Chapitre 4

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. . . . 🔞🔞 scene érotique 🔞🔞. . . .

Je ne me suis jamais sentie aussi sexy de ma vie, avec une parfaite maîtrise de ce que je désire. J'ai obtenu avec brio mon master, j'ai trouvé un travaille bien rémunéré, j'ai même redécoré ma maison en respectant mon budget. Je ne me suis jamais senti aussi adulte que maintenant, aussi femme... Je danse comme une folle alors qu'un bel étranger se tient dans l'ombre et me regarde.
Ça, c'est le nouveau départ parfait. Qu'est-ce que sa signifie, être dévorer ? Est-ce que c'est aussi explicite que çà en a eu l'air dans sa bouche, sa tête entre mes cuisse, les bras enroulés autour de mes hanches, en me maintenant ouverte ? Ou est-ce qu'il se voit sur moi, en train du sucer ma bouche, mon cou et les seins ?
Un sourire s'étend sur mes lèvres, je dirige mes bras vers le plafond. Je sens l'ourlet de ma robe remonter sur mes cuisse, je m'en fous. Je me demande s'il a remarqué. Je l'espère qu'il a remarqué.
Penser qu'il peut partir gacherait le moment, donc je ne regarde plus vers lui. Je ne connais pas les règles du flirt dans un bar. Peut-être ne fera-t-il attention à moi que pendant cinq secondes ou peut-être que ça durera toute la nuit. Ça n'a pas d'importance. Je peux l'imaginer dans l'ombre tant que je suis ici, sous les spots. Je me suis habituée à ne jamais m'attendre à ce qu' Andy fasse attention à moi. Je veux que les yeux de ce parfait étranger transperce ma peau jusqu'au cœur, et que lui s'ecrase contre mon côtes.
Je me laisse aller sur la musique, avec le souvenir de sa main sur mon coude. De ses yeux sombres.
Du mot devorer.
Les chanson s'enchaînent les unes après les autres. Au moment ou je décide de respirer un peu, les bras de chloé s'aggrippent à mes épaules. Elles rit dans mon oreille en se dehanchant avec moi.
- Tu as conquis ton public ! Crie-t-elle si fort par dessus la musique que je grimace en la repoussant.
Elle fait un signe de tête vers le côté. C'est à cet instant seulement que je réalise que nous sommes cernées par un groupe d'hommes habillés de costumes noirs stricts, qui dansent de manière suggestive. Elle semble tellement habituée à ce genre de regard. Cette fille ne fais grâce à personne, elle a patiemment grimpé tous les échelons jusqu'à la tête de l'une des plus grandes entreprises du secteur des médias, connu dans le monde entier. Elle sait parfaitement ce que cette nuit signifie pour moi. Soudain, je sens un peu d'air frais sur ma peau, je regarde mes fans er je reprend conscience. Je suis toujours étourdi par l'idée d'être vraiment à New-York, et de recommencer vraiment à zéro. De vraiment m'amuser.
Mais derrière Chloé, l'ombre est noire et vide pas d'inconnu debout à m'observer.
- Il faut que j'aille au toilette !
Je me faufile au travers du cercle d'hommes, je sors de la piste et suis les panneaux jusqu'au second étage, une espèce de balcon qui surplombe toute la boite. Je descend dans un couloir étroit avant d'entrer dans les toilettes, dont la luminosité provoque en moi un élancement douloureux. Mes yeux, ma tête me font mal. La pièce est étrangement vide, la musoque d'en bas me semble tellemnt loin.
J'arrange mes cheveux avant de sortir en me felicitant mentalement de prorter une robe sans un pli.
Je remet du rouge a lèvres.
J'ouvre la porte et je heurte à un mur de chair masculine.
Nous avons été proches au bar, mais pas a ce point. Pas comme ça, mon visage sur sa poitrine et son odeur qui m'evahit. Il n'a pas l'odeur des hommes de la piste de danse, aspergé d'eau de Cologne. Il sent bon, comme quelqu'un qui vient de faire sa lessive, avec une touche de scotch sur les lèvres.
-Salut princesse.
- Salut l'anglais
-Je t'ai regardé danser.
-Je t'ai vue me regarder.
Je respire a peine. Mais jambes flageolent comme si elles hesitaient entre s'effondrer et s'accorder au rythme saccadé de la musique qui monte de l'étage du dessous. Je mords ma lèvre inférieur pour réprimez un sourire
-Tu est un voyeur. Pourquoi est-ce que tu n'es pas venu danser avec moi ?
