Chapitre 7

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En me réveillant se matin j'entendis du bruit dans la cuisine, je me leva et vie que c'était mon père. Je lui sauta dans les bras et lui fis un énorme câlin. Il me serra fort. Il sentait comme toujours son parfum mente poivré, son étreinte fut courte mais réconfortante. Je me détacha de lui, et vie qu'il avait l'air fatigué, il était tout pâle et il avait des cernes bien marquées. Je lui fis part de mes inquiétudes:

"Papa, ça va? Tu m'as l'aire fatigué.

- Oui oui ma chérie ça va..." Il toussa légèrement après cette phrase.

- Papa je vois bien que sa ne vas pas que ce passe-t-il?

- Écoute ça va aller d'accord...

- Mais papa je..." Il commença à tousser très fort, il avait du mal à respirer, je ne savais pas quoi faire je commençais à paniquer...

"Un verre d'eau! Me dit-il,

- Oui j'arrive". Je remplie un verre et le lui tendis le verre qu'il bue d'une traite.

"Papa que ce passe-t-il? Et ne me dit pas rien.

- Je suis juste un peu malade ne t'inquiète pas.

- Bien alors on va appeler le médecin pour qu'il te donne des médicaments..

- Non!

- Mais, tu as dit que tu étais malade...

- N'appelle pas le médecins, ça ne sera pas utile.

Bien sûr que si ça sera utile ils vont te donner des médicaments et...

- Je dis ça car je sais déjà ce que j'ai et que j'ai déjà un traitement...

- Oh, tu as quoi, une grippe? Une angine?

- Non, je n'ai pas de grippe ou d'angine mon cœur...". Quand mon père m'appelle mon cœur sa ne sens pas bon...

"Assied toi s'il te plaît mon cœur...

- Papa...

- Assied toi! Me dit-il sur un ton que je ne voyais que rarement, comme de la colère. Je fis ce qu'il me dit.

- Je t'écoute.

- Voila, j'ai été absent c'est derniers jours mais pas pour le travail...

- Euh..d'accord

- Je suis aller passer des examens. Je déglutie, non non pas ça..

« Je me sentais très fatigué depuis un moment alors j'ai passé une prise de sang et les résultats n'étaient pas bon..Mon monde commençait tout doucement à s'écrouler, à devenir flou.

« Je suis aller voir un oncologue. Les larmes commençaient à monter, je n'arrivais plus à le regarder en face)

- Ècoute mon cœur ça va aller, on sent est rendu compte tôt et j'ai beaucoup de chance de guérir!

- Non, non, les larmes coulèrent de plus en plus.

- Eh! Il s'approcha de moi pour m'enlacer mais je le repoussa.

- Un cancer de quoi!? »

Il ne me répondit pas, comme si le dire à voix haute rendrait les choses encore plus réel.

« Papa!

- C'est une tumeur situer prés de mon fois... Je baissa la tête et me leva.

-Ellen...

-Non! NON!, ils ont pas le droit de me faire ça! »Tu es mon père, j'ai perdu maman et là... Je m'effondra en larme par terre. Mon père arriva et me pris dans ses bras.

« Je suis un battant, je ne vais pas te laisser tomber d'accord?

Tu peux me le promettre?

Il me regarda mais ne me répondit toujours pas, je réitéra donc ma question sur un ton plus incitant.

-Est-ce que tu peux me le promettre papa?

C'est promis ».

Je l'enlaça une dernière fois dans mes bras et partie me préparer pour m'école, cela ne servait à rien que je reste à la maison de tout manière.

Après cette nouvelle je partie dans ma chambre comme dans un autre monde. Je n'avais aucune envie de parler ou de sortir. Je voulais pleurer, m'énerver! Mais pas aller en cours... Pourtant, je me força.

Mike arriva vers moi et vie que j'allais mal, sûrement due aux yeux rouge.

"Ellen, que ce passe-t-il?!

-Rien, un rhume.

-La pire excuse du monde est attribué à Ellen Van Trouper!

Je ne réagis pas à sa blague, j'étais bien trop à l'ouest pour ça.

-Okay, suis moi. Il me pris la main et me tira vers le trottoir opposé de celui du lycée.

-Qu'est ce que tu fais! On doit aller en cour!

-Non, on va sécher, la tu es à deux de tension, pour le moment tu bosses bien, c'est pas un jours qui va ruiner ta scolarité crois moi.

- Mais on va aller ou? Et on va dire quoi au lycée? À mon père!? » Je commençais à faire une crise de panique et à l'évocation de mon père je me remis à pleurer. Mike me vit et il s'arrêta, il me prit dans c'est bras pour une étreinte amical qui me réconforta légèrement. Je savais que je devais parler pour me soulager et que Mike avait l'air d'une personne de confiance mais..c'était plus difficile que prévue. Comme mon père je devais avoir peur d'en parler à voix haute car cela rendrait la situation réel.

- Eh, tu es sur que tu ne veux pas me raconter?

- Non...si je te raconte, sa voudra dire que tout cela est réel.

- Tu sais la réalité est très surfaite et que tu me la dise ou non elle restera ce qu'elle est. Mais me le dire te soulagera peut-être d'un poids.

- Je le regarda et décida de lui dire, je n'avais rien à perdre. Mon père..a ...un...Mon père a une tumeur".

Le regard de Mike se voila, il avait changé tu tout au tout. Puis d'un coup il me pris la main et me tira, je n'avais pas la force de riposter. On marcha une bonne dizaine de minutes et on arriva devant le garage de ma moto. Je ne compris pas tout de suite le rapprochement, puis me rappela que Nicolas vivait ici. Mike m'avait dit que le garage appartenais à son père mais que à sa mort sa femme avait gardé les lieux et les ouvriers afin de garder un revenue pour subvenir à leurs besoins.

"Qu'est ce que l'on fait ici?

- Je sais que vous ne vous appréciez pas mais...Nicolas est une personne qui peut comprendre ce qui t'arrive et sûrement la personne la plus adepte à te donner des conseils pour que tu ne sombre pas. Je ne répondit pas, du moins je n'en ai pas le temps puisque Nicolas arrive et nous vit.

« Eh Mec qu'est ce que vous faites la? Demanda Nicolas.

-nEllen a un soucis et tu es la personne qui lui faut pour l'aider...

- Je vois pas en quoi je pourrai l'aider.

- Tu es la seul personne que je connaisse qui peut redonner de l'espoir malgré ce qui lui arrive.

- Et? Qu'est qui lui arrive? Elle s'est cassée un ongle et son papa ne peut pas lui offrir une manucure?

Mon cerveau se réveilla et une colère indescriptible fit fasse.Je voulue me ruer sur lui mais Mike me reteint de lui éclater sa tête contre le mur.

« Calme toi Ellen il ne voulait pas dire ça...

-il n'a pas le droit..il n'a pas le droit.. personne n'a le droit. Pourquoi lui...pourquoi » Je fondis en larmes, et d'un coup plus rien, plus de force, juste une fatigue intense qui me pris la tête et tout les membres de mon corps un part un .

Tout recommencerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant