Le souvenir de ce jour (FINI)

Chapitre 5 : Une épreuve difficile

Harry fût réveillé par Joséphine plusieurs fois cette nuit là, si bien qu'à six heures du matin, il lui était impossible de se rendormir.

Il enfila un tee-shirt, prit Joséphine et descendit en bas. Il mit Joséphine dans son couffin et se prépara un café bien serré. Cette journée s'annonçait fort dur.

En effet, c'était ce matin là que la tante Pétunia, Dudley et sa femme devait se faire mettre en terre. Molly avait tout prévue. Harry lui en était reconnaissant. Mais il savait qu'il devait se débrouiller seul maintenant, il était grand.

Il ouvrit le bar et sortit une bouteille de Whisky pur malt et compléta son café avec.... Il prépara ensuite un biberon a sa filleule et le lui donna.

Molly se leva vers sept heures, Harry lui avait préparé son petit déjeuner.

- Merci mon chéri, dit Molly, mais ce n'est pas la peine que tu prépare mon petit déjeuner

- Je n'avais rien à faire, répliqua Harry, et de toute façon, oups !

- Harry, s'exclama Molly en voyant la bouteille de Whisky et l'état d'Harry, ce n'est pas en buvant ton café avec du Whisky que tes malheurs vont s'effacer !

Elle lui arracha la tasse des mains et la vida dans l'évier, rangea la bouteille et se planta devant Harry.

- Tu crois que j'ai vidé le bar quand Arthur, Charlie, Bill et Fleur sont morts ! S'énerva t-elle, non, j'ai ravalé mon chagrin, j'ai d'autres enfants qui avaient besoin de moi !

- Oui, dit Harry les larmes aux yeux.

- Et toi tu as Joséphine, dit Molly en le prenant dans ses bras, pense à elle, elle a besoin de toi.

- Vous avez raison, dit Harry, je monte prendre ma douche.

- Vas-y, dit Molly, je t'ai préparé ton costume dans le dressing.

- Merci, dit Harry en lui faisant la bise.

Quand il redescendit, c'est dire trois quart d'heure plus tard, il eut la surprise de voir le reste de la famille Weasley.

- Harry, dit Fred en le serrant dans ses bras, c'est si bon de te revoir...

- Oui, dit George en poussant son frère, c'est grâce à toi qu'on en est là....

- C'est parce que vous êtes nés pour faire ce que vous faites, répondit Harry, sans vous vexer Molly.

- Non, dit Molly, j'étai d'accord pour qu'ils fassent ce qu'ils font, mais je voulais qu'ils finissent leurs études avant, mais la vieille harpie les a poussé ce que j'aurai fait moi aussi.

- Les coups de fouet ? demanda Ron.

- Je peux te dire une chose, dit Molly, elle aura fait fouetter l'un mes enfants, ce qui comprends Harry et Hermione, je lui aurai arraché les yeux et rendu la monnaie de sa pièce et en beauté !

- Merci belle maman, dit Hermione, c'est touchant.

- Harry, dit Fred, tu passeras après au magasin ?

- Non, dit Harry, j'ai une commission à faire et tout seul.

- D'accord, dit Fred, mais tu passeras ?

- Oui, je ne repars pas, dit Harry, je reste vivre en Grande Bretagne, car ma vie est ici.

- Je ne voudrais pas vous presser, dit Molly, mais il est huit heures et quart, et dans trois quart d'heure nous devront être à Paris pour la cérémonie religieuse