Après avoir gagner la bataille, il ne manque plus que la guerre [ terminée]

Chapitre 6 : Le passé

Mikasa tue les deux gardes qui surveille la porte d'entré et rentre dans le bâtiments suivie de Livai. Ils montent les escaliers et Mikasa avance devant avec les deux flingues dans le dos.

- Qui êtes vous ?
- Tu n'as pas besoins de le savoir.

Elle tue l'homme qui était devant la salle où se réunisse tous le monde, elle rentre comme une fleur et les tue un par un. Quand à Livai lui il part cherche les jeunes filles, une fois que les trouvent il appelle Eren pour lui demander quand arrivent les renfort qu'il avait demandé ? Il lui répond que Jean arrive dans cinq minutes avec un vans pour les emmener en sécurité et Sasha est censé déjà être sûr place. De loin Livai entend son prénom et confirme que Sasha et bien là. Elle rentre dans la salle pour réconforter les filles et les remettent en confiance.
Livai raccroche et rejoint sa femme qui regarde par la fenêtre l'extérieur.

- Tu as plein de sang partout c'est sale, tu en as même sur le visage.

Il essuie avec son pouce la tâche de sang mais découvre que c'est une petite blessures. Alors il désinfecte la plaie et pose un petit pansement puis ils repartent tous les deux en direction de la voiture et rencontre Jean qui sort du vans pour aller cherche les filles. Les Ackerman monte dans leur voiture pour retrouver leur enfant.

Au même moment Hasumi ouvre les yeux et remarque que la voiture et arrêté. Devant le pare brise il y a des viennoiseries, quand elle veut se redresser pour manger un pain au chocolat elle sent quelque chose la retenir. Elle tourne la tête et voit Akihito avec sa mains dans ses cheveux. Pourquoi il passe son temp à sentir ses cheveux et à les touchers ?

- Akihito...

Elle lui chuchote doucement mais il ne répond pas, elle essaye de lui retire sa mains mais au lieu de l'enlever il essaye de la faire s'approche. Elle lui touche la joue pour qu'il se réveille... après quelque minutes il ouvre enfin les yeux et la relâche. Hasumi peut enfin manger son pain au chocolat sous le regard de Akihito.

- Donne un croc.
- Il y en pas d'autre ?
- Non... je l'est mangé hier..
- T'est bizarre... si tu savais que aujourd'hui tu en voulais un autre tu aurais dû t'en prendre un... tient.

Il prend son croc et le rend à Hasumi. Aucun des deux parles, il reste dans un silence absolue. Mais cela ne les dérangent pas, au contraire, n'étant pas du matin le silence est la meilleure chose qu'ils ont souhaitaient. Pourtant Hasumi veut casser ce silence... elle devait lui poser une questions même si pour cela elle devait casser ce moment présent.

- Comment tu me connais ?
- Qu'est ce je tu veux dire part la ?
- Avant que je me présente tu connaissais déjà mon nom, hier tu m'as dit que tu a toujours adoré me voir sourire et rigolé, alors que moi je connais de toi que ton nom. Alors dit moi, comment tu me connais ?
- Tu veux vraiment que je te dises sa maintenant ?
- Si je te pose là questions c'est pas pour faire jolie.
- Ça va j'ai compris... bon je te raconte en chemin.... il faut qu'on avance.

Alors il redresse son siège, met sa ceinture, la clé sur le contact et démarre la voiture. Hasumi fait de même est se réinstalle mieux. Puis elle regarde Akihito pour savoir la réponse à la question qu'elle lui a poser. Il prend beaucoup de temp pour prendre la parole mais sa ne fait rien, elle est têtue et arriveras à lui faire cracher le morceau. Il remarque que le regard de Hasumi commence à devenir pénible et insistant... il commence vraiment à être gêné de la situation et lui révéler la vérité et aussi très gênante. Et si il lui disait tous et qu'elle le prend pour un fou ? Et puis merde hein ! Donc il inspire un bon coup et commence sont récit.

- Quand j'étais jeune mes parents n'étais jamais la pour moi. Ils ne vivaient que pour le travail, ce qui fait que j'ai toujours était transporté de nourrice en nourrice qui me fessait bosser tous le temps. Le peu de fois où je voyait mes parents c'était pendant les fêtes. Et quand ils étaient là c'était pour savoir si je suis le meilleur à l'école. J'ai remarqué qu'ils n'avaient strictement rien à faire de moi alors j'ai prit une décision. Si je ne l'est intéresse pas je ne voit pas pourquoi je devrais faire ce qu'ils me disaient. Alors j'ai commencé à faire des conneries, à fumé des cigarettes et à me battre. Un soir je suis rentré et il y avait la femme de ménage qui me dit que je dois aller en internat de correction. Que mes parents m'on envoyé la bas et que je part dès demain. Je n'est même pas pue encaisser la nouvelle que j'étais déjà dans la bas. Je détestais restais enfermé comme un prisonnier alors je fuguait tout les samedis. De quoi prendre l'air, mais je n'avais pas réellement d'amis... donc je me baladais dans les parcs et dans les rues commerçante et je t'est vue passé avec t'est amies, tu rigolais et souriais... tu t'amusais bien... je ne comprenait pas comment tu pouvais être aussi heureuse alors je suis devenue jaloux. Quand je suis rentrais a l'internat je me sentais comme si j'étais vide et je déteste sa... alors le samedi je ressortais et je t'est revue à la même heures au même endroit toujours avec ce sourire béat sur ton visage. Mais cette fois si je n'étais pas jaloux ni en colère, non, j'étais heureux et soulagé qu'il n'y a pas d'autres personnes qui soit comme moi. Un jour j'ai fugué de l'école et je me suis trouvais un petit boulot dans la boucherie là où tu passais. Du coup c'était devenue une habitude pour moi de te voir passer tous les jours avec ton éternelle sourire et ton rire. J'ai donc aussi appris ton prénom à ce moment là. Finalement je me suis rappelé que j'avais aucun endroit où aller ou même de proches, alors j'ai décidé d'aller à l'armé et c'est là que tu m'as parlé. Au loin j'avais remarqué t'est parents, ton frère et ta sœur. Je l'est est vue pleuré et demande à leur parents de restais. Toi tu fessais en sorte de ne rien laisser sortir... ton sourire à donc changer, même si je te croyais heureuse et sans soucis en vérité tu passais t'est journée à t'occuper de ta famille... enfin bref.... tous sa pour dire que je te connaissais avant parce que je te voyais passer. Je t'est un peu raconter toute ma vie la...
- ....
- Tu peut dire un truc s'il te plaît sa commence à devenir gênant.
- T'est un stalker ?
- Hein ? Mais n'importe quoi !
- Au mon dieu ! Je comprend mieux maintenant... tu veux que je sois ta princesse, tu veux me baiser les mains, tu veux me prendre dans t'est bras, tu veux me prendre sous les draps, tu veux m'aimer m'épouser !
- Arrête de chanter ta connerie !
- Moi aussi je trouve que tu as une jolie sourire... et je dit pas sa pour que tu te sent moins seul après ta révélations..
- Ouai c'est sa prend pour un con..
- D'accord. Sinon on arrive dans combien de temps ?
- Deux heures....
- Bon et bien MUSIQUE !!

