julia d’un ton très sérieux à mon gout, même trop sérieux.

Mon sourire s’estompa vite. Je m’assis à côté d’elle.

-          Qu’est-ce qui ce passe? Je peux le savoir?

-          Ton père, me dit lentement tonton Joe.

-          Qu’est-ce qui ce passe avec mon père? Demandai-je en paniquant un peu.

-          Il est à l’hôpital, il a eu un accident.

Je me levai d’un bond. Je mis mes bottes et je courrai dehors. En fait je ne sais pourquoi je courus dehors mais je me calmai vite. Je m’assis sur une roche, la tête dans mes mains. Ce n’était pas possible. Peut-être que ce n’était pas grave après tout.  Je rentrai et je m’assis à ma place de tout à l’heure.  Mon cœur battait tellement que je pensais qu’il allait sortir encore de ma poitrine. Mais maintenant c’était négatif et non positif.

-          J’ai oublié de demander; Est-ce que c’est grave? Qu’est-ce qui à eu? Est-ce qu’il va mourir? Demanda vite.

-          Il a eu un accident de voiture. Et il est à l’urgence. Et il va survivre.

Je me mis à pleurer comme une folle.  Je jetai un coup d’œil à Michael, il avait l’air vraiment triste à propos de la nouvelle.

-          Il faut … que je retourne au Canada. Balbutiai-je.

Le regard de Michael se posa sur le mien dès que je dis ‘’REVENIR’’.

-          S’il vous plait, Il faut que je retourne au Canada. Je ne peux pas aller bien sans voir mon père. Dis-je.

-          … Fais tes bagages ont pars dès que tu auras terminé. Dépêche-toi. Dit Tonton Joe.

-          NON, tu ne peux pas partir Alessa.

Je parti vers ma chambre. Michael me suivi. Il ferma la porte en un gros claquement. Je pris presque toute mes vêtements et je les mis dans ma valise. Je pris une pogné de vêtements mais Michael me bloqua.

-          Michael, je dois y retourné.

-          Et que fais-tu de nous?

Je lâchai toute mes vêtements et je pris la figure de Michael entre mes mains.

-          Je reviendrai et je te le promets, tu seras toujours dans mon cœur. TOUJOURS.

-          Tout le monde dit ça mais personne c’est vrai, dit-il d’un ton fâcher.

Il sorti de la chambre rapidement.  Je m’effondrai à terre avant de reprendre mon courage et rassemblé mes vêtements et mes objets personnelles.  

-          Je suis prête à partir tonton Joe, dis-je en regardant Michael dehors sur le balcon, l’endroit où ont c’est embrassé pour la première fois.

-          En voiture, j’ai appelé tante Eva. Elle va être à l’aéroport.

–        Rendu à l’aéroport –

-          Bye tout le monde, merci pour tout. Je vais revenir c’est sûr.

Je tenais toute mes bagages dans mes mains. J’avais ma famille  et Michael en face de moi et je devais les quitter pour rejoindre mon père. Je me tournai en attendant encore ma famille me crier bye. Je commençai à marcher vers l’endroit indiqué lorsque que je sentis une force vers mon épaule pour me retourner. Je me retournai mais pendant que je me retournai Michael plaqua ses lèvres sur les miennes en me tenant les joues. J’entendis ma famille dire : «Je savais » ou en fessant le son « ooooooooooooohhhhh »Je lâchai toute mes affaires pour me consacrer juste à lui. Je sentis sa main se glissé en arrière de ma nuque. Il avait juste lui qui comptait, tout autour s’estompa lentement. Tout. Était. Parfait.

-          Un baiser d’au revoir. Dit-il.

-          Ça ne peut être un baiser d’au revoir puisqu’un jour je te rêverai et ce moment arrivera bientôt je te le promets solennellement.

-          Sais-tu ce qui veut dire ce mot?

-          Non et toi?

-          Non. On se donna un câlin et il me souffla dans l’oreille : Je ne peux pas dire combien de temps nous allons nous aimé car le nombre infini n'éxiste pas. 

Puis il partit rejoindre ma famille. Je le regardai partir en repensant à ce qu’il dit. C’était la phrase la plus cute que j’entendis de toute ma vie. 

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Bonjour, bonjour.

Voici l'avant dernier chapitre. Il en reste UN. Oui UN. Alors merci pour tout le monde qui lis mon histoire c'est vraiment apprécier j'adore voir qu'il en a qui lisent encore mon histoire. 

Merci pour TOUT. 

Jacynthe Martel xxx

Un océan nous sépares - Un amour d'EuropeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant