Recueil Histoire d'horreur.
Qui n'a jamais rêvé de voir les plus grands psychopathes des années quatre-vingt à nos jours se réincarner pour de nouvelles histoires d'horreur ?
Ils ont terrorisé le monde entier, ils ont effrayé nos parents...
On vit tous en sachant que l'amour est le sentiment le plus puissant au monde. Un sentiment pouvant pousser à l'acte le plus tendre, comme à l'acte le plus horrible. Même l'homme le plus gentil et bienveillant du monde, peut se retrouver avec une envie folle de tuer.
C'était le cas de Gorges Lambert, médecin sur les côtes varoises, plus précisément à Hyères. L'homme était fou amoureux et entretenait une relation cachée avec l'une de ses patientes ; Jeanne Petit. Une femme de trente-cinq ans, mariée avec deux enfants. Elle avait eu comme un coup de foudre pour cet homme approchant la cinquantaine, aux cheveux poivre et sel, au teint mat et aux yeux clairs.
Au départ, le docteur Lambert, voulut que la femme change de médecin traitant. Pour lui, il était inconcevable d'entretenir une relation avec 'lune de ses patientes et qui plus est marié. Après de nombreux discourt expliquant qu'elle avait rencontré son mari jeune, que la flamme n'était plus réellement présente, la persuasion eut son effet.
Cela faisait maintenant presque deux ans, que Georges avait succombé au charme de la femme. Cependant, Jeanne devenait de plus en plus étrange. Elle exprimait verbalement l'envie de vouloir se débarrasser de son mari définitivement. Le médecin essayait de ne pas relever ce genre d'idée sombre et malsaine, jusqu'au jour où l'homme vint à son cabinet.
Monsieur Petit avait tous les symptômes d'une pneumopathie naissante, mais avant tout importante. Une bronchite qui n'avait pas été soignée, avait engendré cette tournure, qui se pouvait être dramatique, mais surtout fatale pour l'homme.
Le Docteur Lambert, donna à l'homme de quoi soigner une bronchite. En limitant les dose des médicaments, cela aurait aucun effet sur le corps de l'homme qui était déjà bien infecté par la maladie. Il savait que cela ne serait qu'une affaire de temps, avant que la pneumonie ravage ses voies respiratoires.
Les semaines passaient et madame Petit venait de plus en plus souriante. L'état de son mari se dégradait de plus en plus chaque jour, pour son plus grand bonheur. L'homme étant têtu, il ne voulait pas retourner chez le médecin et disait que ça allait passer, pour la plus grande joie de sa femme, qui le voyait mourir un peu plus chaque jour.
Après plus d'un mois, son mari lutant encore contre la maladie le ravageant, la femme perdit patience. Aveuglément et d'une manière peu professionnelle, il prescrit à la femme, une boite de somnifère assez puissant. La dose de base se limite à un demi-comprimé avant de se coucher, au-delà le médicament pouvait se révéler mortel.
En rentrant chez elle, le soir même, la femme déterminée a supprimer son mari lui prépara le cocktail de la mort. Elle lui fit un chocolat chaud, c'était la seule boisson qu'il arrivait encore a avaler. Mais à l'intérieur, se trouvait pas un, ni deux, mais une dizaine de somnifères. La femme avait minutieusement écrasé les médicaments, afin d'en faire de la poudre, qu'elle mélangeant ensuite à la boisson chaude. Elle insista sur le chocolat en poudra, afin de masquer le goût du médicament.
Le lendemain matin, pompiers et gendarmes se trouvaient devant le domicile de la femme. Le mari venait d'être diagnostiqué décédé dans son propre lit, sous le regard " anéanti " de sa femme. Malheureusement, madame Petit aujourd'hui veuve, avait oublié une chose très importante. Le corps de son mari allait subir une autopsie, afin d'établir la cause de la mort.
Prise de panique, elle alla en direction du cabinet de son amant. Elle savait que l'homme aurait la solution, qu'il l'aiderait dans son problème et peut-être même qu'il chercherait a masquer les indices. Cependant, quand elle arriva au cabinet de l'homme, elle fut surprise de voir qu'une foule de patients attendait à l'intérieur de la salle d'attente. Le docteur Lambert avait plus de deux heures de retard sur ses rendez-vous, chose qui n'était pas dans ses habitudes.
Jeanne qui voulait comprendre, se prit le culot d'entrer dans le bureau de consultation de l'homme. Elle découvrit son amant, au sol, le crâne explosé, du sang sur les murs, une arme à la main. La gendarmerie qui venait de trouver l'ordonnance au nom du médecin et la tasse de chocolat contenant des résidus de poudre similaire au somnifère, arrivèrent sur les lieux. Ils arrêtèrent la femme, qui était la principale suspecte pour le meurtre de son mari, mais un indice la fera inculper encore plus facilement. L'homme, prit de remords avait écrit une lettre avant de se suicider :
J'ai honte de ce que je viens de faire, j'ai honte de la personne que je suis.
J'ai laissé un simplement sentiment prendre le dessus, j'ai laissé le charme s'opérer au point de me faire manipuler comme un enfant. Je savais les intentions meurtrières de cette femme que j'aimais, à l'égard de son mari. Je croyais bien faire, mais je me suis souvenu que j'étais là pour sauver des vies et non pour les supprimer.
C'est pour cela, que ce soir, je vous fais des aveux sur papier. J'ai donné une ordonnance à monsieur Petit pour une bronchite peu sévère. L'homme était atteint d'une pneumonie en cours et aurait dû être envoyé à l'hôpital. J'ai ensuite fait une ordonnance pour Madame Petit contenant des somnifères très puissant, se pouvant mortel à forte dose.
Je savais d'avance l'usage de ces médicaments. Je me sens, je suis responsable de la mort de cet homme. Je n'ai pas le droit d'être au service des gens, de les soigner après un geste aussi déplorable que le mien. Pour cette raison, j'ai préféré mettre fin à mes jours...
Docteur. G. Lambert.
Inculpé pour meurtre avec préméditation avec manipulation d'autrui et homicide involontaire pour le suicide du docteur Lambert. La veuve Petit avait tout perdu, ses enfants ne voulaient plus entendre parler d'elle. Une histoire bien malheureuse d'un homme fou amoureux qu'une femme horrible, dont la conscience s'est réveillée bien trop tard.
***
Hey tout le monde. Alors une petite histoire qui n'est pas totalement dans l'horreur, mais c'est une histoire vrai c'est pour cela que je l'ai prise. Bien entendu, les prénoms, le lieu sont fictif, mais j'aime beaucoup les émissions comme enquêtes criminelles ou crime et j'avais trouvé cette histoire horrible et intéressante. Dans le sens ou l'amour à poussé un homme dans la complicité de meurtre, mais le remord à été bien plus fort que l'amour, donc j'ai voulu la partager avec vous.
Que pensez vous de cette histoire ?
Jusqu'où iriez vous par amour ?
Comment auriez-vous agis, à la place du docteur Lambert ?
Un petit vote fait toujours plaisir *.*
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