Revenge | TOME 2 de Bianca

CAPÍTULO 15, pt.2 | tu n'y vas pas recommencer, Bianca ?!

voilà la deuxième partie, lads ! j'espère qu'il vous plaira !

ps : dans deux semaines, je suis en vacs (cc chopezmann draxembe ) et dans deux semaines, c'est aussi l'anniversaire de bébé d'amour chopezmann et le mien

¡buena lectura pour ustedes!

~ Madrid ~

•externe•

Après que sa fille soit sortie de son bureau, la mère craqua en lâchant des larmes. Honteuse, elle se cacha le visage rempli de larmes. elle venait de se rendre compte qu'elle perdait ses propres filles à cause de son égoïsme et son hypocrisie, ses plus gros défauts.

- Andreya, tu pleures ? demande une petite voix masculine.

Elle leva son visage trempé et sali par son mascara. Elle s'essuya avec un mouchoir et elle sourit au dernier des Hyland.

- nan, ne t'inquiète pas Paul. rassure-t-elle.

- pourquoi ton visage est sali par ton mascara - et je t'ai entendu pleurer ?

Il s'approcha d'elle pour lui faire un câlin rapide.

- je vois que tu veux pas me dire la raison de tes pleurs, c'est pas grave, sourit-il sincèrement. Je vais faire mes devoirs parce que sinon, je vais me faire engueuler. salut !

Et il ferma la porte. Elle soupira.

Les dernières paroles de sa fille chérie lui ont blessées.

- qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu pour que mes filles se retournent contre moi ? sanglote-t-elle.

~ Mâcon ~

Théo rentra dans son toit en remarquant que la mère de son fils parla en portugais au téléphone. Elle semblait heureuse, contente de recevoir l'appel. Elle surveillait son fils jouer avec LeBron. À la fin de l'appel -- qui paraîtrait une éternité pour le dernier des Griezmann --, Bianca remarqua que théo était de retour de l'entraînement.

- oh, salut ! se leva-t-elle pour lui embrasser la joue sous les frissons de Théo.

- salut. la salue-t-il d'un ton froid sous l'étonnement de la belle Espagnole.

Elle soupira, les poings sur les hanches.

- tu vas continuer à me bouder comme un gosse de 6 ans ?! hausse-t-elle un sourcil.

- et alors, ça pose un problème ?

Elle fut choquée du ton glacial qu'il a pris, ensuite, elle sourit malicieusement.

- t'es jaloux, hm ?

Il stoppa ses gestes pour se redresser et se positionner devant elle avec un air sérieux, même très sérieux.

- et puis quoi encore ! Moi, jaloux ? Jamais !

Dit-il, pensa-t-elle.

Une heure avant qu'il parte à son entraînement, Bianca parlait avec Neymar au téléphone ce qui n'a pas plu au Mâconnais. Depuis quatre heures, il lui boude. À son arrivée, il a remarqué qu'elle reparlait avec le footballeur brésilien car elle a mentionné dans la conversation téléphonique quand elle riait. Pour résumer, ça lui saoule et il est jaloux.

- oh, jamais t'as été jaloux ? Il hocha positivement. Tu veux qu'on parle quand Lucas m'a dragué et tu lui as mis un stop ?

Il ronchonna avant de lui répliquer :

- tu parles de moi mais t'as été jalouse de Pamela quand elle voulait tenter une relation entre elle et moi !

Maintenant, c'est à son tour de ronchonner.

- dis-toi que je t'ai sauvé d'elle, hein ! Elle ne voulait que t'avoir dans son lit comme toi avec moi hein !

Il souffla fortement.

- tu n'y vas pas recommencer, Bianca ?! Je t'ai demandé X fois pardon et tu persistes à me gifler avec ça ! Je suis en train de te supplier comme un esclave ton pardon pour que tu me poignardes dans le dos avec tes répliques enfantines pour me faire rappeler de ma connerie ? Ça va, c'est bon, j'ai compris la leçon, pas besoin de me le faire rappeler, merci ! Après tu t'étonnes que je suis froid avec toi ! Moi, à force, j'en ai ras-le-bol !

- "ras-le-bol" de qu--MA FEMME D'AMOUR !

Théo regarda derrière lui, Bianca regarda derrière Théo : Isabelle et Maud sont arrivées. L'aînée sauta sur la maman de son neveu, trèèès heureuse de revoir sa "femme". c'est le surnom que les deux se donnent. Après les salutations, Bianca et Maud partirent vers le bout de chou, Benjamín.

- Théo ?

- maman ?

- je suis extrêmement désolée pour le dérangement que j'ai causé pendant ce midi...

- ah, dans ma chambre avec Bianca...?

elle hocha sa tête.

- tu sais maman, c'est pas grave - même si c'était un peu beaucoup gênant.

- tu sais où vous en êtes ? il fronça les sourcils. Je veux dire, relation..

- oh. on ne sait pas. on ne sait réellement pas.

- ce serait tellement chouette qu'elle devienne officiellement ma belle-fille...

- ah maman, je sais où tu veux en venir ! je te stoppe là-dedans !

- casse tout le temps mon délire, toi !

Ils rigolent et vont rejoindre les filles avec Benjamín.