Une française à la cité tome3.

Chapitre 19.

Hey, je voulais vous prévenir que j'écrivais également une autre histoire dans la catégorie humour elle s'appelle : Un monstre dans ma vie. Allez la lire vous ne serez pas déçue.

Merci encore à toutes celles qui ont fait le chemin jusqu'au tome3 sans abandonner, mdr c'est grave touchant de voir que ce que j'écris et bah ça vous plait et que vous êtes toujours aussi nombreuses!

Désolée également de l'attente mais je bosse du coup le temps n'est pas trop là, mais je ne vous oublie pas et non l'histoire je ne l'abandonne pas, et jamais d'ailleurs!

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PDV DE NALYA.

- Foutue? ricanais-je. Mais mon vieux, c'est toi qui est foutu, si Jawed et Mamadou me retrouve, il n'en feront qu'une bouchée de ta petite tête.

Un sourire s'illuminait sur son visage, comme si ce que je venais de lui dire l'intéressais, même pire, lui plaisait.

- Nalya, Nalya, Nalya.. Tu es toujours aussi stupide mon dieu, tu as vraiment cru que Jawed et Mamadou viendrait te chercher? tu y crois encore? tu es encore plus bête que les deux réunis ma belle. Réveille toi, sors de ton compte de fée à deux balles, tu ne représentes rien à leurs yeux. Mais.. A mes yeux, tu représentes beaucoup.

- Je représente plus que tu ne le crois à ses yeux.

Mes yeux venaient de rencontrer les siens, je restais silencieuse, venant simplement placer ma main, lentement et avec une certaine hésitation sur mon ventre.

Le sourire de Marouane venait de s'éclaircir en dirigeant son regard sur ma main, avant de me fusillait du regard. Si ses yeux auraient été un fusil, je jurais que dés l'instant présent je n'aurais plus fais partie de ce monde.

- C'est une blague? bégayait-il.

- J'ai l'air de blaguer Marouane? sincèrement?

Son poing venait de rencontrer le pauvre arbre derrière lui, poussant un cri.

- Laisse l'arbre tranquille abruti, il ne ta rien fait!

- Ferme ta gueule, sale traîné.

Les yeux grands ouverts face à cette insulte, les sourcils froncés.

- Tu sais quoi Marouane? va te faire foutre, toi et tes idées tordues, crève en enfer, jamais tu ne connaîtras l'amour ou même l'amitié, tu es sans coeur, et j'espère que le monsieur tout là haut, te montreras le droit chemin, car au fond, tout le monde à le droit à une seconde chance. Sur ceux Marouane, adieu.

Je m'apprêtais à partir, le pleins d'émotions, mes yeux commençaient à se remplir petit à petit, se noyant presque à l'intérieur.

- Adieu Nalya. Avait-il murmuré avant d'enfoncer le couteau dans mon ventre.

Je me réveillais en sursaut, en sueur, la respiration haletante. Ma tête tourner de gauche à droite histoire de savoir ou je me située à cet instant précis. J'étais dans le salon, les garçons jouais toujours à fifa, les cris de Mamadou résonnaient dans la pièce: Tiens, prends ça batard!  j'tai niqué! alors c'est qui le plus fort? Les sourcils de cet abruti descendaient et montaient en narguant mon chéri. 

Un sourire venait se suspendre sur mes lèvres avant de réaliser que je m'étais endormie et que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve. En me levant d'un bond, je m'étais dirigé vers mes deux cons avant de les serrer fort contre moi.

- Nalya.. Tu m'étouffes là.. Se plaignait Mamadou.

- Nalya, j'vois plus rien là, pousse toi merde. Ralait Jawed.

- Je vous aimes.

Ma grand-mère venait de surgir dans la pièce, en haussant les épaules face à cette scène qui s'offrait à elle.

- Bon, câlin général alors. Lachait-elle avant de nous rejoindre

Tous les trois étions complètement serrer les uns contres les autres.

Un bruit de téléphone interpella notre câlin, c'était le téléphone de Mamadou, il venait de recevoir un message. Quelques secondes passèrent, dans le silence le plus total.

- Oh putain.

Le téléphone de Mamadou rencontra le sol, les yeux grands ouverts, la bouche à moitié ouverte, immobile, il resta là, inerte.