Chapitre 22: Le départ d'une nouvelle vie.

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- Donc si j'ai bien compris tu t'es battu, tu es (logiquement) blessé, tu as insulté la CPE et tu as fait un geste vulgaire.
- ...
- Tu n'as rien à dire pour ta défense ?
- Pardon.
- Pourquoi tu t'excuse ?
- De t'avoir fait déplacer à cause d'une conas..
- STOP ! Arrête toi la... je sais que je vais arriver à rien avec toi...
- C'est un compliment ?
- Pas vraiment... bon, j'ai quelques chose à te demander..
- Moi aussi.
- Commence.
- Ou étais tu ce matin ?
- Je suis partit faire une mission.
- Une mission ?
- Tu as posé ta questions à moi maintenant. Il lui prend les mains et la regarde dans les yeux.
- Tu vas me demander en mariage ? Tu sais que c'est punit par la loi.
- Écoute moi.
- Oui.
- Veut tu venir dans notre famille ? Être ma fille et me considérer comme ton père ?

Ses mains se mettent à trembler, elle a la voix noué mais sa réponse n'as rien de surprenant. Alors elle lui fit un oui de la tête puis lui heureux la serre dans ses bras. Se sentant gêner et surtout pas habituer à ce genre de chose elle ne bouge plus. Il se sépare d'elle.

- C'est la que sa devient plus dur... notre maison se trouve en Suède... nous devons prendre l'avion dans trois heures...
- D'accord.
- Tu acceptes ?
- Oui..
- Très bien, alors allons chercher t'est affaires.

Il démarre la voiture et les voilà sur la route pour l'orphelinat. Quand elle arrive Colette les attends dans le bureau. Quand ils rentrent tous les deux elle prend Charlie par les épaules et la regarde droit dans les yeux.

- Aujourd'hui. C'est aujourd'hui que tu nous quittes alors promet moi d'être heureuse et surtout de pas me faire le coup d'aujourd'hui avec la CPE.
- Oui..
- Soit heureuse... Soit heureuse... dit elle en la serrant fort dans ses bras.

Charlie verse quelques larme qu'elle n'arrivent pas à contenir et Colette finit par l'envoyer rassembler ses affaires en lui disant de prendre seulement à quoi elle tient.

En haut Charlie décide de prendre une douche pour porter des vêtements propre. Une fois sortie elle met son gros pull gris, son jean noir et toujours ses converses abîmé. Dans son sac elle met sa console, son carnet de croquis avec ses crayons de couleur et feutre. Avant de partir elle se regarde dans le miroir, attache ses cheveux et ouvre une petit boîte. De cette petite boîte elle sort une bague argenté... avec une chaîne elle la passe dedans et en crée un collier qu'elle passe autour de son cou.

- Maman... aujourd'hui je pars avec une famille... mais je te promet que je ne t'oublierais jamais... jamais. Elle pose un bisous sur la bague.



Par chance Eggsy et Charlie arrive à temp pour enregistrer les bagages et l'embarcation. L'avion décolle et les voilà dans le ciel.

- Il est jolie ton collier.
- Merci.
- Je ne l'avais jamais vue..
- Je le mettais pas..
- Je voit... où tu l'as eu ?
- On me l'as donnée.
- Ah bon ? Qui ?
- Maman..
- Tu te souviens de ta mère ?
- Pas vraiment. J'ai oublié son visage, mais je sais qu'elle a de long cheveux brun avec une odeur fruitée, des mains douces, et qu'elle est triste...
- Comment tu sais tous sa ?
- Je suis arrivée à l'orphelinat à 5 ans. Colette m'as dit que je portait une très jolie robe tachée de sang et déchiré... d'ailleurs j'ai une cicatrice sur le ventre.
- Vraiment ?
- Hum... elle m'as donné la bague pour pas qu'on perde contact. Je pense qu'elle était en danger.. elle s'appelle aussi Hasumi. C'est son prénom. Il est jolie hein ?
- Oui..mais tu ne sais pas ce qui c'est passée ?
- Non, à partir de mon entré à l'orphelinat je me souviens de rien...
- Tu penses qu'elle est toujours en vie ?
- Bien sur ! C'est une certitude.
- Je voit...
- Ne dit rien à Tilde sur tout ce que je vient de te dire ...
- Pourquoi ?
- Parce que. Il faut pas..
- Bon et bien je ne lui dirais rien...
- Merci.
- Et ton père ?
- Je ne sais pas... je ne connais même pas son prénom...
- Je voit..
- J'ai une question à te poser.
- Va y.
- C'est quoi un kingsman ?
- Hein ? Qui t'a parlé de sa ?
- Je le savais... tu me caches quoi ?
- Je vend des tailleurs dans la boutique kingsman à Londres...
- Hum... moyens... tu devras être plus convaincant.
- Je te dirais tout arriver à la maison.
- Promis ?
- Promis.
- Petit doigts.
- Si tu veux.

Après avoir gagner la bataille, il ne manque plus que la guerre [ terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant