Après avoir gagner la bataille, il ne manque plus que la guerre [ terminée]

Chapitre 17: Flash back.

« Elle est partie. Elle seras en sécurité. C'était la bonne la décision » n'arrête pas de ce répéter Akihito chaque matin en se levant. Cette nuit il avait encore rêver d'elle mais elle se fessait tirer une balle dans la tête. Il ne pense cas elle et au bébé... Il sait que c'était la bonne décision mais il regrette tellement.

Pendant l'entraînement des recrues auquel il participe la pression se relâche enfin. Au loin il voit passer le caporal Livai tenant la main de sa femme. Depuis qu'elle est devenue aveugle il reste toujours auprès d'elle. Sur ses yeux elle porte un bandage et des lunettes noirs. Quand Akihito les voit il se répète que c'était une bonne décision d'avoir laisser Hasumi partir, sa lui aurait éviter de regarder sa....

Aujourd'hui réunions de tous les caporaux. Ils faut à tout pris trouver un moyen d'arrêter ses espions, malheureusement sur trois il ne reste plus que Annie car depuis le départ de Hasumi Reiner et Bertholdt on disparut. Alors il discute encore et encore du moyens de récupérer les informations sur les rebelles en capturant Annie.

Le lendemain Annie se réveille, elle se dirige vers le miroir. A la vue de son reflet elle passe de l'eau sur son visage, attache ses cheveux et rejoins le reste du bataillon. Pendant qu'elle se baladait dehors comme à son habitude elle sent une pression. Comme si elle était observer. D'un coup elle se prend un coup dans l'épaule et de peur elle se retourne en reculant.

- Hey. Tu vas bien ? Demande Akihito en étant surpris de la réaction de Annie.
- Oui.

Puis elle part en se sentant bête, ce n'était qu'une vulgaire tape à l'épaule et marche vers l'intérieur quand un coup de feu se fait entendre. Elle regarde à ses pieds et voit l'impact de balle. Sans perdre un instant elle part en courant vers le bâtiment principal. Mauvaise idée des tonnes de soldats l'attendais. Elle fait donc demi tour mais de l'autre coter aussi. Elle était encerclée et fuir vers les dortoirs ne servirais à rien car il n'y a aucune issus. Un soldat s'approche d'elle pour la menottée.

- C'est tout ce que tu mérites sale traite.

Traite ? Non. A aucun moment elle as trahi ses fondamentaux, elle est venue ici pour aider les rebelles. Alors d'un coup avec une bague cachant une larme  empoissonné elle coupa la main du soldat.

- Je ne tomberais pas seule.

A ce moment elle pris ses jambes à son cou et coure le plus vite possible vers l'infirmerie. Rien ne l'arrête, elle traverse les grands couloirs, monte et descend les escaliers et arrive enfin à l'infirmerie. Elle va dans la salle de chirurgie et ferme la porte derrière elle. Presser par le temp elle fit tous tomber par terre cherchant une seringue et une fiole spéciale. Elle finit par la trouver, elle plante donc la seringue dans la fiole, en sort tous le contenue, remonte sa manche et approche la seringue vers sa veine en tremblant. Ses larmes ce mettent à couler, ses souvenirs lui fait face et elle revoit son père ce faire tuer par un soldats...

De l'autre coter Akihito était fou de rage qu'elle arrive à s'enfuir. Il courue donc accompagné de soldats vers l'infirmerie. Quand il arrive trois hommes essayent d'ouvrir la porte mais il n'y arrive pas.

- Poussez vous !

Akihito donne des coups de pieds encore et encore quand il entend un bruit de verrou. Il s'arrête et Annie ouvre la porte en riant de toute ses dents. Akihito ne comprenant pas il la dévisage et voit une seringue vide dans sa main. Elle vomis du sang puis hurle:

- QUE CE PRÉSIDENT MEURENT ET QU'ON SOIT ENFIN LIBRE DE NOS CHAÎNES  !

Puis elle s'écroule. Il l'observe quelque minutes puis finit par rejoindre les caporaux.

- Que fessons nous du corps ? Demande Akihito.
- Il nous on humilier, nous rendons coup pour coup. Dépose son cadavre à la limite de leur territoire. Répond Erwin.
- Bien.

Quelque jours plus tard on appelle Reiner et Berthold de toute urgence, sur une table repose le corps d'Annie.

- Elle c'est empoissonné.

A partir de là ils n'écoutaient plus rien. Leur compagnon, leur amie, leur sœur était étendue morte devant eux. Reiner la regardé puis sa vue fut troubler par des larmes incontrôlables. Betholds quand à lui s'était totalement effondré, ses jambes ne le tenait plus et ses hurlement fessait vibrer chaque personne dans la salle. Ils s'en voulaient, comment avaient-t-ils pue la laissé seule ? Elle avait insisté pour qu'ils partent tous les deux rendre un rapport mais... il n'y avait rien à dire. Elle est morte.

- Je veux la tête de tous les Ackermans. Trouvez les. Coupez les en morceaux et jetez les en pleins centre ville.