Elle allume la radio et les deux heures passèrent avec de la musique. Une fois qu'ils arrivent près de la maison il gare la voiture... enfin gare et un bien grand mots. Ils foncent dans le portail et casse celui ci plus la voiture. Les airbags sont sortit et fait en sorte de ne pas blessé le conducteur et le passager. Ils sortent tous les deux de la voiture complètement sonné cherchant un point fixe pour redevenir comme avant. Hasumi s'écroule au sol et ce met à respire bruyamment...

- Hasumi... Hasumi ça va ? HASUMI !

Il court vers elle et la voit en train de faire une crise, il n'arrive pas à la calmé. Il se met à paniqué et à regardé autour de lui pour trouver une solution mais rien. Une jeune femme habillée en soubrette cours vers Hasumi et lui met une ventoline dans la bouche. Hasumi appuie sur le bouton et inspire le produit.

- Encore une fois mademoiselle.

Alors elle recommence.

- Vous avez fait un sacré accident, si vous voulez bien me suivre..

Elle se met à marché vers le château pendant que Akihito aide Hasumi à se lever. Un bras autour de sa taille et celui de Hasumi autour de son cou ils marchent doucement en essayant de suivre la jeune femme.

- C'était quoi ce qui vient de se passer la ? Tu m'explique...
- Ce n'est rien... juste de l'asthme..
- " Juste de l'asthme " ? Tu viens de me faire une crise en directe et tu me dit juste de l'asthme !
- Je n'aurais pas fait de crise si tu n'avais pas foncé comme sa dans un portails !!
- Tu aurais pu au moins me prévenir que tu étais asthmatique non !
- J'ai pas envie de continuer cette discutions. D'ailleurs une fois qu'on rencontre l'autre il fait rester calme et discret d'accord.
- Ta pas envie parce que tu sais que j'ai raison !
- Par ici s'il vous plaît, le maître vous attend dans le salon.

Après quelque minutes Hasumi se sent mieux et se détache de Akihito qui la surveille toujours du coin de l'œil. Il rentre dans un salon et voit le maître de maison qui est assis sur un fauteuil. Il l'est invité à le rejoindre et c'est ce qu'ils fait. Le maître leur pose plusieurs questions banale sans intérêt pendant que Hasumi cherche son frère avec ses yeux mais elle ne le voit pas.

- Et sinon vous habitez seul ?
- Non, je vit ici avec mon fils. Elizabeth vas le cherchais s'il vous plaît.
- Oui messieurs.

Elle sort pendant que Hasumi essaye de comprendre l'homme qui es devant elle.

- Vous avez un fils alors, il s'appelle comment ?
- Haru, mais ce n'est pas mon fils de sang... il est adoptée...
- Je voit..

Quelque minutes après arrive Elizabeth accompagné de Haru... enfin... Hibiki.

- Voici mon fils, Haru... il est la source de mon bonheurs..
- Et de vos orgasmes sale pédophile !! Il s'appelle HIBIKI EST PAS HARU C'EST CLAIR ! Aller rentrez votre bâton autre part que mon frère espèce de salop !!
- On avait dit..
- TA GUEULE ! Je vais vous faire la peau !!

Mais au moment où elle s'élance sur lui elle commence à avoir des vertiges et une soudaine envie de dormir. En tombant elle pue voir Akihito courir vers elle et Elizabeth qui le pique avec une seringue... et merde...

Plus tard quand elle se réveille elle est dans une cave avec plein de poussières, à coter d'elle Akihito qui dort encore à ses côtés. Elle regarde sa montre et voit qu'il est déjà 23 heures...

- Akihito... AKIHITO !

Il ne répond pas.. Hibiki ! Elle doit sortir de la est vite. Elle se lève et par en courant vers la porte. Elle donne des coups de poings dans la porte en hurlant.

- Laissez moi sortir espèce de salop !!

Derrière elle elle entend Akihito qui se réveille. Elle court vers lui est elle l'appel encore.

- Ne cris pas comme sa...
- Hibiki... Hibiki est...
- Calme toi... mais... pourquoi tu pleures ?