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Devon  pensa s'évanouir lorsque le médecin chef , ouvrit la porte et le félicita en lui annonçant qu'il venait d'être père d'un petit garçon de quatre kilos cinq cents . avec un sourire il ajouta << la mère aussi se porte bien . >>
un soupir de soulagement souleva la potrine de devon . Aurélie était saine et sauve .
_ comment se sont passées les choses ? Demanda enfin devon .
_ très bien ! Nous n'avons même pas eu besoin de pratiquer une episiotomie . la mère est d'une constitution , remarquable . le travail a été tellement rapide , c'est un vrai miracle ! Félicitations monsieur Bloomfield .
_ merci docteur . es que je peux les voir ?
_ dans peux de temps , on est entrain de leur faire leur toilette . sans vouloir être Indiscret pourquoi avez-vous refusé d'assister a l'accouchement ?
_ Ma fiancé et moi avions décidé qu'il en serait ainsi .
Le médecin se retira en riant . certains hommes craignent d'être traumatisés par les scènes sanglantes et les douleurs inhérentes a l'accouchement , cela devait être le cas de devon Bloomfield.
Les jambes quelque peu flageolantes , devon s'assit et pris son cellulaire pour appeler Justine au bureau.
C'est elle qui assurait l'intérim depuis le matin .
_ venez monsieur Bloomfield . dit une voix féminine .
Devon leva la tête , se leva et suivit l'infirmière .
au bout d'un long couloir se trouvait une porte entrebâillée , que poussa l'infirmière .
l'émotion noua la gorge de devon : Aurélie habillé d'une belle chemise de nuit blanche était couché .
près d'elle , un berceau , dans ce berceau un bébé habillé d'une grenouillère blanche a capuche , il semblait gigantesque .
gros et grand comme un enfant d'au moins un mois .
c'était la le fruit de leur contrat .
devon s'approcha en tremblant d'Aurélie ; ses yeux se mouillèrent quand il vit les larmes de la mère . il s'assit sur le rebord du lit et la serrant contre lui , l'embrassa tendrement .
cette fois il oublia qu'il était en représentation sociale .
Après l'avoir retouchée il la laissa pour aller vers le petit lit .
l'enfant bougea les lèvres , deux fossettes se dessinèrent dans ses joues , devon se baissa et déposa une esquisse bde baiser sur le front du bout d'homme .
Il avait du mal a croire sue c'était son fils ! Des larmes lui envahirent les yeux et roulèrent sur ces joues .
il était si heureux .
Aurélie le regardait étonnée de voir devon aussi ému .
Des pleure se font entre .
_ peut tu rouler le berceau jusqu'à moi ? Murmura Aurélie .
_ oui bien sûr . répondit devon en s'exécutant aussi tôt . mais ou est Marceline ?
_ elle est allé a la maison me reporter des petites choses que j'avais oublié ce mâtin .
Aurélie prit l'enfant délicatement et le posa sur ses genoux .
sans s'occuper de devon qui l'observait , elle déboutonna la chemise de nuit , dégrafa le bonnet du soutien gorge et laissa apparaître un sein ; il était gonflé et ferme . elle nettoya le bout et le fixa dans la bouche de Michel-Ange .
l'enfant se mit aussitôt a téter . devon approcha une chaise du lit et commença a regarder cette scène .
il voulait fixer tout cela sur la pellicule , mais il craignait qu'un jour Michel-Ange puisse reconnaître sa mère .
pour que cela ne paraisse pas bizarre aux yeux des autres , il prît quand même quelques photo . lorsqu'il s'agissait du bébé il prenait des gros plans .
mais lorsque Aurélie se retrouvait dans l'objectif il prenait la photo de loin .

the baby contractOù les histoires vivent. Découvrez maintenant