-Parce que j'ai pensé que tu préférais que je te regarde.
J'avale ma salive, déstabilisée, incapable de détourner les yeux des siens. De quelle couleur sont-il ? Au bar, j'ai cru qu'ils était brun. Mais il y'a un je-ne-sais-quoi plus clair, étincelant. Je le vois mieux dans cette partie du club, juste au dessus des stroboscopes. Tirant sur le vert, sur le jaune ? Ses yeux m'hypnotisent. Je n'ai pas seulement su qu'il me regardait et aimé ça, j'ai dansé sur un fantasme de lui, en train de me dévorer.
-Tu imaginais que tu me faisait bander ?
Je cligne des yeux. J'ai du mal à tenir le choc, il est si direct. Est-ce que des hommes comme ça ont toujours existé, qui disent exactement ce qu'ils (ce que je) pense(nt) sans avoir l'air effrayant, impolis ou insistant ? Comment y parvient-il ?
- Wahouuu... Est-ce que tu... ?
Il se penche, prend ma main et la presse fermement sur son entrejambe. Il bande dur, se cambre déjà dans ma paume. Sans y penser, j'entrelace mes doigt dans les siens
- Tout sa parceque tu m'as regardée danser ?
- Est-ce que tu te donne toujours autant ?
Si je n'avais pas été aussi abasourdie, j'aurais éclaté de rire
- Jamais comme ça.
Il m'étudie du regard, les yeux toujours joyeux mais les levres pensives.
-Viens chez moi ce soir
- Non
Cette fois, je me met a rire.
-Accompagne-moi jusqu'a ma voiture.
-Aucune chance que je quitte la boîte avec toi.
Il se penche et plante un baiser rapide sur mon épaule avant de dire.
-J'ai envi de te caresser.
Je n'arrive pas à me convaincre que je n'en ai pas envie, moi non plus. Il fait sombre, entre deux flashs de lumière, la musique, la musique et tellement forte que mon cœur bat en cadence. Quel mal une nuits de folie pourrait-elle bien me faire ? Après tout, Andy en a eu plein.
Je le guide dans le couloir étroit, au-delà des toilettes, jusqu'à une petite alcôve abandonnée qui donne sur la scène du DJ. Nous sommes dans une impasse, enfermés, retirés dans un coin mais absolument pas cachés. À part le mur du fond du club, le reste de l'espace autour de nous est ouvert, et seul une vitre à hauteur de la taille nous empêche de tomber sur la piste de dance en dessous.
-OK, carresse-moi ici.
Il lève un sourcil et passe un long doigt sur mes os, d'une épaules à l'autre .
- À quoi pense tu exactement ?
Ses yeux etincellent, il s'amuse de tout se qui l'entoure. Il a l'air parfaitement normal et sensé pour quelqu'un qui me suis dans une boite pour me dire abruptement qu'il a envie de me caresser. Je me souviens d'Andy qui ne cherchait que rarement (à part pour conserver les apparences) mes caresses, ma conservation, ma... Est-ce-que c'est comme ça que ça lui est arrivé ? Une femme l'a t'elle pris a part ? Et puis elle s'est offerte à lui, et il lui a donné (et pris) tout ce qu'il pouvais avant de revenir vers moi ?
Pendant ce temps, ma vie était devenue si étriquée que j'arrive à peine à me souvenir de ce que je faisais pendant toute ces nuits d'absence.
Suis-je avide ? Est-il normal de vouloir tout avoir ? Une carrière qu'on ne sacrifierait pour rien au monde et un moment de folie, de temps en temps ?
- Tu n'es pas un psychopathe au moins ?
Il se met à rire puis m'embrasse sur la joue
-Tu me rends un peu fou, mais en dehors de ça, non.
-J'ai juste...
Je m'interromps en baissant les yeux. Je presse ma main contre sa poitrine. Son sweat gris est incroyablement doux, du cachemire, c'est certain. Son jean foncé est parfaitement coupé. Ses chaussure noires sont neuves. Tout, chez lui, est raffiné.
-Je viens de m'installer ici.
Cette explication me semble suffisante pour justifier que ma main tremble aussi contre lui.
-Et un moment comme ça, ça ne semble pas bien ressonable, n'est-ce pas ?
-Pas du tout, je réponds en secouant la tête.
