Fin

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Il me faut conclure, quitte à t'exclure, fermer ce livre et ouvrir les yeux. Pour sortir de la nuit et laisser doucement le soleil revenir.

Je ne veux pas te mentir alors laisse-moi fuir. Te laisser prendre le large que le train ne déraille.

Laisser filé le train de ce voyage partagé est une nécessité.
Tu sais combien, une envie peut-être capricieuse, surtout quand l'idée fuite.

Te voilà libre de vogue à ta guise, loin de ces ternes récits.

Ma nuit s'achève, adieux rêves et déraison !

Le jour m'appelle, celui de ma rédemption.
Balayer le passé et avancer.

Une chose est certaine ce soir j'y retrouver les bras de Morphée

Divagations d'une insomniaqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant