Chapitre 11

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Déjà quelques jours que je ne lui donne pas de nouvelles, j'entame une nouvelle semaine, le soleil est de sortie et nous fait l'honneur de nous donner de sa chaleur durant nos quelques minutes de pause. Nous en avons besoin vu le carnage que nous avons fait dans le salon aujourd'hui. Les début de semaine sont calme donc nous pouvons profiter certain moment de détente.

Le mercredi matin à mon arrivé au salon, nous décidons de se prendre toute ensemble un café. Le temps que le café soit servie, je parle avec la première cliente de la journée qui vient d'entrée quand j'entends un grand "PFFFFFFFFFFFFFF" provenant de la salle de repos.

-Qui a fait sa???crie Delphine pendant que Laëtitia et Isabelle rigolent.

Oups, un grand sourire nait sur mes lèvres, je m'empêche difficilement de rire devant la cliente. J'avais oublié que la veille profitant de son jour de repos, j'avais mis du sel et un filet d'eau au font de sa tasse. Je n'imagine pas le goût infecte que produit le sel dans son café noir! J'installe la cliente à une coiffeuse et me dirige à la salle de repos, le placard et le carrelage au dessus de l'évier dégouline de café.

-Je suis sur que c'est toi! me dit Delphine en pointant son petit doigt dans ma direction

-Moi? lui dis-je en faisant un regard étonné et plaçant une main sur ma poitrine, mais voyons jamais je n'aurai osé!

-Ya que toi pour faire ce genre de cou tordu!

-Oh je trouve pas sa si tordu, lui dis-je, ce qui a pour effet de faire explosé de rire le reste de la salle.

-Si c'est pas tordu je demande à voir quand sa l'ai... dit Laëtitia.

Un autre moment, je subis la vengeance de Delphine, et Laëtitia en a profiter aussi. Alors que j'étais expulsé de la salle de repos a coup d'élastique et de serviette mouillé sur les fesses, je me dirige vers la réserve quand j'entendis un grand boum. Je passe la tête par l'ouverture et voit Isabelle assis sur les fesses, son bol de couleur à même le sol. Je la regarde ne sachant pas si je dois rire, je l'aide à ce redressé m'assurant qu'elle n'est rien de casser, et nous regardons à nos pieds la mixture qui continue à ce déversé au sol. Ne tenant plus nous rions ensemble.

Une bonne journée est passé, ne voulant pas aller au lit dès le début de soirée, une fois de plus je me rend sur mon lieux favori. Déjà une bonne heure que je suis sur place, ce soir il fait un peu frisqué et beaucoup d'habitué ne ce sont pas motivé à venir, je finis par prendre le chemin du retour.

Des lumières bleu, je regarde mon rétrovisseur. Décidement je les attire ces derniers temps,

ba voyons j'aurais du me douter! me dis-je en le voyant en passager quand le véhicule bleu me double. Je le suis jusqu'à la prochaine air de repos et me gare derrière le véhicule de partrouille sans arrêter le moteur, je descend ma vitre quand il se retrouve à ma hauteur.

-Tu me suis au poste!

-Et puis quoi encore!

-Tu me suis ou je te passe les menottes!

Ne me laissant pas le choix, je me décide de suivre le véhicule bleu malgré moi, mais est-ce malgré moi au final? Il va pas me lacher facilement celui-là, mais quelque part je sais que sa me plait malgré que je ne veux me l'avouer.

Après 20 minutes de trajet on finit par arrivé à notre destination. Je reçois un sms de sa part:

Fabien: garre toi devant le poste. J'arrive!

Je prie silencieusement que personne ne me voit là! Quinze minutes plus tard une bmw M3 E46 gris anthrasite se met sur ma gauche et baisse sa vitre passager. Je reste bouche bée quand je le voie au volant de ce bolide. Il a une de mes rêves et elle est devant moi. Oui je sais vous allez me dire que ce n'est qu'une Bmw mais je vous rassure elle n'est que troisième sur ma liste mon premier rêve est une Mustang Shelby Gt500 de 1967.

Course poursuiteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant