Revenge | TOME 2 de Bianca

🍋🍋🍋 CAPÍTULO 17 | quel connard !

désolée pour le retard (à force, vous avez l'habitude)

il y aura un lemon assez caliente, je trouve (je suis perverse, j'avoue mais je pensais pas à ce point-là !) donc voilà, j'ai prévenu avec trois citrons au titre !!

sur ce, bonne lecture !

~•~

...point de vue de Bianca...

Après le match, Théo décidé qu'on se balade dans la ville de Saint-Petersbourg et pour qu'on soit tranquille, Benjamín se trouve avec Maud, Erika et Mía.

— alors, cher Griezmann, pourquoi cette balade ?

— parce que je voulais être seul avec la mère de mon fils, me regarde-t-il.

Je me noie dans son regard marron. Je mords ma lèvre, le sourire aux lèvres.

— en faite, je voulais seulement qu'on rentre à pied.

Je pouffe de rire.

— et tu m'as embarqué avec toi !

— pour que je sois pas tout seul, hausse-t-il les épaules.

Je secoue la tête de Grizou. Quel connard !

— t'es un gamin, rigolai-je.

— je sais, merci, dit-il, fier de sa gaminerie.

•|•

A

près la balade qu'on a fait à pied, on rentre dans l'hôtel. Il ouvre la porte notre chambre et je retire mes chaussures​ pendant qu'il ferme la porte.

— cette balade nocturne était...

Je me suis retournée en parlant mais il m'a coupé en posant ses lèvres sur les miennes. Je recule de quatre pas sous le choc mais je lui réponds en intensifiant le baiser. Il colle nos corps, ma poitrine se compresse sur le torse de Grizou comme avec ses mains, il compresse mes fesses. Une main est sur sa nuque l'autre dans ses cheveux. Ses mains sont posées sur mes hanches très voyantes et glissent jusqu'aux cuisses et les tapotent. Je saute et croise mes jambes autour de son bassin. Il me tient par les cuisses et il torture encore une fois mon cou.

— Théo... gémis-je en soupirant.

Il me plaque contre un mur. Il retire rapidement mon haut en découvrant ma poitrine couverte grâce à mon soutien-gorge noir en dentelle​. Il mate mon soutien-gorge d'un regard pervers et il me regarde ensuite. Il se mord la lèvre inférieure avant de mordre la mienne et descendre des baisers jusqu'au cou. Je le sens sucer mon cou ce qui m'arrache un gémissement et je passe mes mains dans ses cheveux.

— ça te plait, meu amor ? il me demande d'une voix grave sexy.

— Théo...

Je retire son maillot après qu'il m'ait posé dans son lit à deux personnes. Je mate son torse où on peut voir un peu ses muscles. J'allais jouer avec ses tétons mais il m'oblige à rester couchée. Il retire son pantalon, reste en boxer. Je lui recopie et je regarde son boxer. On peut voir une bosse se former. Il se met sur moi et directement, il se frotte doucement. Ma tête est entre ses mains, les miennes tirant ses cheveux.

— tu sais, lèche-t-il mon sein gauche, juste en te regardant à moitié nue, je pourrais avoir deux orgasmes, m'avoue-t-il. 

— c'était un peu... g-gênant, riai-je.

J'arrête de rire quand je sens sa langue sur mes mamelons.

— putain, jurai-je en espagnol.

On met la couette au bout du lit et il continue. Ce gars commence à me rendre folle !

Je change de position, je suis sur lui. Je l'embrasse tandis que par mon ongle de mon index, je trace une ligne verticale de son sternum à l'élastique de son boxer. Je quitte ses lèvres et descends en le regardant respirer de façon saccadée. J'arrive à l'élastique. Je descends un tout petit peu plus pour jouer avec son sexe. Je donne un bisou à l'endroit où se situe son engin et je le sens soupirer bruyamment. Je souris.

— prends-le, s'te plaît... me supplie-t-il.

— tu as l'air d'avoir une petite bite, rigolai-je. Tes poils la cachent !

— elle sera pas si petite quand elle te pénétra, lâche-t-il soudainement, me faisant taire subitement.

Il me regarde et il lâche un gémissement quand son sexe est dans ma bouche. Je sens qu'on a chopé mes cheveux.

— ça fait du bien​ putain !

Je remonte, le léchant sur le coup.
Il me remonte pour m'embrasser. Il change de position et il retire ma culotte et son boxer. Je peux fixer son gros cul de petit footeux. Il me réveille en me faisant un cunnilingus. Et bah putain de merde, je suis déjà sur un petit nuage ! Je fais des ondulations du bassin pour augmenter le plaisir qu'il me donne par sa langue. Il continue encore cinq minutes et ensuite, directement, il m'enfonce un doigt.

— putain...

Je sens que je vais avoir des courbatures. Comme toujours !

Le plan fonctionne à merveille !

•|•

J'ouvre mes yeux quand je sens une bonne odeur. Je me redresse et vois le petit déjeuner sur la table. Je prends mon peignoir et me dépêche d'aller manger. N'ayant pas vu ce qui se trouvait sur mon chemin, je me ramasse le sol.

— aïe, putain ! Jurai-je.

Je me relève avec précaution et marche plus doucement à cause des courbatures. Je regarde où j'ai pu tomber, remarque une capote usée par terre. Argh, c'est dégoûtant ! Je l'entend rire dans la salle de bain.

— Théo, ramasse tes capotes !