Mais je me redresse et passe une main dans son cou, en l'attirant à moi. Il se laisse faire, se penche en souriant avant de poser ses lèvres sur les miennes. Son baiser parvient à allier douceur et brutalités, le scotch rechauffe ses lèvres. Il gémir un peu quand j'ouvre la bouche. Il y glisse sa langue et la vibration m'enflamme immédiatement. J'ai envie d'apprécier chacun de ses mouvements.
-Tu as un goût sucré. Comment t'appelle-tu ?
Première vague de panique
-Pas de nom
Il me repousse pour me regarder, les sourcils relevés.
-Et comment vais-je t'appeler.
-Comme tout a l'heure.
-Princesse ?
J'acquiesce.
-Et comment vas-tu m'appeler quand tu seras sur le point de jouir ?
Il m'embrasse légèrement. Mon cœur bat très fort à la simple évocation de l'acte.
-Je ne pense pas que ça ait une grande importance. Je t'appelerai bien comme je voudrais.
- Ma foi, concède-t-il en haussant les épaules.
Je prend sa main et la dirige vers ma hanche.
-J'ai été la seul a me faire jouir pendant un an
Je fais bouger ma robe et murmure.
-Est-ce que tu va arranger ça ?
Je sens qu'il sourit tout contre ma bouche avant de m'embrasser encore.
-Tu sais ce que tu fais ? Murmure t'il
-Je sais ce que je fais
- Tu es bourrée ?
- Je te promet que non.
Il recule juste pour me regarder dans les yeux. Son regard va et vient, ses yeux retrouvent une lueur d'amusemant
-Tu réalise bien la manière dont tu te comportes...
Il me retourne et presse mon ventre contre le mur en verre. La lumière saccadé vient des projecteur en acier, au-dessus de la piste de danse, juste devant moi. En comparaison, notre coin, à l' étage, est virtuellement noir. De la vapeur monte des bouches d'aération disposées sur le dance floor et couvre les fêtard jusqu'aux épaules.
Les doigt de mon Anglais jouent avec le dos de ma robe. Il la relève et passe une main sur ma culotte, sur le bas de mes fesses et entre mes jambes, la ou je l'espère et l'attend. Même le côté délicat de la posotion ne m'embrasse pas. Je me cambre contre sa main, je suis déjà perdu.
-Tu es trempée, mon cœur. Qu'est ce qui te plaît tant que ça ? L'idée de ce que nous faisons ici ? Ou le fait que je t'ai regardée fantasmer sur moi pendant que tu dansais ?
Je ne dit rien, trop peur de xe que je pourrais répondre. Je gémis quand il me penetre d'un doigt. La pensée de ce que devrait faire s'estompe. La prévisible Saraqui faisait toujours se qu'on attandait d'elle. Je n'ai plus envis d'être cette personne-là. Plus maintenant. Je veux être téméraire, folle et jeune. Je veux vivre pour moi, pour la première fois de ma vie.
-Tu es une petite chose fragile, mais mouillée comme ça, je suis à peu près sur que tu pourrais facilement te prendre ces trois doigts !
Il glousse en m'embrassant dans le cou, tout en dessinant des cercles sur mon clitoris, lentement, de manière à m'exciter totalement.
-S'il te plait...
Je murmure, je ne sais même pas s'il m'entend.
Son visage est dans mes cheveux, je sens sa queue collée contre ma hanche mais, à part ça, il n'y plus que son doigt qui va et vient en moi qui compte.
Il embrasse mon épaule.
-On t'a déjà dit que ta nuque était parfaite ?
Je me retourne et lui souris. Ses yeux, grands ouverts et clairs, se plissent dans un sourire quand ils rencontrent les miens. Je n'ai jamais regardé quelqu'un dans les yeux de si près, en étant caressée comme ça. Quelque chose chez cet homme, cette nuit, cette ville, me fais dire que c'est la meilleur décision que je n'est jamais prise.
-Et maintenant je ne peut plus admirer ta nuque... C'est vraiment dommage.
Sa main s'éloigne j'ai froid là ou se troivaient ses doigt chauds. Il plonge dans sa poche et en sort un petit emballage.
Une capote dans sa poche, comme par hasard ! Il me serait jamais venu a l'esprit d'avoir une capote avec moi pour ealler en boîtes.
Il me trourne vers lui, nous fait pivoter pour appuyer mon dos contre le mur. Il m'embrasse, d'abord doucement puis plus fort, comme affamé. Au moment ou je pense m'asphixier, il s'ecarte lèches ma joue, mon oreille, mon cou. Mon cœur bat follement. Ma robe est retombée sur mes cuisses, mes ses doigt caressent l'ourlet et le remontent lentement.
