Chapitre 4

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Chapitre corrigé 

22h45:

Me voilà au poste de police, comment je suis arrivée là ? Pour vous la faire courte, je me suis battue avec ce garçon, les passants nous ont vue et ont appelés la police. Donc embarcation, ouverture d'un casier judiciaire, déposition, témoignage et pour finir en beauté, garde à vue le temps que mon père arrive. Cette journée ne pouvait pas être pire. Vraiment. Quoi que... deux minutes après avoir était mise en cellule, je revois un policier avec à son bras l'autre imbécile responsable de ma présence ici.

"Sérieusement monsieur, je pourrait pas avoir une autre cellule que l'autre conne?" déclara celui-ci à ma vue. 

L'agent lui répondit donc avec la plus grande gentillesse possible:

 "Oui bien sur, avec vue sur la ville et un lit king size, sa vous irez peut être?, franchement, vous avez vraiment cru que vous pouvez avoir le moindre souhait ici? Rentrez dans votre cellule et fermez la jusqu'à l'arriver de votre mère Mr Collins."

À l'intérieur de moi je jubilais, savoir que l'autre imbécile va aussi passer par la case "appel aux parents" est surement la seul bonne nouvelle de cette soirée.

"Si je te revois faire ce sourire de vainqueur t'es morte compris!

-Tu devrais arrêter de faire des menaces que tu ne peux pas tenir, vue comment tu t'es battue tout à l'heure.

-Et de ou tu peux connaître mon niveau? Tu n'es pas dans ma vie donc ne parle pas quand tu ne sais pas, alors maintenant ferme la, j'ai vraiment pas envie de faire cosette avec la personne qui à signée mon arrêt de mort.

-Quoi ta maman va te gronder et tu as peur, sache que dans l'histoire je ne suis pas la seul responsable alors ne pense pas que tu es le seul dans la merde. Moi aussi j'ai un père qui lui ne sera pas énerver mais déçu!

-Alors de un, ne parle pas de ma mère, de deux qu'est-ce que j'en ai à faire de ta vie? Et de trois, toi tu ne va pas crevée alors tait toi!

-Je n'ai rien dit de mal par rapport à ta mère alors calme toi et si tu crois que je vais m'excuser pour tout à l'heure en ville tu peux rêver.

-Je n'attend rien de ta part, crois moi, tu es le cadet de mes soucis

-Tend mieux alors!"

Suite à cette dernière phrase plus aucuns de nous deux n'a parlé ou adressé ne seraisse qu'un regard. Une heures plus tard mon père arriva et rien qu'en voyant son visage je voyais de la déception dans ses yeux, mais comme toujours, il ne va pas m'engueuler ou même me punir. Non, il va juste me faire une leçon de morale et c'est tout. Je suis la seul adolescente au monde à être triste que son père ne la punisse pas mais en faite je préféré juste le voir en colère que déçu...

"Ellen...

-Papa

-Que sait-il passé?

-Les policiers ne t'ont pas expliqués?

-Si mais je veux ta version, parce que savoir que ma fille a provoqué une bagarre avec un garçon et que des policiers ont du les arrêter ne m'enchante pas du tout! Je ne tais pas payé des cours de boxe pour que tu pètes la gueule à qui tu veux et quand tu veux!"

Je ne sais pas si c'est ses mots qui me font réagir ainsi mais les mots que je prononça derrières fut plus tranchant que jamais:

-Oui papa! Oui j'ai bien provoqué une bagarre! Oui j'ai bien fait ça! Et oui je suis en garde à vue parce que je n'ai pas sue me contrôlée. Mais tu veux que je te dise quoi? Que je regrette? Navrez de te l'annoncer mais je ne regrette pas de devoir être en garde à vue pour que tu vois que ta fille a changé.

-Mais..

-Papa, tu es l'un des meilleur père au monde, tu es là pour moi, mais j'en ai marre! Râle le bol! Alors maintenant allons nous en d'ici. J'ai envie de rentrée". 

Pourquoi avais-je dis ça? j'avais été plus que dur avec mon père qui ne méritais pas ça. Logiquement c'est lui qui aurait dû me faire la leçon et non l'inverse. 

En commençant à sortir je vis une femme qui ressemblait énormément au garçon avec laquelle je me suis battue, elle avait l'air paniquée et en colère en même temps. Je l'entendis dire a l'agent de police de l'accueille:

"Bonjours, je suis Mme Collins je viens chercher mon fils, Nicolas Collins, il a été mis en garde a vue..."

Alors il s'appelle Nicolas. Bien, il faut que l'on y aille...Je suis vraiment fatiguée et demain il y a cour, en plus il faut que je discute avec mon père, je n'aime pas comment c'est terminé notre discutions.




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