Chapitre 15: Encore ?

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- Bon Hasumi et si on rentrais maintenant ? On a pas besoins de faire autant de course maintenant pour le bébé.
- Et comment je fais moi quand il seras là sans habit, sans lit pour dormir et sans biberon ?
- Tu es enceinte de 5 mois. Je pense que on a encore le temp avant d'acheter tous sa... en plus on a déjà des habits et des biberons par contre pas d'appartement. Et sa c'est un plus gros problème ! Tu comptes vivres sous les ponts avec ton bébé ? On doit d'abord te trouver un endroit où vivre une vie de famille.
- Bon mais avant de rentrer je vais aller m'acheter un sandwich au saucisson pendant que toi tu nous débarrasses des deux hommes qui nous suivent depuis qu'on est rentrés dans le centre commercial.
- T'est pas sérieuse ?
- Je n'est pas envie que mon bébé se prenne des coups et puis tu es devenu très fort donc ne te fais pas de soucie.
- Tu préfères pas qu'on parte en courant ?
- Non, je serrais trop lente, mais si tu veux un avantage j'ai pris mon canif. Il est dans ma poche.
- Souhaite moi bonne chance.
- Tu en as pas besoins.

Il marche vers la sortie mais fait demi tour et retourne auprès de sa sœur.

- Et si tu as tord ?
- J'ai jamais tord.
- Okay mais si il porte plainte pour coup et agression au couteau ?
- Ce sont des espions du camp des rebelles, tu penses vraiment qu'ils vont portés plainte ?
- Bon j'ai compris.

Il repart vers eux pendant que Hasumi sort du magasin et s'achète de quoi manger. Elle s'assoit tranquillement sur un banc et mange en attendant que son frère revienne. Après plusieurs minutes le voila de retour complètement sonner.

- Tient, boit sa te ferras du bien. Il prend la bouteille et dévisage sa sœur.
- Comment ta fais ?
- Pour ?
- Pour tuer des gens et vivre comme si rien ne c'était passer. Je viens de tabasser deux hommes avec un coup de couteau dans le bras et toi tu manges sans pression..
- Je sais pas... sûrement parce que les crimes que j'ai commis on été fait pour sauver ceux qui me sont chère. Si des hommes ne nous aurait pas enlever jamais je ne l'est aurais tuer. C'est aussi simple que sa.
- Tu es folle. Complètement folle.
- Ouai ouai et bien pour l'instant la folle aimerais bien rentrer à la maison avant que les gens qui nous suivent racontent tout à leur patron. Donne moi les clés.
- Je suis abasourdi.
- Et bien soit abasourdi en me donnant les clés de la voiture.

Il cherche les clés dans ses poches puis les lui donnes.

- Mon canif aussi.

Il souffle mais lui donne aussi, elle l'oblige a se lever et bras dessus bras dessous ils retournent au parking où Hasumi fait démarrer la voiture pour rentre chez eux. Une fois arriver elle cherche sa sœur dans la maison mais aucune trace d'elle.

- Hibiki !
- Quoi ?
- Elle est où Hana ?
- Je sais pas.... elle devait pas être chez une amie aujourd'hui ?
- Attend je l'appelle.

Elle compose son numéros et attend que sa sœur réponde. Aucune réponse. Elle l'a rappelle est toujours rien. Hasumi commence à se sentir mal, comme un mauvais pressentiment. Alors elle s'assoit dans le canapé pour se calmer et finit par recevoir un message de sa sœur lui disant qu'elle regarde un film chez une amie et qu'il ne faut pas la déranger. Hasumi lui répond qu'elle vient la chercher et qu'elle ne sort pas tant qu'elle ne seras pas là pour la récupéré.

- Hasumi..
- Hum..
- Je vais prendre une douche. Si il y a un problème tu gères.
- Un vrai gentleman.

Il ignore sa remarque et va dans la salle de bain. Sous la douche plein de souvenir lui remonte. Et malheureusement pas les meilleurs. Il avait encore du mal à parler de cette époque même si il vit une vie plutôt calme maintenant mais la simple vue du canif a fait ressurgir en lui plein de chose qu'il aurait aimer oublier.
Au même moment Hasumi décide que le film de sœur est déjà finit depuis un moment donc elle se lève et part avec la voiture pour rejoindre Hana.

Quand il sort de la salle de bain il entend quelqu'un ouvrir la porte de la maison. C'est beaucoup trop tôt pour qu'elles soit déjà entré...sûrement Hasumi qui a oublié son téléphone ou les clés mais le miroir qui est dans les couloirs montre que ce n'est clairement pas ses sœurs qui sont rentré. Plusieurs homme avec un revolver dans la main font leur apparition. Au son de leur pas qui s'éloigne ils vont dans la cuisine mais deux d'entre eux on décide de faire un tour vers lui. Sans perdre une seconde Hibiki court dans la chambre sachant qu'il y a une grande fenêtre qui permet de passer par la cour. Il l'ouvre mais quand il regarde dehors il y a d'autres hommes. L'immeuble est complètement encerclé.

- Merde.

Il reste au coin de la fenêtre à l'abris des regards et cherchent une solution pour se tirer de ce problème mais rien lui vient à part voir au coin de l'oeil un visage connue.

- Akihito... putain ouai..

Il faut qu'il l'aide, jamais Akihito je pourras s'occuper d'eux tous seul. En bas de la fenêtre ils sont deux, plus loin ils sont quatre. Sous le lit ! Hibiki se dépêche et récupère dans une boite noir un revolver charger avec un silencieux. Pas de temp à perdre. Avec un miroir et la lumière du soleil il vise le visage de Akihito qui sourit discrètement. Une fois le silencieux placer sur le revolver il vise pour tirer dans la tête d'un des hommes mais avant il part fermer la porte de la chambre à clef. C'est bon. C'est le moment. Il vise une tête et tire, la deuxième tire. Les hommes sont mort. Il vise ensuite vers les quatre hommes qui se battent contre Akihito. Ils tombent tous un par un. Akihito court ensuite en dessous de la fenêtre car il reste peu de temp avant que d'autre arrive.

- Hibiki saute !
- Sa va pas ?! Tu veux que je me casse une jambes !
- Tu es au deuxième étages ! J'arriverais à te rattraper ! Dépêche toi !
- Il veut ma mort. Bon j'arrive ! À trois. Un. Deux. Trois !

Il saute et tombe dans les bras de Akihito qui bascule en arrière.

- Alors le môme ? Toujours vivant ?
- J'ai faillit me pisser dessus.
- Bon c'est dégueulasse on se casse.

Ils se relèvent et en toute discrétion ils court vers la voiture, la fait démarrer et parte.

Après avoir gagner la bataille, il ne manque plus que la guerre [ terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant