Chapitre précédent : En fait j'ai rien à dire, juste lisez :)
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Marisa était allongée sur son matelas en attendant son heure. Plus les minutes passèrent et plus la température augmentait. Marisa esseya de ne pas y penser, elle préférait se rappeler de cette conversation avec Perrie ayant eu lieu 6 jours auparavant. Ce jour là fut comme une bouffée d'oxygène pour la femme âgée, pouvoir ouvrir de nouveau la bouche et entendre le son de sa voix. Pouvoir entendre le son d'une nouvelle voix, d'une douce voix, qui ne crit pas, qui est compréhensible. Retrouver un peu d'humanité.
Seulement depuis ce jour là plus rien, les gardes l'avait éloignés de Perrie, elles se voyaient seulement mais ne se parlaient pas. La photo était fausse, son sourire aussi, on lui avait demandé de sourire mais c'était faux. Marisa s'était assise à côté de Perrie sous les ordres de Gennaro, il avait ordonné à l'anglaise de montrer son plus beau sourire, elle avait fait de son mieux puis Marisa quitta le réfectoire pour retourner au travail. Elles n'avaient pas échanger un mot.
Marisa, au plus profond d'elle même, espérait pouvoir avoir un nouvel échange avec la jeune chanteuse mais cela sera trop beau pour être vrai. Alors les journée passèrent d'une lenteur extrême, et petit à petit Perrie s'éloignait de son champ de vision jusqu'à disparaître complètement, depuis hier, dans la matinée. Et puis plus de nouvelles, plus rien, Perrie ne travaillais même plus, ne mettais plus un pied en dehors de sa cellule.
... : Cinq secondes !
Marisa avait entendu le bruit de la clef puis la porte s'ouvrir, elle se leva aussi vite qu'elle put.
... : Quatre secondes !
Même si Marisa ne comprennais pas le language des gardes, elle compris se rituel de compte à rebours
... : Trois secondes !
Marisa accéléra le pas tout en baissant son regard au niveau du sol.
... : Deux secondes !
Elle frola le garde qui se trouvais à la porte d'entrée, et eut des frissons de dégoût quant à son odeur.
... : Une seconde !
Elle se trouvait déjà dans le couloir mais pour ce garde bien gras se fut une priorité de finir ce compte à rebours. Il ferma la porte et utilisa la même routine pour tous les autres otages. La journée pouvait maintenant commencer.
La matinée de travail était si difficile, Marisa avait pour travail de couper du fil de fer souple à l'aide de ses mains tout en respectant les dimensions voulues. Au bout de trois heures de travail acharné sous un soleil assomant Marisa eu enfin finit dernière cagette. Elle regarda ses mains, dans quel état elles se trouvaient. Ses doigts étaient cisallés par de nombreuses petites marques rouge. Elle se leva de sa chaise et alla amener la cagette au garde charger de la surveillance. Un second garde arriva dans les cinq secondes et pris son bras de force afin de la sortir de la court, il la traina jusqu'au réfectoire et retourna à ses occupations. Marisa passa sa main à l'endroit où l'homme l'avait maltraité, elle pris quelques secondes afin de récupérer et entra enfin dans la salle d'alimentation. Elle pris une sorte d'assiette en métal dont les bords remonte sur cinq centimètres et se dirigea à l'endroit où se trouva une seconde table. Sur cette table était posé une marmite, son contenu était le même depuis des années, une sorte de purée flasque, sans goût. Les mercenaires devaient avoir l'habitude de nourrir les otages avec cette chose, comme si ils se faisaient passer le message partout dans le monde.
Marissa en pris deux louches, comme à son habitude et trouva une place, seule. Elle commença à manger, non par faim, gourmandise, envie mais par nécessité. De toute manière, à force de manger cette même chose les papilles commence à connaître ce goût et le supprime, comme si c'était de l'air. C'était histoire de rester en bonne santé et d'avoir le ventre plein avant de retourner travailler.
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Survival - Little Mix French fanfiction
Fanfiction25 Septembre 2014. Dans un mois c'est le mariage de Zerrie. Dans un mois ils se diront "oui" et Perrie Edwards deviendrat Perrie Malik. C'est ce qu'il devait ce passer, c'est ce que tout le monde s'imaginaient, voulaient voir. Tout le monde ? Sauf...