vingt [épilogue]

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     Les rescapés se trouvaient sur un navire que les ramenait en Espagne

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Les rescapés se trouvaient sur un navire que les ramenait en Espagne. Tous avaient opté pour la mer et non les airs. Reprendre l'avion leur aurait fait revivre leur cauchemar et c'est tout ce dont ils n'avaient pas besoin en ce moment. Tous assis autour d'une table, ils discutaient s'approchant peu à peu de la terre espagnole.

Le voyage avait duré plusieurs jours avant qu'ils arrivent à Barcelone où tous leurs proches les attendaient pour les retrouver. Le bateau arriva à bon port et les anciens naufragés descendirent. Hugo se trouvait dans un fauteuil roulant à cause de son accident. Il le faisait avancer, cherchant des yeux sa petite famille qui l'attendait de pied ferme.





Papa !





Deux petites têtes blondes se mirent à courir dans sa direction. Le gardien ouvrit ses bras dans lesquels se réfugièrent ses deux petites filles qui lui avaient tant manqué. Sa compagne arriva quelques secondes plus tard, les yeux pétillants de bonheur. Son mari était enfin de retour, sain et sauf. Elle se pencha, prit son visage entre ses mains et le détailla. Sa barbe avait poussé, ses traits du visage semblaient plus durs et il avait quelques égratignures par-ci par-là. Un sourire ornait leur visage. Après un mois d'attente, ils purent sceller leurs lèvres. Ils étaient de nouveau réunis.








 Malia chercha du regard ses parents

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Malia chercha du regard ses parents. Elle était tellement impatiente de les revoir. Se retrouver sur cette île lui avait fait comprendre à quel point ils étaient importants pour elle et à quel point elle les aimait. Une fois qu'elle les eut trouvés à travers toute la foule qui était venue les accueillir pour leur retour, elle se rua sur eux, courant et poussant les gens. Elle se jeta dans les bras de son père qui la serra fort contre lui. Elle huma son odeur. Ça lui avait tant manqué... Elle enlaça par la suite sa mère.





Ma chérie...





C'était tellement bon de les revoir, de les savoir à côté de soi et ne pouvoir les toucher. Son cœur semblait battre à nouveau correctement. Elle revivait.








SURVIVE » edfOù les histoires vivent. Découvrez maintenant