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Mazal entra dans le placard à balais servant de vestiaire et mit sa tenue de travail qui s'arrêta à un simple chemisier blanc, une jupe noir et son tablier.
Elle prit son carnet pour prendre les commandes et commença son travail sans faire attention aux réprimandes de Garry qui ne devraient pas avoir lieu d'être.

Zyad fit son entrée dans « Le petit citadin », le café où travaille Mazal. Il s'assit et attendit que l'on vienne lui prendre sa commande. Il repensa une nouvelle fois aux paroles tranchantes de son père. Soit tu acceptes, soit se sera la rue ton nouvel habitat, à toi de choisir. N'oublie pas que tu n'es rien sans ma fortune, imagine bien que serai ta vie si je te coupais les vivres. Juste imagine.

Ses paroles qui ne cessent de se répéter faisant de son subconscient un abysse loin d'être agréable à supporter en imaginant que serai sa vie aux côtés d'une inconnu. Ce n'est pas le fait de se retrouver avec une personne qui ne connait pas et avec qui il devra vivre le problème. Le souci, c'est qu'il ne sera plus libre de ses faits et gestes, car malgré le fait qu'ils ne se connaîtrons pas, sa ne veut pas dire qu'il lui manquera de respect comme si ce n'étais qu'une moins que rien et qu'ils sortira sans prévenir, comme un voleur pour vaquer à ses occupations nocturnes.
Il comparait sa vie de maintenant à sa vie de plus tard si son paternel mettait ses menaces à exécutions, lorsqu'une silhouette au formes voluptueuses, au teint doré, vêtu d'un uniforme de serveuse fit son apparition face à lui. Il leva les yeux et resta ébahis devant ses yeux unicolores.

« – Puis-je vous servir quelque chose ? Demanda-t-elle de sa douce voix. »

Il se rendit compte qu'il n'avait même pas jetté un coup d'oeil au menu. Il réfléchissait quelques secondes et déclara d'une nonchalance :

« – Vous auriez du Kaoliang ?

– Oui bien sûre.

– Alors un verre s'il vous plaît ?

– Très bien. C'est tout ce que vous désiriez ?

– Oui. Pour le moment. »

Elle ne répondit rien mais hocha tout de même la tête en lui lançant un dernier sourire par politesse puis parti au bar pour lui servir sa commande. Elle revient à lui avec le plateau en main, posa un sous verre sur la table où il attendait ainsi que le verre par-dessus.

« – Voilà pour vous, dit-elle en souriant légèrement.

– Je vous remercie, lui répondit-il de la même manière. »

《 Alliance Tyrannique 》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant