Point de vue de Coran

    Des gouttes de sang attirent sur mon visage. Je me retournais pour voir le Dotraki me foncer dessus. Je fis un bond sur le coté, pour esquiver sa lame, puis abbatit mon fouet contre son cou. Il poussa un hurlement de rage, tandis que de sa main droite il touchait le sang qui coulait de sa plaie. Il courut vers moi, tête basse, hurlant des mots que je ne comprenais pas. Je sortis une dague de ma botte gauche, prêt à me défendre. Sa lame me frola, mais je réussi à esquiver le coup. Je planta ma lame dans son poumon. Le Dotraki tomba à genoux, toussant du sang. Je relevais la tête  vers l'arbitre de l'arène, puis planta mon poignard dans l'un des yeux du soldat. Son corps mort s'écroula au sol. Des applaudissements retentirent dans l'arène, et je salua d'une révérence le public avant de sortir de l'arène de combat. Je rentra dans l'une des salles d'eau pour enlever le sang et le sable coller à ma peau, puis nettoya mes armes. Je m'habilla en vitesse, puis rangea mon poignard dans ma botte et attacha mon fouet à ma ceinture.

- Tu t'es bien amusé ? demanda une voix derrière mon dos.

Je me retournais et posa mon regard sur mon frère jumeau, Robin. Il était mon sosie. Les mêmes cheveux bruns, coupés très court et les mêmes yeux bleus. Notre peau était blanche, notre taille était grande. Nous étions tout les deux fins, mais moi, j'étais plus musclé. Une cicatrice coupait mon œil gauche en deux, me rendant à moitié aveugle. Lui n'avait aucun défaut.

- Tu aurais vu son regard avant que je ne l'achève. Même les dotrakis ont peur de la mort. ricanai-je.

- Tu sais que je déteste ces jeux.

- Pourtant le public adore. Et cela paye bien. dis-je en lui jetant ma bourse dans les mains. On peut au moins payer trois esclaves avec sa.

- Je préfère les acheter avec de l'argent gagner plus... loyalement ?

- Robin. Je gagne de l'argent rapidement, ce qui signifie qu'on rentrera rapidement chez nous. Plus vite on aura les quinze putains, plus vite on reverra notre famille.

 Vu sa tête, je sus d'avance qu'il me laisserait combattre quand je le voudrais.

- Tu as raison.. Mais ne te fais pas tuer. Mère ne te le pardonnerais pas.

 Je lui fis un clin d'oeil, puis on sortit tout les deux dans les rues. Ici, à Meereen, la chaleur était présente. J'aimais cette ville. Beaucoup plus que Port Réal. Nous nous dirigions vers le marché, pour voir si la nouvelle livraison d'esclave était arriver. Malheuresement non. Je regardais mon frère et fis demi-tour, direction notre auberge. Elle était assez pauvre, mais moi je l'aimais beaucoup. Une chambre pour nous deux, et des servantes près à tout pour un pourboire. Robin n'appréciait pas tellement cet endroit, mais il n'avait pas le courage de me le dire. Nous parlions de tout et de rien en chemin, lorsque enfin, nous rentrons à l'intérieur. Je m'excusa auprès de mon frère pour aller au bar accoster une jolie demoiselle. Elle ne portait qu'une jupe, et ses seins était à l'air. Intéressant. Du coin de l'oeil, je vis mon frère monter dans la chambre. Sans que je ne demande quoi que ce soit, la belle inconnu me pris la main pour la poser sur son cul. Je vais l'aimer celle la...

Le Trône de FerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant