Red Sky.(ItachiXoc)[Terminée]

Chapitre 15: l'annonce.

Je me réveillais en souriant, le visage d'itachi avait été la première chose que j'avais vu, je m'étais directement mise de bonne humeur.
Ce matin, j'avais fais le petit dej pour tout le monde en souriant.

-"tu as l'air de super humeur !"

Je me tournais vers konan et elle me lançait un sourire, elle n'avait pas l'air très réveillée.
Elle s'installait à table et je m'installais en face d'elle avec mon éternel sourire.
J'entendis des pas derrière moi et deux bras s'étaient posés sur mes épaules et une tête se nichait dans mon cou.

-"bonjour..."

La voix rauque d'itachi résonnait au creu de mon oreille.
Je posais ma tête sur la sienne et on s'embrassait doucement.

Konan poussait un petit cris de surprise.

-"vous! Vous! Vous êtes...!!" Bégayait konan

-"on est en couple..." déclarait Itachi.

Elle devient alors rouge et balbutiait des paroles incompréhensibles.
Je souriais toujours et Itachi s'assis à côté de moi.
Je sentis sa main se poser sur ma cuisse.
Sa peau est glaciale.
Je tournais la tête vers lui en lui souriant, tenant ma tasse de café fumante à deux mains.
Il me fit un clin d'œil et je me sentis rougir.
Je lui servis une tasse sous son regard attendrit.
Il me remerciait et me fit un bisou sur la joue.

-" on va à l'étang cet aprem, c'est une journée de repos pour tout le monde." Expliquait pein, débarquant de nulle part en souriant.

Je me contentais de lâcher un « d'accord, à cette aprèm...» qui ressemblait plus à un grognement.
Je partis ensuite dans la chambre et sortis mon sac à herbes médicinales.

Je fis la même fiole que la dernière fois pour hidan et allais dans sa chambre lui la donner.
Yumiko avait reconstruit le fameux mur qui séparait les deux pièces, c'est un peu sa passion(rire).
J'entrais sans toquer et remarquais qu'il dormait encore, je le secouais doucement, il se relevait rapidement, comme si je l'avais tiré d'un cauchemars.

-"merci... j'étais... en train de mourrir." dit il en regardant dans le vide.

Je riais légèrement à ça, un être immortel qui meurt, quelle ironie...
Je lui montrais la fiole et il soupirait en souriant, les yeux dans le vide.
Je lui donnais donc la « potion » et le regardait la boire d'un trait puis faire une mine dégoûtée.
Je repris la fiole une fois celle ci vide et sortis simplement de sa chambre.
Je rentrais dans la mienne et remis rapidement la fiole dans mon sac.
Je me mise devant mon armoire en souriant et prise un legging noir et un croc-top gris.
Je mis des bottes basiques avec un tallon de 2 cm, étonnement, j'arrivais très bien à combattre avec des tallons.
C'est ma mère qui m'a offerte ces chaussures.... elle est morte... enfin je crois.... elle doit probablement être morte...

Je sortie avec mon manteau de l'akatsuki, je n'avais bien sûr pas oublier de mettre mon maillot.
Je ne savais pas trop quoi faire en attendant cet après-midi.
Je vais donc m'entraîner, ça va me faire du bien.

Je sortie en dehors du QG, je partie dans la direction opposée au lac.
J'atterris dans une clairière au bout de 25 minutes à sauter d'arbre en arbre.

J'enlevais alors mon long manteau et fis plusieurs signes avec les mains.
Yamiko sortit de mon dos, entièrement.
Je levais des yeux déterminés vers lui, il souriait sous son apparence de loup, sombre, il a des sortes de veines de chacra sur tout son corp, y compris sur ses 100 queues, du haut de ses 6 kilomètres de haut, elles faisaient contraste avec le noir de son corp.

Je m'élançais vers lui, j'éclatais mon poing sur sa tête le faisant s'écraser contre le sol.
Il se relevait assez vite  et m'envoyait une de ses queues, je l'évitais, une autre me frôlait, j'évitais les 100 qui m'entouraient, j'étais entourée dans cette tempête.
Je n'avais aucun moyen de sortir, l'air commençait à me manquer, j'étais suspendue en l'air, à tout moment, je pourrais m'écraser contre le sol, le courant du vent était tellement fort autour de moi que je ne pouvais pas respirer.
Soudain, je me prise une queue dans le ventre, l'autre dans le dos et je tombais au sol, je me relevais comme je pouvais en crachant quelques jurons et, en grande quantité, du sang.