Le Cap, une ville, une histoire, la cité du roi bâtisseur se réveilla baignée dans un arc en ciel de couleurs diverses, chacune plus belle que l'autre, aussi éblouissante, un vrai plaisir pour les yeux.
Ce soleil aussi ardent que têtu inonda la ville dans une magie à nulle autre pareille, une magie égale à celle du grand Merlin, ou égale à la prévoyance de Antoine du Gomier.
Dans cette ville, digne de la plus belle poésie d'Oswald Durand, Les amoureux(Élisabeth et Ridley) filèrent le grand amour. A chaque pas, ils se remercièrent, tels Rutschelle Guillaume et BIC dans mèsi, pour cet amour qu'ils se donnèrent, ce partage de deux êtres unis dans une relation saine, qui sut faire rougir la Muse voire même Erzulie, déesse anthropophage, qui sait susciter chez les hommes et même les femmes ce désir ardent.
Les amoureux du Cap firent battre, chaque capois au rythme du souffle d'un nouveau né.
Ils chantèrent ce spécial de Roody Roodboy et Rutschelle Guillaume, à chaque promesse qu'ils se firent, à chaque caresse qu'ils se donnèrent, à chaque baiser qu'ils échangèrent.
Ils surent, tel Toby et Vanessa faire pleurer certains cœurs dans leur Sa plis ke love, remanier à leur façon.L'amour donne des ailes aux poissons qui veulent sentir la fraîcheur du printemps sur leurs nageoires et faire profiter à sa moitié la douceur d'aimer, d'être aimé et de se savoir aimé. L'amour c'est mieux à deux et Ridley et Élisabeth le surent à temps heureusement, car quand Rachel eut à colporter des ragots sur la conduite de Ridley, Élisabeth sut faire confiance à son coeur, et par cette action faire triompher l'amour.
Mais l'amour à ses détours au sentier de l'humanité et la faiblesse de la chair, l'habitude est une seconde, le chien aussi dressé puisse-t-il être ne saurait passer devant un os sans titiller sa vrai nature. Prédateur un jour, prédateur toujours.Le mois de mars s'annonça avec un sourire radieux et un doux soleil qui donna l'envie d'avoir une compagne juste pour le plaisir de partager un tel bienfait.
Les écouteurs aux oreilles assis à sa fenêtre, Ridley vagabondait ses yeux dans le voisinage, vint à passer une voiture qui s'arrêta devant la deuxième maison après celle d'en face de chez lui. Il n'y prêta pas trop grande attention, mais quand en descendit une jeune fille, il fut pris de stupeur et son nom sortit de sa bouche avec tout l'effet de sa surprise
-Caroline !
-Qui est-ce? lui demanda quelqu'un qui se trouvait à l'embrasure de la porte.
Lorsqu'il se tourna et vit que c'était Élisabeth, il faillit tomber, mais adroitement il s'agrippa au chambranle de la fenêtre, il se reprit et alla la saluer avec un doux baiser qu'il déposa sur ces lèvres.
-Tu as la tête de quelqu'un qui a eu une mauvaise surprise. Lui dit-elle en s'approchant de la fenêtre.
-C'est juste que tu m'as fait sursauter, répondit-il un peu confus.
Élisabeth le regarda d'un œil interrogateur, ses yeux allaient de la chambre en direction de Ridley, vers l'extérieur, voyant son expression qui changea Ridley sut qu'elle a vu Caroline.
Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais Ridley d'un pas rapide étouffa ces mots avec un baiser.
Un baiser doux, sensuel qui en disait long. Élisabeth se défît de son étreinte, le regarda dans les yeux et lui demanda
-Pourquoi m'embrasses-tu ainsi? Comme si tu voulais que je me souvienne... elle s'arrêta nette, elle fit deux pas en arrière tout en gardant ses yeux rivés dans ceux de son chéri.
-Je veux que tu saches, que ce que je ressens pour toi me dépasse, nous dépasse, lui murmura-t-il à l'oreille.
-Je veux que tu saches, tu es mon plus beau trésor.
-Mon coeur s'emballe quand tu me parles, quand tu es près de moi.
