NDA : Je tiens a m'excuser pour le retard, mais j'ai de bonnes raison ! Mercredi Jeudi, j'ai un peu écris mais je me suis concentré sur mon OS pour un concours. Vendredi j'ai été à la Japan Expo et Vendredi/Samedi j'ai été dormir chez une amie, donc j'ai finis à la va-vite ce chapitre ><
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- Nous avons vécu à deux époques bien différentes, séparées d'un siècle, alors, tu ne le sais peut être pas mais une légende parcourait chaque boulevard, chaque boutique, chaque rue, chaque ruelle, à mon époque. Un mythe, ou devrais-je dire une légende urbaine, parlait d'enfant aux yeux plus rouges que le sang. On racontait qu'il semait malheur et désespoir à chacun de leur passage. Cette légende devait venir de mélange de faits mythique et historique. Ici même, avoir les yeux rouges est considéré comme un péché, la réalité c'est qu'il reflète les crimes qu'on a pu commettre par leur couleur. Il y a, et cela depuis la nuit des temps, des légendes mettant en scène de vaillants héros s'étant aventurés jusqu'en enfer, tout en étant vivant. Ils seraient revenu et aurait parlé de leur vécu là-bas.
- Étonnamment, on a jamais entendu parler d'un « héros vaillant » qui serait allé au paradis... Dis-je.
- Ni même au Purgatoire. Enfin donc, je disais : ces légendes urbaines étaient, aussi étrange que cela puisse paraître, réelles. Ces personnes aux yeux rouges existaient, mais étaient rejetées n'importe où elles allaient. Ils existaient cependant des familles, des familles riches, qui les prenaient, se les arrachaient à de bon prix. Ils devenaient les esclaves d'un civilisation qui les haïssait, et subissaient de nombreux tests qui viraient vite aux tortures...
FLASH-BACK : PDV Amy :
Les Wess étaient une famille réputée, connu pour avoir servi la famille impériale des siècles plus tôt. Ils n'avaient rien perdu en prestige, au contraire, ils éduquaient leurs enfants pour qu'ils soient les plus forts, les plus intelligents, les mieux éduqués.
A cette époque, j'étais Kaylee Wess, la fille aînée de la branche principale. Dès mon plus jeune âge, alors que j'avais six ans, j'avais été fiancée à un homme âgé de dix ans de plus que moi. Ce n'était pas un homme mauvais, il était certes orgueilleux, mais son éducation l'avait conduite à se conduire comme ça. Il était mature, aimable, oui, peut être qu'il s'emportait un peu vite parfois, mais c'était un homme bon.
Seulement, je n'étais pas du genre à me voir un avenir grandiose, dans les grands palais, dans la richesse et la facilité, mère au foyer avec vingt héritiers descendant d'une longue lignée. Je voulais aller dans une école normale, avec des amis normaux, manger des plats normaux, avec une vie normale.
- Kaylee ! Kaylee ! Appela un jeune garçon de derrière la fenêtre.
- Aide moi à pousser la fenêtre !
- Mais arrête du vas me faire tomber !!
- Mais comment tu veux que j'arrive à pousser si tu m'aides pas ?!
- Débrouilles toi mais je vais lâcher !
- C'est bon !
La fenêtre s'ouvrit dans un petit grincement, et deux petites têtes décoiffés, terre et feuilles coincées dans leurs cheveux, me firent un signe de la main.
J'étais dans une salle d'étude, un grand bureau en bois surchargé de feuilles, des calculs complexes, un vieux globe terrestre de dizaines de décennies, des plans d'architecture, des rendez vous notés sur un tableau à la craie et j'en passe. J'étais assise, la tête dans mes genoux, sur une chaise en plein milieu de la pièce. La fenêtre n'était que poussée et non fermée, voilà la raison de se tapage. Aaron et Jordan. Voilà le noms des deux garçons qui pendaient à la fenêtre. Enfin, c'est moi qui leur avait donné, pour les autres s'était « numéro 14 » et « numéro 15 ». Ils étaient tous les deux des enfants aux yeux rouges. On les appelait « les enfants du diable », « les enfants du sang », « les descendants du traître » « les descendant de Satan », et je ne sais quel autres noms stupides.
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Purgatory [Purgatoire] (fr)
Teen Fiction"Nous sommes, en ce monde, en ce système, en cet univers, l'équibre parfait. Personne n'est plus équivalent, en bien et en mal, que nous, nous sommes le 50 - 50 % parfait. Je veux que tu saches qu'ici, nous ne sommes ni au paradis, ni en enfers. Nou...