paloma.
je suis retournée officilfememt au café aujourd'hui en ce vendredi froid de décembre et chaque accueil des clients un minimum habitués m'a réchauffé le cœur au maximum.
j'ai repris mes petites habitudes accompagnée de melina et caroline qui se fait plus présente du fait du poste libre de katy.
caroline a pris le décision de la virer. peut être que ce n'était pas la bonne mais j'ai laissé à katy un petit mot dans sa boîte aux lettres pour m'excuser de l'avoir pousser à bout lors des explications, qu'elle ne doit pas sens vouloir de trop pour les coups que j'ai reçu parce que je vais bien si ce n'est mieux qu'avant, la remerciant quand même pour sa gentillesse et en lui faisant parvenir l'adresse de mme.billau.peut être que ca l'aiderait ?
ca m'avait aidé moi, charlie aussi, pourquoi pas elle ?
charlie est accoudé au comptoir et nous regarde travailler.
- je vais finir par t'embaucher jeune homme ! s'exclame caroline et le voyant observer nos moindre fait et gestes.
on rigole doucement et je m'en vais en salle pour récupérer les tasses salles utilisées par les clients qui viennent de sortir affronter l'espèce de tempête de neige qui s'abat sur la ville, rendant les rues presque désertes et les magasins remplis.
je plains réellement les hommes chargés de mettre les guirlandes dans la rue de calmeyers gate avec ce vent et ce froid atroce.
- je pars à la poste les filles, je reviendrai pour la fermeture.
je souris à caroline, n'ayant plus aucun mal à ce geste et continue de nettoyer la table en la voyant passer derrière vitre.
je reviens derrière la comptoir en souriant à charlie et aide melina avec la vaisselle.
mme.holy est encore là à bavasser de tout et de rien, de la pluie comme du beau temps même si actuellement je pencherais plus pour la première option et melina s'efforce de tout enregistrer pour demain.
je retourne en salle pour débarrasser trois tables qui viennent de se vider. la tempête venait de s'arrêter et je pense que chacun devait se dire que c'était maintenant et pas plus tard si il voulait rentrer chez lui sans être frigorifié.
caroline est rentrée avec un lourd colis et charlie à attrapé le paquet pour le déposer dans un coin de la pièce en attendant la fermeture du café.
je lui ai souris devant ce signe de gentillesse et le peu de client qui restait vient à s'en aller cinq minutes plus tard.melina vient m'aider à ranger et on finit par souffler un peu une fois la salle propre.
on retourne dans la buanderie qui continent nos casiers respectifs où sont rangées nos affaires personnelles et j'enfile mon long blouson, qui descend à mi-cuisse, par dessus ma chemise et mon pull, mon écharpe et mon bonnet tandis que melina fait de même.
on en ressort rapidement et nous saluons caroline.
on quitte le café accompagnée de charlie et on éclate de rire quand melina se vautre, tête la première dans la neige.trois bons amis qui rigolent ensemble, voilà ma définition de bonheur et ca même avec les regards en coin que charlie me lançait et que je lui renvoyais sans doute.
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charlie et paloma
Teen Fictionavant d'écrire le jour suivant, vivons nous vraiment ? je me suis longuement et beaucoup trop souvent posé la question ; est ce qu'on peut réussir à détester ses parents toute sa vie ? la vie s'acharne t-elle sur une seule et même personne dans le...