-Et quand je suis loin de toi? demanda-t-elle en lui donnant un baiser.
-I can't breath.
Ils s'embrassèrent longuement, mais la magie s'interrompit quand sonna le téléphone, Ridley la supplia de ne pas répondre, mais elle s'y refusa car l'appel était bien trop important.
Elle s'isola pour parler le temps de cinq minutes.
Elle s'excusa, pour le dérangement et lui dit qu'elle ne peut pas rester, elle sortit de la chambre pressé car lui attendait un rendez-vous pressant.Après qu'elle soit partit Ridley descendit à la cuisine se prendre un verre de jus d'orange, il y prit une gorgée qu'il savoura et il sentit son coeur battre pour cette terre haïtienne qui sait nourrir ses enfants.
Il passa au salon pour lire un livre de Jean Fernand Brierre "Les horizons sans ciel: Province" qu'il avait pris dans sa chambre, il s'installa dans le fauteuil de son père et commença son voyage à l'autre bout du monde dans cet univers un peu fou du réalisme haïtien que dépeint Brierre en la personne de Lanvin le héros du roman.Quelqu'un frappa à la porte, soudain et le tira de sa transe, il se leva pour aller ouvrir maudissant la personne qui interrompit son voyage. Lorsqu'il ouvrit la porte, qu'elle ne fut pas sa surprise de voir Caroline devant lui en chair et en os.
-Bonsoir Ridley!
La bouche entre-ouverte il ne sut quoi répondre, et devant cet air sidéré Caroline osa un baiser. Interloqué par ce geste il sortit de ses gonds
-Tu reviens après un an, sans nouvelles et tu oses m'embrasser comme si de rien n'était.
-Je m'en veux, mais les choses étaient un peu compliqué avec mes parents, et ma petite était gravement malade, j'avais pas la tête ailleurs.
-Tu reviens, et comme toujours avec des excuses.
-Je n'ai pas apporté que des excuses, je suis venu le corps offrant, dit-elle tout en s'approchant pour lui donner un autre baiser. Mais Ridley l'arrêta et essaya de lui expliquer qu'il avait changé, elle ne le crut pas et lui demanda d'en avoir la preuve.
-Je ne crois pas que tu aies pu changer en si peu de temps, je demande à voir.
-Comment sauras-tu que j'ai changer ou nom? demanda-t-il.
-Laisse-moi t'embrasser.
-Ça ne va pas dans ta tête ? Je suis en couple.
-Si tu t'y refuses, je le ferai de force.
-Arrête... il avala ses mots dans le baiser que lui donna Caroline, il sentit ses lèvres en feu et son corps parcouru d'électricité, pris d'un élan de folie il lui rendit son baiser avec la même fougue. La tension monta à un tel point que Ridley perdit tout contrôle de la situation, il l'attira à l'intérieur ferma la porte la transporta jusqu'au canapé, il l'y déposa, enleva ces vêtements, caressant chaque partit de son corps, elle se détacha de lui, pour s'installer dans le canapé, s'étant mis à l'aise elle l'appella en lui indiquant son sanctuaire tout chaud prêt à recevoir le profanateur. Il ne lui restait que son caleçon, il l'enleva, en se redressant il croisa son regard dans le miroir il ne se reconnût pas, Caroline voyant qu'il allait se rétracter se leva du canapé et s'interposa entre lui et le miroir, d'un coup son regard changea avec une douce violence il la possa sur le canapé, il la rejoint et exécuta un missionnaire, doucement il la pénétra, et comme si la chaleur du sexe de Caroline était un enchantement, il commença à accélérer...
Il s'écarta un peu d'elle tout en gardant son phallus en elle, qu'il bougea de gauche à droite, chose qui excita Caroline, il la souleva et se mit en position assise et continua son travail.
Douce tentation.
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Du sexe avec ma best friend
Romance-Élisabeth Baden, il ne t'est jamais arrivée d'aimer quelqu'un à un point tel que tu sens que ta vie ne t'appartient plus tellement elle en a pris le contrôle ? Elle fit celle qui ne comprenait rien. Il continua, c'est ce qui m'arrive avec toi, je n...