Chapitre 27

56 1 0
                                    

PDV Max 

Elle hausse les sourcils, l'air exaspérée.

-Il y'a beaucoup de photos de toi sur internet.

-Certaines des filles avec qui tu m'as vu était mes maîtresse, d'autre non. (Je passe le doigt sur la courbe de son sein et elle baisse les yeux pour regarder.) Je ne suis pas du genre dégoûté par l'engagement, je n'en ai juste pas eu l'opportunité pendant longtemps...

Elle tressaille. Je vois ses pupilles se dilater, ses lèvres s'étirent dans un sourire.

-Oui ! admets-je en riant. Je suppose que notre arrangement est une sorte d'engagement. Mais ça ne compte pas parce que tu refuses de sortir pour de bon avec moi. 

Son sourire diminue

-Je pense que ni toi ni moi ne sommes bons à autre chose.

-Eh bien. Nous sommes certainement bons à ce que nous faisons. A propos de ça, j'ai parlé de toi avec Will... (Je fais une pause, laissant l'irritation poindre sur son visage. C'est tellement amusant de l'agacer...) Sans donner de nom, princesse. Calme-toi. 

J'attend qu'elle me demande ce que j'ai dit. 

J'attend.

Finalement, je le regarde à nouveau. Elle m'observe avec attention. La voiture est arrêtée à un feu rouge, tout est immobile.

-Et donc, dit-elle avec un sourire diabolique, tu as dit que Will que tu avais trouvé une femme qui aimait baiser en public?

-Pas dans mon taxi! crie le chauffeur si fort que nous sursautons tous les deux avant d'éclater de rire. (Il freine brutalement, nous nous écrasons l'un contre l'autre.) Elle ne me laisse pas la baiser dans un voiture. Ni un mardi.

-Non, en effet.

Malgré cette réponse, elle me laisse l'embrasser une nouvelle fois.

-Dommage. Je suis pas mal dans un voiture. Et encore meilleur les mardis.

-Et donc, cette conversation avec Will reprend-elle en se penchant et en faisant glisser sa main sous ma veste de costume que j'ai posée sur mes genoux. Si tu ne lui as pas dit mon nom? qu'est-ce que tu lui as dit?

Elle prend ma queue dans sa mains et presse. Elle va me branler dans le taxi?  Putain de bonne idée.

-65ème et Madison? je lance au chauffeur. Le plus long chemin.

Il me lance un regard noir, probablement à l'idée de traversée Columbus Circle à l'heure de pointe, mais il acquiesce. Il emprunte la 75ème vers Broadway.

-Pas de sexe dans mon taxi! dit-il, plus calmement cette fois.

Je me tourne vers Sara. 

-Je lui ai dit que j'avais rencontré une femme que je baisait avec beaucoup de plaisir . J'ai aussi dû  lui dire que cette femme ne ressemblait à aucune autre.

Sara descend ma fermeture éclair et sort ma queue de mon caleçon avec dextérité. Elle la serre  d'un coup. Une chaleur étrange se répand le long de ma colonne vertébrale. Je me mets à bander plus dut. Je réalise qu'elle commence à savoir comment me toucher. 

-En quoi suis-je différente ? 

Elle se penche vers moi et lèche mon oreilles, avant de murmurer: <<Les autres femmes ne te branlent pas dans les taxi?>> 

Je la fixe, en me demandant qui elle est vraiment cette fille fraîche, innocente et très baisable, qui ne veut rien ne moi à part un bon coup de queue. Joue-t-elle? Est-ce bien réel? Ou alors rompra-t-elle après quelques orgasmes? quand notre arrangement l'aura lassée? Elle me dira qu'elle en voulait plus? Probablement. Mais quand je la regarde ses lèvres rouges et ses grands yeux bruns, si joueur et coquins, je sais qu'il n'est pas question que je la laisse tomber à moins qu'elle ne m'y oblige.

-Je ne lui en ai pas beaucoup dit, en fait. Les conversation sérieuse avec Will finissent toujours en insulte à propos de la taille de nos pénis respectifs.

-Je suis sûre que tu l'as épargné, je ne me bats qu'à armes égales... 

Elle glousse dans mon cou en continuant à me caresser. 

-C'est agréables de discuter avec une femme qui ne ressent pas le besoin d'étaler son intelligence tout le temps.

-Pas de sexe, grogne le chauffeur en nous regardant dans le rétroviseur. 

Je lève les mains et je oui souris. 

-Je ne la touche pas, mec.

Il semble décider à nous ignorer, il allume la radio et ouvre la fenêtre pour profiter de la brise de fin d'après-midi, malgré le bruit incessant de la ville. La main de Sara monte et descend, en serrant mon gland, et vice versa. 

-Je te sucerais si je pouvais. Je veux dire, tu mérite le top du top. Au moins tu es beau à l'intérieur, Max. Là où ça compte vraiment .

J'éclate de rire en plongeant mon visage dans son cou pour éviter de gémir, au moment où elle se concentre sur mon gland. 

-Putain, c'est bon. Un peu plus vite, amour. Tu peux? 

Elle faiblit quand elle m'entend dire <<amour>> puis tourne la tête pour m'embrasser le menton, ma queue dans son poing. Elle jette un coup d'œil au chauffeur, absorbé par le programme radio et occupée à maudire les embouteillages. 

-Ouais? Comme ça?  

J'acquiesce en souriant. 

-Je n'aurais jamais deviné que tu ferais ça si bien...

Elle rit le long de mon cou. Je ne l'ai jamais entendue faire un bruit aussi particulier et délicat. J'ai l'impression de pénétrer son jardin secret. Cette victoire surgit, chaude et acérée dans ma poitrine, pendant un bref instant j'ai envie de crier de joie. 

Elle lèche mon cou et mordille ma lèvre inférieur. 

-Tu as une queue parfaite. J'ai envie de toi même si c'est mardis...

-Putain... 

Je jouis, les mâchoire et les poings serrés. Je réalise que Sar me fait du bien, et j'arrête de m'inquiéter de l'effet qu'elle a sur moi. 

Sara se penche pour récupérer un mouchoir dans son sacs et essuie sa main. Elle me sourit étrangement et cache l'objet du délit aux yeux de notre chauffeur. Puis elle se penche en avant et m'embrasse si doucement que j'ai envie de la renverser sur la banquette et de le faire jouir contre ma langue, juste pour entendre ses petit cris rauques. 

-Tu te sens mieux? demande-t-elle calmement, les yeux inquisiteur. 

Je viens d'apprendre quelque chose de plus à propos de Sara et de cette expressions, son premier instinct, qu'elle combat perpétuellement, est de me faire plaisir. 

Mais quand nous nous arrêtons à un bloc de mon appartement, elle se rassoit avec un sourire plaisant. 

-C'est là que tu descends ? 

J'hésite, en me demandant si elle voudra venir avec moi. 

-Oui, à moins que tu n'aies envie..

Sa voix est calme. Je réalise que c'est une façons d'adoucir la dureté de ses mots. 

-Je te vois vendredi Max. 

Nous en avons fini. Elle me congédie 

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~





beautiful strangerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant