Chapitre 15

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PDV de D'Issa

Un gros boum me réveilla de mon sommeil. Je sursauta et regarda ce qui venait de se passer.  Je tâtonne à côté de moi,rien . Mais où peut elle aller à cette heure ? Et la je la vis se lever du sol et j'éclata de rire en comprenant ce qui venait de se passer. Elle s'est pris le sol !

-Idiot ! Qu'est-ce que tu ris ? C'est de ta faute si je suis en retard. Tshiiiip, dit elle en me regardant avec de gros yeux. Ce qui me dis rire encore.

-Pardonne moi ma chérie, c'est plus fort que moi, dis je en m'esclaffant de plus belle. 

Et là, elle se saisit de l'oreiller et commença à me frapper avec. 

Toujours en riant,  je la tira vers moi et nous tombons tous les deux coucher sur le lit, elle au dessus de moi.

-Arrête de rire !  Dit elle en me frappant sur le torse.

-Oui Oui j'arrête, dis je levant les bras. Mais explique moi comment tu as fais pour atterrir au sol.

-Tout à commencer depuis hier soir quand je suis remonter dans la chambre pour appeler ma mère.  Elle me prévient que lui et mon père viendront te voir aujourd'hui. Alors je décida de me réveiller tôt pour partir au marché et acheter tout ce qui manque pour un bon "thiep vermicelles ". C'est ainsi que je me réveilla à 5h du matin pour aller prendre un bain et me préparer. Et durant mon bain,  comme un voleur, mon mari entra dans la salle d'eau en me surprenant et me dis l'amour comme adonis (dieu du sexe)  avec sa nymphe. Après ce sport très fatigant,  je m'endormis comme un bébé. Et tout à coup, je me réveilla et regarda mon téléphone, imagine,  il était 8h02min. Paniquée, je voulus sauter du lit et il se passa ce que tu as vu.

Durant tout son monologue,  je lui caressais le dos et hochais la tête après chaque phrase.
En entendant sa dernière phrase, j'éclata de rire encore.

-Tu sais que tu n'es pas gentil, dit elle en s'énervant.

-Et toi, tu sais que tu es existante quand tu t'énerves, dit je en lui mordillant la lèvre inférieure.

Elle se leva et je soupira de déception. Ces lèvres m'attirent trop.

-Cette fois,  tu ne m'aura pas. Je suis assez en retard comme ça. 

-Pourquoi tu t'inquiète ? Tu sais que la bonne est là non ? 

-Tu veux que ma mère me tue alors.  Si elle apprend que la bonne a cuisiné pendant que je ne faisais rien, tu peux me dire à dieu.

-Tu exagères quand même.

Sans répondre, elle tira le drap avec elle et se dirigea vers l'armoire. Elle se mit à fouiller dedans. Pendant ce temps, j'étais entrain de la regarder et mes yeux dérivaient vers ses fesses qui m'ont toujours fait rêver. Rien qu'en les regardant,  ma queue frétillait dans mon caleçon. Il fallait que je me calme. Mais elle ne m'aide pas car elle laissa tomber le drap et s'habilla devant moi.

-Au lieu de me regarder comme un loup affamé, tu ferais mieux de te lever et venir m'aider dans la cuisine.

PDV de Sophie

J'avais mis une tenue "taille mame " en wax avec le foulard à la nigerienne. Je mis juste un rouge à lèvres et un trait d'eye liner.

Je laissais monsieur prélassé au lit et sortis de la chambre.
Je descendis les escaliers et trouva mes beaux parents assis au salon entrain de discuter.

-Bonjour maman,  bonjour papa !    les saluais en les embrassant sur la joue.

-Bonjour ma fille, répondirent ils en coeur.

-Vous avez bien dormi me demanda ma belle mère en souriant.

-oui merci de t'inquiéter.  En fait,  mes parents vont passer aujourd'hui, les informais je.

-Ah, c'est une bonne nouvelle ça.  Ça fait quelques temps qu'on ne s'étaient pas vu, dit mon beau père.

-Vous avez déjà pris votre petit déjeuner ?

-Oui ma fille, ne t'inquiète pas pour nous. Va préparer le tien celui de ton mari.

-Où est il ce fainéant ? me demanda son père.

-Au lit, dis je.

-Ne lui en veux pas,  il aime trop rester au lit, dit sa mère.

-Bon je suis dans la cuisine si vous aviez besoin de quelque chose.

Quelques heures plutard

Je regarda la table, fière de moi même. J'avais dresser la table à manger comme un cordon bleu. Mais ça se comprend pas aussi en tant que PDG d'un grand hôtel,  j'avais pris des cours de restauration. En parlant de cela,  plutôt, nous avions décidé de commencer le boulot dès demain pour ne pas abuser de nos congés. Je voulais faire une surprise à mon personnel et à mon bras droit Ousmane Danfakha qui dirige l'hôtel en mon absence.

Mes parents étaient arrivés vers treize heure et sont en ce moment entrain de discuter avec Isa et ses parents dans le salon. Je défroissa ma robe en wax, taille sirène que je venais d'enfiler. Cette dernière dessinait toute mes forme et je crois que ça plaît à mon mari, vu le regard qu'il m'avait lancer lorsque j'étais passé devant eux.

J'alla les appeler. Et ils levèrent tous en même temps.
Ils prirent place autour de la table et je les servis chacun à son tour. J'étais assise à côté d'Issa, je sentais souvent son regard sur moi. À un moment du repas,  les vieux se mirent à discuter et il en profita pour se pencher vers et me susurrer dans les oreilles :

- J'adore ton parfum ! Dit il en déposant un baiser sous le lobe de mon oreille.

Ce simple contact me fit frissonner de la tête au pied.

Je crois que monsieur est d'humeur taquin mais on est deux alors.

Je déposa ma cuillère et m'essuya la bouche. Discrètement,  tout en prenant mon verre d'eau, je dirigea ma main vers son entrejambe et il sursauta. Il tourna sa tête vers moi et je le regarda innocemment. Alors il se retourna pour se saisir de son verre d'eau.  Il portais un jean sans ceinture alors l'accès était facile. Je déboutonna son jean, fis entrer ma main et empoigna son sexe dur et long.  Je l'entendis jurer tout bas et je souris satisfait de mon oeuvre. J'entama des va et vient tout en caressant son gland humide de mon pouce,  au fur et à mesure de mes mouvements, son son grossissaient de plus en plus dans mes mains. Sans relâcher ma prise, je questionna demanda aux vieux de manger pour ne pas qu'ils soupçonnent quelque chose.

Le sentant près de la jouissance, je ressera ma prise et commença des vas et vient de plus en plus rapide. Alors il posa ses deux coudes brusquement sur la table et se mit à tousser.  Et ses parents lui demanda si tout allait bien.

-Oui maman tout va bien. C'est juste que j'ai avalé de travers dit il en prenant un peu d'eau.

-Vous avez fini, dis je en voyant leurs assiettes vides. Je vais débarrasser dis je en me levant et en retirant ma main de son pantalon.

Il me regarda avec des yeux plein de désir. Je lui lança un clin d'oeil et me mit à ramasser les assiettes une par une.
Ils me complimenterent sur le repas. Lorsque je voulus prendre son assiette, Issa me tint par le bras et me dit doucement:

-Ce soir,  prépare toi, tu vas me le payer.

Je lui adressa un sourire tout en prenant l'assiette alors que mon coeur galopait à une course folle.

- Oh j'ai peur, dis je ironiquement.

- Tu as raison d'avoir peur, me dit il d'une voix rauque.



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Issa Et Sophie : Un Couple ExceptionnelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant