Le vent souffle, je souris à la vie.
Amère vérité, qui est la mort, protège-moi de ce vent destructeur.
Uni est mon cœur, je me sens comme une idéale parole infâme.
Beauté éphémère me rappelle l'âge de mes souvenirs.
Éternel démon qui hante mon esprit, vient à moi et chante pour moi.
Damné mon âme était, peut-être goûterai-je un jour à un paradis mouvementé.
Utopie aussi noire que le jour éternellement maudit.
Nuit bleue aux sons heureux, promets-moi de rendre le jour plus chaleureux.
@LaYahzim
Recueil : Second Souffle
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Les poèmes errants I
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