Xlll.

364 34 23
                                    



«Le monde n'a pas le droit de savoir, personne ne doit savoir.»

22.21

-

Il a peur, il en tremble même, sont corps est froid comme les glaçons qui tombents en hivers, pourtant nous sommes en printemps, en plein avril, très precisément. Ce matin il c'est lever sans réveillé quiconque, pas même sont petit-ami qui dormait acrocher à lui, pour ne pas qu'il bouge d'un poil. Pourtant c'est ce qu'il a fait il a quitter la maison dans la forêt, il ne c'est rien mit sous la dent, hier soir il c'est rassasier, à présent il a suffisament d'énergie pour affronter quoi que ce soit.

Il c'est habiller rapidement et parti aussitôt dans la forêt, prenant sa forme animal, il a courut dans l'herbe mouiller d'un avril bien pluvieux, et à parcourut en quelques minutes le trajet qu'il avait fait en voiture il y a de ça quelques mois. Le souffle entrecouper et la respiration sacader, il tâche de ne pas faire de bruit et scrute l'immeuble immence et sombre. Cet immeuble qui lui rappel de mauvais souvenirs, là oú se trouve la source de son malheur et celui de son âme-soeur. C'est yeux de loup deviennent rouges, rouges comme le sang, rouges comme toutes ces fois oú il a pensé à le tuer, toute ces fois oú il a osé faire du mal à celui qui lui a toujours fait que du bien.

Ses pupilles sont retractées, prèsque au maximum, ses cros sont totalement ressortient, son sang bouillone à l'intérieure de lui, son coeur bat la chamade, ses sens sont attentifs, il a bien prévus sa soiré, c'est la pleine lune.

Une heure trente du matin, c'était l'heure à laquelle il s'était introduit dans l'immeuble, passant par la porte de sortit de secours, il se foutait bien des caméras de sécurité car il allait brûler chaque rencoin de ce foutu endroit.
Il se pavanait dans les couloirs, aucune humanité dans l'âme ,son loup avait prit le dessus et s'était très bien ainsi, il ne voudrait aucun sentiment à l'heure de tué Shuju, bien qu'il ne ressentait rien a part de la haine envers lui, il ne voudrait pas ce laisser amadouer par ce crétin.

Il entra dans une pièce qu'il connaissait très bien, c'est ou il travaillait à l'époque, dans ce même bureau ,à présent vide, remplis de cartons qui doivent bien enfermer des choses précieuses à ses yeux, mais surtout à ceux de Shuju, et tout ce qui a un jour été à la porter de cet homme doit disparaître. De sa patte droite il balance les boites beiges et les éclates parterre, laissant une tonne de papier s'éparpiller au sol.
Il reconnaît aussitôt des affaires classées, des fichiers de personnes à éliminer, des photos, il avait un travail bien dure qu'est celui de nettoyeur, décider du sort de la vie ou de la mort de personnes parfois innocente, mais souvent coupables de plusieurs pêcher. Eliminer quelqu'un pour être sûr qu'il gardera son silence jusqu'à la fin, pour que les secrets les plus sombres ne sortent jamais des ténèbres.
Le jeune loup connaît ça, lui aussi à du choisir du sort de ces familles, de ces individu ce montrant pourtant sans soucis. Il y a bien des années qu'il n'exerce plus sont travail ,en revanche il s'en souviens bien, et la pitié qui faisait autre fois partie de lui n'est plus que de la poussière dans le temps, des petites particules éparpillés parmi les années qui se sont écoulées aussi vite que ce fond une bougie.

-Omma! Qui c'est?! Pleura l'enfant.

-Va dans ta chambre et n'y sort pas Baekhyun... Dit la femme retenant ses sanglots caressant la joue rougie du petit âgé de cinq ans.

-Pourquoi omma! Pleura l'enfant en criant ne comprenant pas pourquoi en homme habiller en noir était entrée chez eux ni pourquoi sa mère pleurait à chaude larmes.
La femme regarda l'homme avec détresse lui priant intérieurement de ne pas toucher à son fils.

-Écoute mon chéri, omma va rejoindre le ciel aujourd'hui, je vais rejoindre ton appa avec les anges d'accord c'est pour ça que tu doit rester dans ta chambre, ferme les yeux et bouche toi les oreilles chante ce que je te chante chaque nuit mon chéri. Je veillerais sur toi. Dit elle embrassant sa petite joue.
Le plus petit ,calmer, monta les escaliers et s'enferma dans sa chambre faisant ce que sa mère lui avait dit.

Réveille toi. [ᴛᴇʀᴍɪɴᴇʀ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant