Préférences / Imagine Supernatural.

Tu pleures.

Dean/ Il rentrait d'une chasse avec Sam, tu étais assise sur le lit en larmes. Bobby venait de t'appeler pour t'annoncer la mort d'un ami. Sans vraiment chercher à comprendre il s'est précipité vers toi et t'a pris dans ses bras. Après avoir attendu que tu te calme un peu, le chasseur t'a demandé pourquoi tu pleurais. Tu lui avais dit et avait refondu en larmes. D'un geste du doigts, il avait écarté la larme qui glissait sur ta joue et sans un mot t'avair gardé dans ses bras pendant un long moment.

Sam/ L'école dans laquelle tu voulais entrée t'avais refuser. Tu avais misé tout tes espoirs dedans. Cette nouvelle t'avait anéanti et tu pleurais depuis une heure assise sur le canapé la lettre de refus en main. Sam venait d'entrer, il n'avait pas encore vu ton état.

-Salut chérie tu..T/n!?

Sam c'était avancé vers toi a pas de loup, tu n'as pas eu besoin de lui expliquer car il avait vu la lettre dans tes mains. Il t'avait prise dans ses bras en te caressant les cheveux.

-Mon coeur...

Tu jurais contre toi-même, il avait prit ton visage dans ses mains et t'avait embrassé avec une tel passion que tout ton corps en avait vibré.

Castiel/ Pendant un long moment, ton petit ami d'ange faisait des missions dangereuses et rentrait souvent en piteux états. Et ce fut, la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Castiel était revenu à moitié mort vraiment. Tu avais fondu en larmes devant lui en lui faisant promettre de ne plus recommencer. Un peu honteux, il t'avait pris dans ses bras, tu pouvais presque sentir ses ailes protectrices t'envelopper. Tes larmes avaient petit à petit cesser de couler, et comme pour en finir avec ce mauvais épisode il avait déposer un long baiser sur ton front.

Gabriel/ Un chasseur ami était mort tragiquement et tu venais d'apprendre la nouvelle. L'archange était apparu devant toi avec des paquets de bonbons et les avait lâché sur le coup de la surprise. Tu étais assise sur la table, un verre de scotch à la main, les yeux rouges et le visage déformé par la tristesse. Il s'était approché et avait posé sa main sur ta tête pour caresser tes cheveux. D'une faible voix, tu lui avais expliqué a quel point vous étiez proche, a quel point tu tenais à cette personne. Il avait mis ses bras autour de toi et t'avait serrer fort contre lui pendant que tu pleurais sans t'arreter.

Crowley/ Les cris avaient fait péter tes nerfs et tu avais fondu en larmes en entendant à nouveau du bruit venant de la salle de torture. C'était devenu insupportable. Le roi était venu et avait essayé de t'expliquer qu'il était obligé de faire ça, que c'était son travail. Il t'avait prit dans ses bras en s'excusant au moins cent fois. Tu avais fini par te calmer et tu l'avais tapé. Il t'avait laissé faire le temps que tu te defoule et était parti.

Lucifer/ Pas besoin d'expliquer pourquoi tu pleurais, être en couple avec le diable n'est pas facile touts les jours. Il était arrivé derrière toi et avait mis ses bras autour de ton cou en mettant son visage dans tes cheveux. Pendant une bonne heure, il n'avair cessé de parler, il disait combien il t'aimait et tenait a toi. Combien tu étais importante pour lui. Combien, ta présence était devenu indispensable. Tu t'étais tourné et avait enfoui ton visage dans son torse en le serrant fort contre toi.

Charlie/ Tu venais d'apprendre une terrible nouvelle, encore une mort tragique. C'était une amie à toi a laquelle tu tenais beaucoup. La jeune hackeuse t'avait préparer un chocolat chaud et t'avais enveloppée dans une couverture comme un sushi. Elle s'était faufiler avec toi en te prenant dans ses bras. Aucune larmes ne coulaient longtemps sur tes joues car elle les attrappait a chaque fois.

Meg/ La démon avait été gravement blessée lors d'un combat contre des chasseurs. Tu avais eu vraiment peur pour elle et ne pouvait pas t'empecher de pleurer.

-Amour.. eh ça va je vais bien !

Elle t'avait installée sur ses genoux comme une petite fille et t'entourant avec ses bras. Tes sanglots ne voulaient pas s'arrêter. Meg t'allongea avec elle sur le canapé en te gardant dans ses bras. Elle commençait à te raconter des blagues et a te faire rire. Ça marcha à merveille car les larmes furent remplacer par le rire.