Je pourrais écrire
Trois mille odes à la musique,
À leurs paroles silencieuses et délicieusement lyriques
Et à la passion de leurs enchaînements qui nous attirent.
Comment peut-on simplement voir ça comme un art ?
Quand c'est toutes les vies du monde qui à travers les notes transpirent,
Quand il y a des milliards de Mozart,
Dans le noir,
Qui, dans les rues, suent leurs peurs et leurs désirs
Avec juste, comme seule arme et seule larme,
Un instrument accouchant des plus beaux vacarmes.
@MadnessChoice
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Les poèmes errants I
PoetryIci, vous pourrez trouver les poèmes de chaque poète errant... Vous êtes invités à envoyer vos poèmes par messages privés sur ce compte pour participer. Au Lecteur errant Si tu es ici par hasard ou par conviction J'écris ton nom, Lecteur. De la cave...