Je me prépare activement, dérangeant au passage le peu d'affaire que j'avais installé. Je pose une paire de lunettes ronde sur mon nez avant de mettre un bonnet rouge sur ma tête. Je porte un legging assortie à mon treillis militaire ainsi qu'une paire de basket souple. Mon sac de sport se remplit tout doucement de divers matériaux que j'ai du acheter au marché noir. Pour remplir ma mission je ne doit en aucun cas utiliser d'objets militaire, je suis une personne sans liens avec une quelconque organisation gouvernementale. C'est ça le danger de ma mission, si je me fait arrêter pendant que je suis dans les locaux, je risque de passer un petit mois en prison. Par contre, si c'est une des unités militaires qui me trouvent c'est tout bon pour moi. Mais mon objectif reste comme même de ne pas me faire prendre. Je passe devant mon miroir en observant c'est drôle de cheveux noir. Trois semaines que cette coloration est sur ma tête et je ne suis toujours pas habituer. La couleur de mes yeux est bleu grâce à un changement de lentilles colorées. Oui, mes yeux sont toujours violet et sa n'a pas l'air de vouloir partir.
Après avoir finis mon sac, je descends pour pourvoir aller dans ma voiture. Je conduit doucement sur les routes pour ne pas me faire repérer à cette heure matinale. Je me gare dans un parking à deux kilomètres de ma cible. Je marche jusqu'à une salle de sport situé à 100 mètres de mon objectif. Je m'enferme dans un cabine pour pouvoir déplier mon plan du bâtiment. La sortie de secours du rez-de-chaussée donne sur l'escalier métallique pour monter jusqu'au toit. Le seul problème c'est que des capteurs de mouvements ont été disposé tout le long de l'escalier et une alarme se déclenche si quelqu'un tente d'ouvrir la porte. Les commandes du générateur sont à mon niveau mais seul une clé peut l'ouvrir. Je replie ma carte après avoir bien imprimer l'emplacement de chacun des points clés. Je sort de ma cachette pour me diriger vers le boîtier magique. Je prend une épingle à cheveux ainsi qu'une tige métallique avec lesquelles je titille le cadenas avant qu'il ne cède. Je débranche l'alimentation après avoir revêtu des gants de protection. Je les enlèves pour les remettre dans mon sac avant de sortir discrètement par la sortie de secours. Le silence accompagne son ouverture me procurant une immense satisfaction. Le vent fouette mes cheveux qui se plaque contre mon visage avant de repartir voler tandis que moi je monte le plus rapidement possible les escaliers. En haut du toit, je déplie la carte de construction du prochain bâtiment. Les escaliers de secours n'ont pas de capteur puisque les portes qui donnent y donnent accès sont uniquement déverrouiller en cas d'incendie. Je range le document dans mon sac avant de me poser près du bord de l'immeuble. Une petite ruelle me sépare du bâtiment voisin mais comme celui-ci est bien plus grand, je lance un grappin qui s'accroche aux barreaux métallique. J'accroche l'extrémité à un poteau avant de me laisser glisser le long du câble avec mon encombrant sac de sport. Arrivée à destination je passe par dessus la rambarde afin de pouvoir sectionner le câble sans risque de tomber. Je récupère le grappin tout en détachant le morceau de corde encore accroché. Je gravit les marches quatre à quatre avant de me hisser sur le toit du bâtiment. Le vent souffle provoquant une série de frisson. Je sors mon matériel, m'équipant d'une bombe noir et rouge ainsi qu'un Glock 17 au numéros de série limé. Mes cheveux sont plaqué sous mon bonnet rouge, correctement caché pour éviter toute reconnaissance. Mon arme glissée dans mon legging, la sécurité étant bien mise pour éviter de me retrouver une jambe en moins. Je mets des gants noir avant de prendre un grappin haute précision que mon fournisseur à emprunté à l'équipe d'intervention de la police. Je vise le haut du bâtiment qui se situe à une grosse cinquantaines de mètres horizontalement et je dirais une bonne trentaines verticalement. Le tir part avec le grappin qui lui s'encastre dans l'encadrement en béton de la porte d'accès. L'autre grappin lui c'est enfoncé profondément dans le toit sur lequel je suis. Je teste le résistance avant de regretter mon lit bien douillet à Xyroc. Je respire profondément me préparant à monter sur un bâtiment en faisant spider-cochon. Je vérifie que mes bombes ne tomberont pas avant de commencer mon ascension.
J'arrive sur le toit les bras engourdie, les abdos souffrant et les mollets rougis. Je prends deux secondes pour me remettre de mes émotions avant de pousser la porte. Le plus gros défaut est vraiment cette entrée, à quelle moment on se dit qu'on va protéger l' intérieur comme jamais en sécurisant les entrées alors que sur le toit il y en a une qui ouvre grands ses bras. Incompréhensible, sa ce voit que j'ai quittée le navire.
Je descends avec lenteur les escaliers évitant de faire du bruit pour n'alerter personne. Je sors du conduit de secours pour pénétrer dans un des couloirs de la verrière géante. Presque personnes ne se trouvent dans le bâtiment, les étages inférieurs sont vide et seul deux trois lumières sont allumées. Je coupe toute les caméras en sectionnant leur alimentation et je bloque les portes de l'ascenseur. J'ai 5 minutes top chrono avant que tous les gardes ne se précipitent en eux. Je défonce la porte de du bureau du patron et je saccage tout avant d'écrire sur le mur, mort aux militaires. Je sors rapidement de la pièce mais la sécurité est déjà au bout du couloir de verre. Je tire en rafale dans leur direction en souriant, les balles à blanc on adore. Je cours jusqu'à l'escalier de secours avant de monter en haut sans m'arrêter. Je passe la barre en métal par dessus la corde avant de courir et de me jeter dans le vide. Je me ramasser sur le sol avant de trancher la corde et de m'enfuir du toit sous le regard des agents de sécurité.Je rentre dans ma voiture essoufflé avant de sursauter en sentant une main se poser sur mon épaule. Je me retourne en sortant mon arme avant de me rendre compte qu'elle sert à rien. L'inconnu sort sa tête de la pénombre l'exposant au doux rayon matinal de soleil. Mais qu'est-ce qu'il fout là lui!
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Dark Soul
Hombres LoboMira, Mira Wika enfin je pense que je m'appelle comme ça. Je ne sais plus depuis quelques temps qui je suis, ce que je suis et ce que je fais ici. Cette fameuse nuit, celle qui a défini le reste de ma vie, m'a brisé mais elle m'a aussi retiré la po...