Chapitre 7

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Point de vue de Max

Elle regarde autour d'elle et baisse la voix.
- Tu ne me baisseras pas dans mon bureau si c'est ce aue tu veux.
Décidément elle est fantastique...
-J'étais simplement venu de souhaiter, dans les formes, la bienvenue à New York. Mais j'imagine qu'on peut faire sa à peu près n'importe où...
-Tu as deux minute ? Dit-elle en se dirigeant vers son bureau.
Nous arrivons à un espace de réception, face aux fenêtres donnant sur la ville. Un jeune homme assis à un bureau circulaire. Il nous jette un coup d' œil.
-Je serai dans mon bureau, Goerge, jette-t-elle par dessus son épaules. Qu'on ne nous dérange pas, s'il te plaît.
Elle ferme la porte derrière nous et me regarde dans les yeux
-Deux minutes.
-Si nous sommes pressés, je peut te faire jouir en deux minutes.
Je m'approche d'elle et passe un doigt sur sa hanche.
-Mais je pense que nous préférons tout les deux que ça dure un peu plus lomgtemps.
-Deux minute pour m'expliquer ce que tu fais là. Clarifie t-elle, la voix légèrement tremblante. Et comment tu m'as retrouvée.
-Eh bien, j'ai rencontré cette femme samedi soir... Je l'ai baissée contre un mur, en fait. Et je n'ai pas cessé de penser à elle. Elle était extraordinaire. Belle, drôle, chaude comme l'enfer. Mais elle ne m'as pas donné son nom. Elle ne m'a rien laissé d'autre que sa petite culotte. Je ne sais pas si on peut considérer que c'est une piste de petit cailloux...
Je m'approche, replace une mèche de cheveux derrière son oreille et frôle sa joue du bout de mon nez.
-Et quand j'ai commencé à me branler ce matin en pensant à elle, je ne savais toujours pas quel nom prononcer en gemissant.
Sara s'éclaircit la gorge et me repousse. Elle passe de l'autre côté du bureau et répond, rougissante.
-Ça n'explique toujours pas comment tu m'as retrouvée.
-Je t'ai vue sous les spots, la tête en arrière, les yeux fermés, mais j'ai envie de la voir nue, dans la lumière du jour. Je veux la voir rougir de ton son corps.
Je décide d'arrêter de la taquiner. Cette Sara est trop différente de la princesse de Chicago aue j'ai rencontrée au bar.
-Je t'ai vue déjeuner hier avec Ben. Nous sommes de vielles connaissance. Deux et deux font quatre. J'esperais te revoir.
Elle siffle, furieuse.
-Tu as parler a Bennett de samedi ?
Les belles couleurs de ses joues disparaissent d'un coup.
-Putain, non, je t'assure. Je n'avais pas envie de signer mon arrêt de mort. J'ai juste demandé ton numéro. Qu'il ne m' a pas donné.
-OK
Elle se détend
-Écoute, c'est une coïncidence totale que je sois tombé sur toi, mais j'avais envie de revoir Ben de toute façon. Si tu veux qu'on dîne ce soir...
Je dépose ma carte sur son bureau et tourne les talons
-Et la vidéo. Qu'est-ce que tu en as fait ?
Je lui fait face, le désir de l'asticoter me submerge. Je prend mon temps, elle panique
-Tu l'as mise en ligne ? Sur youtube ou sur porntube ou quelconque site du genre ?
J'éclate de rire. Impossible de me retenir.
-Quoi ?
-Je t'en prie, dis-moi juste que tu ne la pas fait.
-Mon dieu, bien sur que non ! Je dois admettre que je l'ai regardée à peu près deux cent fois. Mais non, il ne me viendrait jamais l'idée de la partager.
Elle regarde ses mains, en tripotant ses ongles.
-Esque je peut la voir ?
Est-ce de la curiosité dans sa voix ? Ou quelque chose de plus ?
Je contourne le bureau pour me glisser derrière elle. Elle est toujours tendue, mais elle se penche un peu en arrière, presque contre moi, les poings fermés sur les côtés. Je sors mon téléphone de ma poche et je cherche la vidéo. Je presse "play" en continuant de tenir le telephone de sorte qu'elle puisse voir.
Le son est enclenché. La musique qui sort des petits haut-parleurs est lancinante. Elle apparaît sur l'écran, en train de danser, les bras au-dessus de la tête. Comme la première fois que je l'ai regardé en live, je commence à bander.
-Là, tu vois, fais-je dans son cou. C'est le moment où tu t'es demandé si je remarquais que ta robe se relevait. N'est-ce pas ?
Je colle mes hanches sur ces fesses pour lui montrer l'effet qu'elle a sur moi.
Je mets le téléphone sur son bureau, en face d'elle, et je pose ma main sur sa hanche.
-Et là... Dis-je en faisant un signe de tête vers la vidéo.
Elle attrape mon téléphone et la regarde de plus près.
-J'adore la manière dont tu regarde par-dessus ton épaule. C'est mon passage préféré. Cette expression sur ton visage... C'est comme si tu dansais que pour moi.
-Oh mon dieu, murmure t'elle.
J'espère qu'elle se remémore ses sensations, ce que ça lui faisait de savoir que je la regarderais. Elle prend ma main et la déplace lentement vers l'ourlet de sa robe, qu'elle relève jusqu'à la hanche. Sa peau est douce sous ma paume, je glisse une main sur son ventre, ses muscles se contractent sous mes doigts.
-Tu dansais pour moi ?
J'ai besoin de le l'entendre répéter. Elle acquiesce et dirige ma main un peu plus bas. Bordel ! Cette femme est pleine de contradictions.
- À quoi d'autre pensait tu ? Est-ce que tu pensait a mon visage entre tes cuisses, à ma bouche ?
Elle hoche la tête en se mordant la lèvres.
-J'avais envie de te caresser. Juste comme ça.
Ma main descend sous sa culotte au moment ou je prononce c'est mots.
Son corps s'incline sous moi,se courbe contre le mien pour se pencher sur le bureau.
-J'ai envie de sentir que tu es trempée. (mon souffle est court, ma voix basse et rauque) Trempée parce que tu sais que j'ai joui ce matin en te regardant.
Mes doigts descende encore.
Elle gémit.
-Tu regardes ?
Je glisse un goigt en elle. Elle semble d'accord, j'en profite pour aller plus loin. Mon pouce dessine des cercles sur son clitoris.
-Tu es putain de trempée.
Mes dents éraflent son épaule.
-Nous... Pas ici...
Pourtant, elle sempale sur mes doigts. Je la sens se resserrer, son soufflle n'est plus que des petits gémissements aigus.
Avec un clin d'œil coupable, je rerire ma main et la fais pivoter vers moi. Elle a l'air comme sous drogue, les paupières lourdes, les lèvres ouverte.
-Malheureusement, mes deux minutes arrivent à leur fin.
Je l'embrasse sur la joue, le coin de la bouche et sur chacune de ses paupières. Puis je lui arrache mon téléphone avant de sortir du bureau

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