Survival - Little Mix French fanfiction

Jour 12 : Lack

Rien de mieux que d'écouter I will wait des Little Mix quand on lit une fiction sur les Little Mix :3

Alors dans le chapitre précédent Perrie à offert un "cadeau" à Leigh et as eu une longue discution avec G. 
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Durant la journée précédente, entre deux pleures, Perrie réfléchissait à ce qu'elle pouvait faire pour changer les choses ou sortir plus rapidement d'ici.

Perrie se disait que les gardes postaient des photos d'elle en bonne santé sur internet mais si les photos devenaient de plus en plus trash alors son séjour se raccourcirait cependant elle n'était pas sûr d'avoir le courage de le faire. Si elle se rebellait trop afin que les gardes la battent et la prive de nourriture alors oui peut être qu'elle sortirait plus rapidement mais si elle calcul mal son coup et que G ne contrôle plus sa force alors Perrie risquerait de perdre sa vie, et c'est loin d'être son but. Elle se jugea incapable de faire une chose pareille et retomba dans les larmes sans pouvoir s'arrêter. 

Pour l'instant le seul moyen qu'elle avait trouvée pour défier l'autorité était de faire la grève de la faim et de continuer à pleurer jour et nuit, enfin ses larmes n'étaient pas vraiment volontaire, elles venaient toutes seules.

Alors que Perrie n'avait pas entendu la voix de G depuis l'anniversaire de Leigh ce dernier entrain en vitesse dans la cellule, deuxième crise.

G : T'as toujours pas fini de pleurer ?

Perrie : Non.

G : Tu t'habitueras à ne plus voir tes proches. 

Perrie : Tu t'habitueras à m'entendre pleurer.

G : Je ne crois pas non.

Perrie : Et les autres alors ? Ils pleurent pas peut être ?

G : Non.

Perrie : Pourquoi ? Je croyais qu'ils étaient plus faibles que moi pourtant.

G : Parce que les faibles qui pleurent, c'est interdit, on les empêche de pleurer si tu vois ce que je veux dire c'est pour ça qu'on ne s'y habituerait jamais. Mais toi.

Perrie tomba de haut en entendant ces propos, elle n'avait pas à être traité d'une façon différente parce qu'elle s'appelle Perrie Edwards, elle est comme les autre, elle est humaine.

Perrie : J'avais oublié ...

G : ... qu’on n’a pas la droit  de te toucher. 

Un silence se fit sentir dans la pièce mais G n'avait pas envie de sortir pour autant, il ne sortira pas tant que Perrie n'aurait pas calmée ses pleurs.

G : Alors qu’est ce qu'il faut que je fasse pour que tu arrêtes de pleurer ?

Perrie : T'es sérieux là? 

G : Oui.

Perrie : Oh je ne sais pas, comme pour les autres, me battre, comme ça je me forcerai à ne plus pleurer, ou tiens encore mieux, me rendre ma liberté peut être. 

G : Sombre idiote, tu n'as vraiment rien compris. 

Perrie ? Une idiote ? G a du louper quelque chose parce que bien que la couleur de ses cheveux ne soit pas à son avantage la jeune chanteuse a plus d'un tour dans son sac.

Perrie : Si je ne mourrais pas de faim ou sous les coups alors je mourrais de manques.

G : Et nous ne voulons pas ta mort.

Perrie : Alors vous finirez par me ramener chez moi, un jour ou l'autre. 

G : Parles pas trop vite.