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Idée histoire 17

Nyalors nyalors, j'ai une autre idée !

Alors c'est un monde, où genre t'as l'élite, des gens' qui sont totalement coupé de la dureté de la vie, pour eux, depuis leur naissance. Tout est parfait, il sont aimés, ils ont tous les loisirs à porte de mains, il mangent des choses délicieuses et variées, tous est luxueux au possible. Il ne connaisse pas la douleur, ni la tristesse, ni rien de négative. Ce qui fait qu'ils sont à la fois très heureux... Mais complètement ignorants et extrêmement naïfs.

Et.. Il n'y a que ceux qui commandent qui ne possèdent pas cette bienheureuse innocence totale.

Il n'ont pas ce bonheur garantie par cette absence de savoir, mais en échange, ils ont le pouvoir total... Et ils sont ceux qui contrôle que leur population soit maintenant dans l'ignorance totale.

SAUF qu'ils ne pourraient pas être heureux s'ils devaient faire le ménage, se cuisiner à manger eux même, etc...

Donc ils ont des serviteurs.

SAUF qu'il ne pourrait pas être dans l'inconscience des maux de la terre s'ils voyaient le visage triste de leur serviteurs.

C'est pourquoi, on donne à tous les serviteurs/escales, des masque, qui collent aux visages comme une seconde peau, et qui donne l'illusion d'un visage constamment heureux et souriant. Et d'une voix gaie, enjouée, et amicale

...

L'héroïne/le héros que nous allons nommer Badassine est une ancienne rebelle assassin qui a déjà tué de nombreux riche et qui est recherché de partout, parvient à recevoir un masque, et donc à se dissimuler. Elle est dans une situation critique car gravement blessée.

Elle parvient à dissimuler ses blessures tout en travaillant pour un jeune riche bienheureux.

SAUF qu'un jour, Badassine casse son masque.

Et et et ben merde pour elle !

Le riche la voit, ses blessures couverte de sang ré-ouverte et son visage balafrées, hyper sombre, et menaçant et pas du tout en train de sourire. Et bon'

Le type il est choqué.

L'alarme est lancée, tout s'enchaîne, elle est en très mauvaise situation : elle utilise le riche comme bouclier vivant pour s'échapper.

Elle le kidnappe.

Elle sort de la ville parfaite et se retrouve dans les espace de bidonvilles où vivent les "vraies" gens.

Et ensuite... Badassine le fait travailler comme "domestique" le force à agir avec la rébellion, et lui Ben, c'est une grosse chochotte.

Et finalement, ils tentent de renverser le château et il a le choix à un moment vers la fin de soit tuer Badassine soit rejoindre vraiment les rebelles et sauver Badassine.

Le choix est variable selon la fin que l'on souhaite ou selon si l'on souhaite plus de rebondissement.

Parce qu'après, Badassine peut chercher à se venger en le retrouvant, et lui qui a rejoint son groupe d'imbéciles heureux ne peut plus s'y intégrer et finit par rejoindre les dirigeant puissant, où il ne se sent pas à sa place car il se rend compte que la cause de Badassine est juste.

Ensuite Badassine le retrouve et avant qu'elle ne le bute il lui avoir qu'il a compris des choses et veut finalement rejoindre le groupe.

Et elle pourrait lui demander de rester au sein des puissants pour faire une action genre un peu pas cool, et qu'au finale il se voit déchiré entre le faire ou pas, à cause de sa famille qui est toujours au sein des imbéciles heureux et qu'il ne veit pas blesser. Il échoue et Badassine pense qu'il ne veut pas, mais il lui explique.

Badassine racontée son passé ou genre les dirigeants puissants ont tuer sa famille à elle genre, d'épuisement aux travaillés des imbéciles heureux, et c'est pour ça qu'elle est si violente avec les imbéciles heureux.

Lui conclu que certes sa cause est juste mais ses méthodes ne sont pas correctes car les imbéciles heureux sont comme des enfants qui ne savent rien.

Badassine est confuse, parce que malgré sa haine et son désir de vengeance, au fond d'elle elle est juste et elle comprend alors, elle finit par, en étant confuse, repartir avec lui et repartir dans la "ville" et, après ben, il y a le choix.

Et bref je pourrait continuer longtemps et changer plein de trucs.

C'est malléable à souhait ^^ !

Origine d'idée : moi, prenant mon petit déj' en faisant une tête de déterrée, ma mère et mon frère : "tu pourrais sourire un peu" "nous n'avons pas envie de voir ton visage qui fait cette tête, sourit un peu" "même si t'as pas envie de sourire, il faut que tu sourisses parce qu'on en a envie"
Et voilà.
(J'ai pas souris)