-Quelqu'un pourrait arriver à tout moment, fait-il remarquer.
Il me laisse une dernière chance de lui dire non, au moment où il baisse ma culotte.
Ça m'est égale. Totalement égal. Peut être même qu'une petite partie de moi a envie que quelqu'un arrive ici et découvre cet homme parfait en train de me toucher comme il le fait. Je ne pense plus qu'a ses mains qui me caressent, à ma robe remontée sur mes hanches et de sa virilité dressé contre mon ventre.
-Je m'en fou
-Tu est ivre. Trop ivres pour ça ? Je veux que tu te souvienne que je t'ai baisée.
- À toi dans faire un moment mémorable.
Il relève ma jambe et m'ouvre, exposant ma peau nue à l'air froid qui vient de la climatisation juste au-dessus de nous. Il bloque mon genou autour de sa hanche, je me felicite. De porter des talons de vingt centimètres. Je glisse ma main entre nous et je deboutonne son jean, descent son boxer juste asser pour le libérer. J'enroule ma main aurour de son érection et je la frotte sur mon sexe trempé.
-Putain princesse. Laisse moi continuer...
Son pantalon est ouvert mais coincé sur ces hanches. De dos, on pourrait que nous dansons, ou peut-être que nous ne fait que nous embrasser. Je sens son pouls dans ma paume de main. La situation, si réelle, me rend totalement folle. Il va me prendre, ici, sans se soucier de la foule en bas. Où il y a des gens qui me connaissent comme la sage Sara, la responsable Sara, la Sara d'Andy.
Mon inconnu esr lours et tellement long dans ma main... Je le désire, je suis en même temps terrifiée, et s'il m'empalaît ? Je ne suis même pas sur d'avoir déjà baiser avec un mec qui bandait autant.
-Elle est grosse...
Il sourit, comme un loup sur le point de me dévorer pour de bon. Il déchire prestement l'emballage du preservatif avec ses dents.
-C'est la meilleur chose à dire à un homme. Tu peut même me dire que tu est pas sur qu'elle va rentrer...
Je dirige son gland vers mon ventre, tremblante. Il est si chaud, la peau douce, et si dur à la fois.
-Putain. Je vais jouir dans ta main si tu n'arrête pas tout de suite.
Ses mains tremblent un peu, l'urgence, il se retire entre mes doigt pour enfiler la capote.
-Tu fais sa souvent ?
Il est la, devant moi, plein d'assurance. Son sourire s'élargit
-Faire quoi ? Baiser une belle femme qui ne veut pas me dire son nom et préfère que je la saute dans un couloir plutôt que dans un lieux adapté, un lit ou imune limousine par exemple ?
Il commence à pousser pour entrer en moi, si lentement que c' en n'est presque douloureux. Ses yeux brillent d'une drôle de lueur. Non d'un chien, je n'aurais jamais pensé que le sexe d'un inconnu puisse être aussi intime que ça.
-Non, princesse, je doit admettre que je n'est jamais fait ça.
Sa voix et tendue, ses mots viennent de loins parceque qu'il est enfoncé en moi, dans cette boîte chaotique, avec des lumières vivantes qui respirent, et la musique qui donne le rythme tout aurour de nous, là ou des gens déambule sans savoir ce qui se passe juste au-dessus d'eux. Et pourtant, mon univers se réduit à ce lieu où il me remplit, où il frotte mon clitoris à chaque à-coup, où la peau chaude de ses hanches se presse contre mes cuisses.
Plus un mot, seulement sa pénétration, d'abord lente puis rapide, douce et brutale. Notre espace se remplit d'onomatopées administratives ou préssantes. Ses dents sont dans mon cou, j'agrippe ses épaules, de peur de tomber, sur le côté ou ailleurs, pas sur la piste de danse mais dans un monde où je n'aie pas peur d'être exposée, de montrer mon plaisir à tout ceux qui m'observeraient, en particulier cet homme.
-Dieu que tu es belle...
Il se penche en arrière, me regarde et accélère un peu
-Je n'arrive pas à cesser de regarder ta parfaite et putain là où je suis
La lumière arrive de son côté. Pour moi, il est dans l' obscurité. Seulement la silhouette de mon inconnu. Je ne distingue rien quand je baisse les yeux, que des ombres et la suggestion du mouvement, lui en moi, hors de moi, en moi à nouveau. Glissant et dur, collé à moi à chaque mouvement. Et comme pour me rappeler que je n'ai pas vraiment besoin de le voir, les lumières diminuent pour faire presque le noir, pendant qu'un son répétitif envahit le club.
