La vie d'une adolescente pas comme les autres [Antoine Griezmann]

✅Chapitre 40: Un réveil brutalement sympatique

Je suis encore avec Lauranne et j'aimerai trop qu'elle se réveil.

« Je suis là, Lauranne. J'ai peur... peur que tu quittes ce monde, me laissant seul. Je veux que tu ouvres tes beaux yeux vert et que tu me sourisses même si en ce moment du doit clairement me détester, je suis tellement désolé de t'avoir dit ça. Si tu savais à quel point je m'en suis voulu, tu ne méritais pas ces affreuses paroles, je ne le pensais en aucun cas. Le plus triste dans cette histoire c'est qu'il a fallu que tu sois en ce moment entre la vie et la mort pour que je me rende compte que je ne peux pas me passer de toi, j'ai pas réussi a t'oublier et je ne le veux pas. C'est avec toi que je veux faire ma vie, c'est toi que je veux voir à mes cotés, que je veux voir portés mes maillots lors de mes matchs, que je veux voir quand je rentre de l'entrainement,... c'est avec toi que je veux vieillir, avec qui je veux fonder une famille. Tu es la femme de ma vie et je ne pourrais pas vivre sans toi, je m'en voudrais toute ma vie parce que les derniers souvenirs que tu auras de moi, c'est quand je t'ai traité de... alors s'il te plait, réveil toi. Pour toi, pour ton frère, tes parents, tes amis, Emma et surtout pour moi. Je veux que tu sois là lors de la demi-finale contre le Bayern et tous mes autres matches. Je te veux avec moi, tout le temps. Je te promets que je t'aimerais autant que tu le mérites, je t'offrirai ciel et terre s'il le fallait. Je t'aime et j'ai besoin de toi ouvre les yeux s'il te plaît ! »

PDV OMNICIENT

Le jeune homme ne pouvait désormais plus retenir ses larmes,

Sa tête avachie sur le matelas et sa main tenant fermement celle qui l'aime.

La jeune femme avait tout entendue.

Vous savez, il y a des médecins qui affirment que les patients qui sont dans le coma peuvent entendre tout ce qui ce passe autour d'eux et bien, Lauranne est l'une de ses patientes.

La tête d'Antoine était sur son ventre, elle pouvait sentir son nez sur son nombril. Elle venait de se réveillé, la lumière lui brûlait les yeux, elle avait beau être dans le coma depuis moins d'un jour, ses yeux s'étaient habitué à la noirceur dans lesquels ils étaient plongés. Elle n'arrivait q'a les entre-ouvrir. Elle approcha ses mains sur les cheveux de l'homme de sa vie, les caressant lentement tout en faisant ces gestes elle lâcha un léger « je t'aime aussi Antoine ». La personne en question avait sentie la caresse que sa dulcinée lui avait prodigué et ayant entendue cette phrase si belle dans un soupir. Il releva la tête et vit le visage de sa femme paisible avec les yeux légèrement entrouvert. Il partit en courant en dehors de la chambre. Lauranne ce sentit à nouveau rejeter mais le revoyant arriver avec un médecin cela la rassura.