La vie d'une adolescente pas comme les autres [Antoine Griezmann]

✅Chapitre 35: Une visite distante

PDV ANTOINE

Après cette discutions avec son père je ne savais comment il fallait réagir. J'étais partagé entre la tristesse, la colère, fin je crois que je suis un peu déprimé. Dans ma tête je ne m'étais pas imaginer un refus de sa part, et je ne m'y étais pas préparé.

Aujourd'hui, Ma petite femme doit nous présenter la Bretagne. Elle c'est levée deux heures avant moi et elle prépare un menu pour ce repérer et s'organiser. A vrai dire j'étais réveillé mais je ne voulais pas me lever. Elle a l'aire passionné dans ce qu'elle fait et moi à coté qui n'arrive plus à pensé à elle sans pleurer. Je me lève lui fais un bisou sur la tête et pars me réfugié dans la salle de bain.

En prenant ma douche, je me met à pleurer, oui je suis un mec qui pleure, j'en ai totalement le droit, en tout cas Lauranne m'a toujours dit qu'elle trouvait ça sexy, mais après tout en quoi ça m'apporte quelque chose. Elle ne pourras jamais être mienne, jamais porter mon nom. Je m'effondre en pleure dans la douche; Elle ne sera jamais ma femme; La violence des mots, ça me fait vraiment du mal. Je l'aime mais je ne peux pas penser à autre chose qu'à la femme qui devient de minutes en minutes inaccessible.

Quand je sors je vois qu'elle est déjà descendue. Elle a fait le lit et ranger un peu la chambre.

Je ne voulais pas la croiser et me faire du mal inutilement, donc j'étais rester le plus longtemps possible sous la douche. Je m'habille très lentement, je ne veux pas descendre, ça va être dure.

En descendant, ils m'attendent tous. Lauranne saute de partout elle comme une puce. Du haut des escaliers je la voie rigoler avec de Didier. Son éternel sourire aux lèvres, elle ne m'a pas remarqué et heureusement je descends vers mes amis sans que Lauranne ne me voit. Essayant d'être le plus invisible possible mais c'est sans compter sur Paul.

Paul: Tu ne vas pas voir ta copine ?

Antoine: Nan elle à l'aire occupée

Paul: Ca va Grizou, tu n'as pas l'aire bien ?

Antoine: Si si ça va, je suis juste un peu fatigué

Hugo: T'inquiète tu dormiras mieux cette nuit

Antoine: Espérons

Olivier: Bah dis donc Grizou, c'est quoi ces cernes ?

Didier: Bon les garçons, on va y aller, on va beaucoup marcher donc j'espère que vous êtes d'attaque pour cette journée. Annonça t-il

Lauranne: Allez go, c'est partit les amis. Cria telle

Paul: Dora... Dora l'exploratrice. Continua mon ami

Les autres explosèrent de rire. Et on partit voir les environs.

Dans le car, j'étais assis pret de Raph, j'avais mon casque et elle était active comme une puce. Elle fait de grand geste, elle parle tout en expliquant plein de truc, Didier souriait même.

Nous on regardait les environs, c'était beau c'est vrai, la Bretagne est vraiment une belle région, mais depuis la discussion de hier, même si je trouve cette ville magnifique, il manque quelque chose d'essentielle , j'aurais aimé qu'il n'y est qu'à moi qu'elle présente cette vile cependant, je ne sais pas si c'est une bonne idée, car même si nous étions que deux, elle ne serait quand même pas à moi. Je ne sais pas pourquoi je suis aussi focalisé sur ça mais je n'arrive pas à l'oublier.

En arrivant, elle nous montre une plage avec de grand rocher, des petits musée. Ensuite on se dirige vers Plouguerneau, on fit un sentier et elle nous montra un énorme phare. On alla à la plage, elle nous montra des rocher. Elle nous a expliqué comment, quand ils étaient jeune, il grimpait en faisant des courses sur les rochers. Elle nous a montré comment il faisait pour monter sur les rochers. Les petites techniques selon les marées. Ensuite on es allé manger dans une crêperie typiquement bretonne, c'était vraiment très chaleureux et mignon. Enfin on est allé se balader dans un sentier, un long chemin, très long chemin ça nous a fait une petite balade digestive, c'était très agréable. Lauranne elle, elle marche vite malgré le fait que se soit une sportive elle aussi, on a quand même du mal à la suivre.

Après ce long chemin, on est rentré en bus. On part à l'hôtel, Le trajet à été encore une fois très déprimant, je vous avoue que voir Lauranne heureuse me fait du mal parce que moi je ne le suis plus. Je suis comme jaloux alors que je n'ai pas à l'être. Arrivé à l'hôtel je décide de resté seul, je ne veux pas la croisé et Lauranne ne cherche pas à me collé et je lui en remercie.

Je reste dans ma chambre, dans mon coins à me shooter à ma console, sans parler à personne. Je n'ai parler à aucun de mes amis de la discussion que j'ai eu avec Bertrand, et je ne veux pas leur avoué. Ils essayeraient de me consoler en me disant que l'avis de son père ne compte en rien, mais je trouve si difficile le faire cela !

Vers minuit, j'arrête la console, lance ma manette sur ma valise, me change et me couche. Peu de temps après j'entend et je sens la femme qui partage ma vie depuis moins d'un an, se coucher au près de moi, elle se colle à mon dos et enfin j'entend sa respiration s'alourdir et je laisse couler sur ma joue quelques larmes de souffrance. Et petit à petit aidé par les pleurs, la fatigue me prends et je m'endors mais ce sera une nuit très mouvementée.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Très petit chapitre, mais j'espère qu'il vous plaît je vous fait de gros bisous

A plus

Camille