Ce matin je me réveilla de bonne humeur! J'avais passé une merveilleuse journée en compagnie de mon père au parc et pour moi, rien n'aurait pue me gâcher ma journée.
Je me leva tranquillement, même si c'était lundi mati et que cela voulais dire que je devais aller en cour, je m'en fichais. J'étais de bonne humeur.
Je partie dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner à moi et à mon père. Mais celui-ci ne ce leva pas, ayant peur qu'il soit en retard pour son boulot je partie dans sa chambre pour le réveiller.
"papa?". Il ne répondis pas à mon appel, il devait vraiment bien dormir pour ne pas m'entendre entrer. Je m'avança plus près pour lui secouer légèrement l'épaule. Je ne voulais pas le réveiller trop violemment. Mais il ne se réveilla pas. Je commença à avoir une boule au ventre! Je le secoua plus fort en lui disant en rythme avec mes gestes qui le secouaient "papa, c'est pas marrant, il faut que tu te réveille", mais toujours aucune réaction. À ce moment précis je compris au font de moi ce qui était en train de se passer, mais je ne voulais pas le réaliser... Je décida de faire un acte qui pourrai m'anéantir en cette si jolie matinée qui avait commencer. Je lui pris son pou..
Par chance j'en sentie un, petit mais il était la. Je décida de crier cette fois si "Papa lève toi, je t'en supplie, ouvre les yeux!". Les larmes commencèrent à couler.
Un torrent de larmes plus précisément. Je partie en courant dans la cuisine prendre mon téléphone pour appeler les secours. Je fis le numéro et ils me dirent qu'ils arrivaient et que je devais rester calme. Mais comment rester calme? Comment? Je continua à pleurer, encore et encore. Ce n'était tout simplement pas juste. Tout allait bien hier. Son traitement devais sûrement avoir un problème ou je ne sais pas moi. Je commençais à fatiguer de pleurer mais je n'arrivais pas à m'arrêter, c'était comme si on m'arrachait chaque partie de mon cœur, une à une...Je voyais de plus en plus trouble et sans comprendre ce qui m'arrive, je tomba dans un sommeil profond.
***
J'entendais des voix autour de moi mais pas moyen d'ouvrir mes yeux.
"Elle a juste eu un choc, elle s'est énormément fatiguée à pleurer et avec la panique elle s'est évanouie.
- Et pour son père? C'était une femme qui parlait. Elle avait dit ça sur le ton de l'inquiétude.
- Je ne sais pas comment ça se fait mais c'est aller beaucoup plus vite, à croire que cette fois si il a était plus fort que le temps qui lui avait été donné.."Mais de qui parlait-il? J'entendis une porte se fermer mais je sentais toujours une présence à mes coter.
"hey toi..Je suis l'infirmière de ton papa. Je ne sais pas si tu m'entend mais je voulais que tu saches qu'on est la pour t'aider toi et ton papa. Je ne sais pas si il t'a dit la vérité. J'espère qu'il l'a fait en tout cas, sinon tu risques de tomber de haut". Je n'avais aucune idée de quoi elle parlait mais je pris toute mes forces pour ouvrir mes yeux. Et je la vie. Elle avait l'aire d'être une femme protectrice. Elle ne voulais sûrement que mon bien mais je n'avais qu'une seul envie. Celle de voir père..
"Papa.." fut le seul mot qui sortie de ma bouche.
"Il est en train de se reposer dans une chambre. Elle me sourit.. C'est toi qui a appelée l'hôpital?"
Pour tout réponse j'hocha simplement la tête, je n'avais aucune force, et la perfusion dans mon bras devais sûrement me transférer un calment dans mon sang.
"Tu as très bien réagi". Je voulais savoir ou il était moi. Pas qu'elle me dise que j'avais bien agit! J'étais en colère!
"Ou est mon père? Je regardais dans le vide. Je ne voulais pas la regarder parce qu'avec son regard de compassion je risquerai d'être gentil et de ne pas être forte et donc de me remettre à pleurer et je n'en avais aucune envie.
-Écoute, je ne sais pas si ton père te l'a dit mais..
- Mais quoi? Je commençais à paniquer.
- Il est venu à l'hôpital vendredi et.. Elle hésitait, cela s'entendait au son de sa voix.
- Et?
- Il n'allait vraiment pas bien alors on lui a fait passer des examens". Je commençais à comprendre. Une larmes coula le long de ma joue. Juste une. Je tourna ma tête en direction de l'infirmière pour essayer de trouver un lueur d'espoir ou un autres sentiment que celui qu'elle avait. Elle savait que je n'étais pas stupide et que j'avais compris mais j'avais besoins qu'elle le dise. Alors elle respira un grand coup et me dit
"Dés que nous sommes rentrés dans la chambre de ton père vendredi il avait compris au regard de mon collègue. Il nous a tout de suite demandé le temps qui lui restait et..." Une autre larme coula. Elle avait arrêter son récit mais je voulais entendre la suite.
"Continuez s'il vous plait...
- Il ne voulait pas que l'on te le dise, il voulait tout organiser en cas de soucis mais ne souhaitait pas t'inquiéter.
- Qu'est ce que vous lui avez répondu? Elle me regardait avec incompréhension alors je précisa. Vous lui avait dit qu'il lui restait combien de temps? »
Elle déglutie.
« Deux à trois semaines.
-Et comment cela se fait qu'au bout de seulement deux jour il soit dans cette état?
Elle pris une grande inspiration, encore un fois.
- Nous avons fais une erreur..." La colère monta en moi à ces mots. Comment avaient-ils pu faire une erreur sur la maladie de quelqu'un et sur son espérance de vie!
"Comment est-ce que c'est possible!
-Nous n'avons pas fait une erreur sur le temps qu'il restait à votre père. Me précisa-t-elle.
- Alors vous avez fait une erreur sur quoi?
- Sur la résistance de votre père.. il nous a demandé des antidouleurs et nous lui en avons donnés mais votre père à due prendre une trop grosse dose...
- Mais...Vous voulez dire que mon père a tenté de se suicider?
- Nous en avons peur oui... Nous aurions dû faire plus attention. Je ne pensais pas qu'il ferai ça alors que vous étiez à coter...
- Ce n'est pas possible, il n'aurait jamais fait ça!
- Ellen...Votre père souffrait beaucoup..
- Souffre!
- Quoi? Elle ne comprenais pas pourquoi je disais ça.
- Mon père souffre, il ne souffrait pas, il souffre. Il n'est pas encore mort.
- Je suis désolé.
- Est-ce que je peux le voir?
-Oui.. nous allons juste le prévenir de votre arrivé et lui dire que nous vous avons prévenue". Et elle partie. Alors mon père a tenté de se suicider. Alors que j'étais à coter? Impossible.
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Tout recommencer
Fiksi RemajaJ'ai toujours était heureuse et comblée, jusque l'âge de mes 10ans. Au décès de ma mère je pense que plus rien n'a été, alors moi Ellen Van Trouper, 17ans, qui déménage à New York avec mon père et les emmerdes qui vont avec... Mais je les ai renco...