-J'ai pris une vidéo de toi en train de danser...
Je mets un moment à réaliser ce qu'il vient de me murmurer. Le temps que l'information supplante la sensation de lui, en train de me prendre
-Qu... Quoi ?
- Je ne sais pas pourquoi. Je ne vais pas la montrer. J'ai juste...
Il fixe mon visage en ralentissant, pour me laisser réfléchir, j'imagine.
-Tu était comme possédée. Je voulais me souvenir. Bordel de dieu, j'ai l'impression de confesser mes péchés !
J'avale ma salive, il s'approche encore plus de moi et m' embrasse avant que je demande
-Est-ce que c'est bizarre, que ça me plaise que tu l'aies fait ?
Il se met à rire, continue à me pénétrer plus lentement, plus fort aussi
-Profite alors, hein ? J'aime te regarder. Tu dansais pour moi. Il n'y a pas de mal a ça.
Il relève mon autre jambe et l'enroule autour de sa taille avec se se mettre à bouger vraiment pendant quelque minute parfaites. Rapide, plein de l'urgence du moment, il se laisse aller et gémis délicieusement. Si quelq'un arrivait maintenant dans notre petit coin, il n'aurait aucun doute sur ce que nous faisons. Et en imaginant que quelqu'un regarde cet homme me prendre si brutalement, je m'abandonne. Ma tête se pose contre le mur. Je sens monter tout au fond de mon ventre, si bas, si lours, une boules presque douloureuse, qui roulenle long de ma colonne vertébrale avant d'exploser dans mon sexe, si fort je ne peut m'empêcher de crier, sans penser une seule seconde qu'on pourrait m'entendre. Je n'ai pas besoin de lever les yeux pour savoir qu'il est en train de me regarder céder.
-Putain de merde.
Ses hanches ont des mouvements saccadés, brutaux. Il jouit avec un long gémissement, ses doigt enfoncés très fort dans mes hanches.
Je pense qu'il pourrait me faire des bleu, mais j'espère qu'il m' en feras.
Je veux conserver un souvenir de cette nuit et celle qui m'attend et que je désire.
Il s'arrête, pèse contre moi, ses lèvres plantées dans mon cou.
-Mon dieu, l'Anglais. Tu m'as épuisée.
Je le sens battre en moi, les contrecoup de son orgasme, et je voudrait qu'il reste en moi pour toujours, bien au fond. J'imagine de quoi nous avons l'air de l'autre côté de la boîte, un homme plaque une femme contre un mur, et elle passe les jambes autour de lui, même si on ne les distingues pas clairement dans l'ombre.
Sa large main remonte le long de ma jambe, de ma cheville à ma hanche. Il se retire avec un petit gémissement et me remet sur mes pied. Il recule et enleve la capote.
Putain, je n'avais jamais pensé que je pourrais faire quelque chose d'aussi fou. Un rictus étire mes lèvres tandis que mes jambes tremblent tant que je suis sur le point de m'effondrer.
C'est parfait. Tout a été parfait, mais ça doit s'arrêter ici même. Tout faire différemment, pas de nom pas d'attaches, pas de regrets.
Je lisse ma robe. Je monde sur le pointe des pied poir l'embrasser sur les lèvres.
-C'était incroyable.
-Je vais descendre
Je tourne les talons en lui faisant signe de la main.
Il me fixe, désorienté.
-Tu...
-Tout va bien, très bien. Tu vas bien ?
Il hoche la tête, médusé.
-Donc... Merci !
L'adrénaline court toujours dans mes veines, je me retourne sans lui laisser le temps de répondre et je le laisse le pantalon deboutonné et les lèvres tordues dans une grimaces de surpride.
Quelque minute plus tard, je tombe sur Chloé et Julia, toutes les deux sur le point de rentrer. Bras dessus, bras dessous, nous quittons la boîte. C'est seulement quand nous nous asseyons dans la limousine que je revis silencieusement chaque seconde de ce qui vient de se passer avec cet homme étrange et puissant. Je réalise que j'ai laissé ma culotte à ses pieds et, dans son téléphone, une vidéo de moi en train de danser.

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Voila dite moi se que vous penser de Sara en comentaire, et esque vous croyais qu'il vont se recroisser bisous tout le monde

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